Rieunier

Elle guide l’action didactique en ce qu’elle repère les problèmes de toute nature survenus en cours d’apprentissage et permet le déclenchement des projets d’apprentissages dans les projets de faire » [J-F. Halté, 1992 : 118]. F. Raynal et A. Rieunier définissent l’évaluation comme étant « l’action d’évaluer , c'est-à-dire attribuer une valeur à quelque chose : évènement , situation , individu , produit » ; évaluer, signifiant, « examiner le degré d’adéquation entre un ensemble

Paris : PUF - 1991 PAINE, Albert Bigalow - Mark Twain's Notebook - http://http://www.archive.org/details/MarkTwainsNotebook - 21.11.2003 RATHUS, Spencer A. - Psychology: Concepts and Connections - New York: Wadsworth - 2007 RAYNAL, François - RIEUNIER, Alain - Pédagogie : dictionnaire des concepts clés: Apprentissages, formation, psychologie cognitive - Paris: ESF Editeur - 1997 RIVALEAU, Chantal - Les théories de la motivation - http://www.cadredesante.com/spip/IMG/pdf/doc-85.pdf - 17 mai 2003

probablement celui de l’enseigne Nature et découverte. La stratégie marketing de l’enseigne s’appuie principalement sur les cinq sens comme l’explique Françoise VERNET, directrice marketing de Nature & Découverte à travers son interview réalisée par Sophie RIEUNIER (annexe 1). Elle explique en effet que durant 6 ans, l’odeur de cèdre d’Estéban leur était attribuée comme étant leur signature olfactive. Puis, l’enseigne s’est diversifiée en diffusant huit odeurs attribuables aux parfums de l’encens qu’ils vendent

celle de Cristau et Strazzieri (1996). L’échelle PIA a été choisie ici car il s’agit d’une mesure unidimensionnelle de l’implication qui bénéficie d’une très bonne cohérence interne et d’une forte valeur prédictive (Cristau et Strazzieri, 1996 ; Rieunier, 2000). Un pré-test de l’échelle en trois items, réalisé auprès d’un échantillon de 43 étudiants, montre une bonne fidélité de l’échelle, avec un alpha de Cronbach de 0,87 pour la bière et de 0,89 pour les cigarettes. La familiarité subjective avec

se sont penchées sur l’atmosphère du point de vente et ont démontré son impact sur le comportement du consommateur, aussi bien au niveau cognitif, affectif et comportemental (Yalch & Spangenberg, 199393 ; Areni & Kim, 199494 ; Sibéril, 1994 95 ; Rieunier, 200096). 91 92 -Bouchet P. (2004), « L’expérience au cœur de l’analyse des relations magasin-magasineur », Recherches et Applications en Marketing, Vol. 19, N° 2, pp. 53-72 93 Yalch, RF ; Spangenberg, E., (1993) : “ Using store music for retail

par Belk (1975), le dernier fait référence à son environnement social. Le tableau 1 propose un récapitulatif des principaux facteurs de l’environnement d’un point de vente issus des travaux de Kotler (1973-1974), Belk (1975), Baker (1986), Daucé et Rieunier (2002). Tableau 1 : Récapitulatif des principaux facteurs de l’environnement d’un point de vente Facteurs sonores Facteurs olfactifs Atmosphère Environnement physique Facteurs visuels Facteurs tactiles Facteurs gustatifs − − − − − − − − − − − −

Partagé entre manipulation et différenciation, on peut alors se demander jusqu’où le marketing sensoriel ira-t-il pour inciter les consommateurs à acheter. Bibliographie Livre : - Le marketing sensoriel du point de vente, Sophie RIEUNIER, aux éditions Dunod. - Le marketing sensoriel De la stratégie à la mise en œuvre, Agnés GIBOREAU et Laurence BODY, aux éditions Vuilbert. Site internet : - http://fr.wikipedia.org/wiki/Marketing_sensoriel#Le_marketing_visuel -

(tableau 1). L’implication envers le football a été mesurée à travers l'échelle PIA de Strazzieri (1994). Il s’agit d’une échelle dont la robustesse et la bonne qualité prédictive pour l’implication durable ont été vérifiées à plusieurs occasions (Rieunier, 2000 ; Le Roux et al., 1997). L'échelle comprend six items, réunis en trois composantes, la pertinence, l’intérêt, et l’attirance. Les six items sont mesurés chacun sur une échelle de Likert de 5 points.   Le questionnaire a été administré en

depuis quelques années, l’importance croissante de la valeur d’éthique. Un certain nombre de valeurs morales auraient émergé chez les consommateurs allant jusqu’à valoriser une marque ou une entreprise qui véhiculerait cette valeur. Volle et Rieunier (2001) définissent, d’ailleurs, ces nouvelles tendances selon différentes dimensions dont une qui nous préoccupe plus particulièrement : l’identité de l’individu et ses rapports aux autres. Ainsi, le consommateur s’accomplit individuellement et

fidélisation ne se limite pas à la simplicité. Le consommateur est également motivé par la volonté de gagner du temps. La perception du manque de temps semble, en effet, un phénomène de plus en plus important dans la société actuelle (Mermet, 2002 ; Rieunier et Volle, 2002). Cette motivation peut être assez importante pour justifier l'adhésion à un programme de fidélisation (Gwinner et al., 1998). (ii) Les bénéfices hédoniques Comment expliquer le succès de programmes tel que celui de Mercedes, qui offre