Revendication Féminine

Fiche Séquence d’Histoire Sujet d’étude / titre de la séquence : Les femmes dans la société française de la Belle Époque à nos jours. Problématique : Comment la condition féminine a-t-elle évolué depuis la fin du XIXème siècle ? Choix de la (des) situation(s) : Louise Weiss et le vote des femmes dans l’entre-deux-guerres. |Séances |Mots-clés |Capacité (s) |Support (s)

pouvoir et leur participation citoyenne dans un objectif d’égalité et pour une meilleure prise en considération de leurs besoins et de leurs visions dans les lieux de décision Objectif 2 : Favoriser les échanges d’expertise en matière de condition féminine sur le plan internationale afin de parfaire nos connaissances et faire connaître les réalités des Québécoises 6 TABLEAU SYNTHÈSE – PLANIFICATION STRATÉGIQUE CONSEIL DU STATUT DE LA FEMME 2001-2005 Mission Contexte Enjeux

des filles ». La condition féminine est un sujet très controversé de la préciosité. Contre les mœurs de l’époque, les salons mondains permettent une sorte d’émancipation aux femmes de la bonne société, qui revendiquent le droit au savoir et le libre choix d’un mari. Les Précieuses Ridicules (1659), puis les Femmes Savantes (1672) de Molière raillent les formes caricaturales prises par un mouvement qui influencera pour toujours la littérature et la vie sociale féminine. Pour traiter de la question

moitié du XIXème siècle. Mais il faut attendre la fin du XIXème siècle et la première moitié du XXème siècle pour que se développe réellement ce que les historiennes qualifient de première vague du féminisme. Celle-ci est caractérisée par la revendication de droits égaux en matières politique et professionnelle. Des femmes veulent pouvoir exercer les mêmes professions que les hommes (avocat ou médecin par exemple). Elles réclament également de participer aux élections et d’être éligibles, comme

premier temps les concepts : mouvement pour les droits des femmes, mouvement féministe et enfin, le concept de mouvement social. Par mouvement pour les droits des femmes, nous entendons l’ensemble des organisations et individualités masculines et féminines ayant inscrit, depuis la période coloniale à ce jour, l’amélioration de la condition et du statut des femmes dans leur agenda. Le concept de mouvement féministe, renvoie, quant à lui, à une position politique qui consiste à voir les grandes questions

étudie la condition féminine au XXe siècle en s’arrêtant sur quelques moments clés : conquête des droits civils et politiques, maîtrise de la fécondité… On présente l’évolution économique et sociale de la situation des femmes ainsi que les inégalités qui persistent. Bibliographie Christian BARD, Les femmes dans la société française au 20e siècle, A.Colin, 2004. Sabine BOSIO-VALICI et Michelle ZANCARINI-FOURNEL, Femmes et fières de l’être, un siècle d’émancipation féminine, Larousse, 2001. Georges

physiques Le sport : lieu privilégié de formation des hommes : apprentissage de la virilité ; monde sportif = construction du masculin La participation sportive des femmes, différenciation sexuée et sociale : discipline comme danse ou gymnastique = féminine ; sport collectif, de combat ou de force = « fief de la masculinité » ; rapport au corps associé aux différentes positions sociales Etre une femme dans un sport « masculin » : produire une masculinité virile ; « vrais » hommes ; pratique masculine

féministe est donc bien de vouloir faire évoluer la société. Idées préconçues : Nombreux sont les préjugés faits à l'égard des féministes, et ce depuis leur début. Nous pensons que les féministes sont des femmes peu comprises dans leurs revendications et ce depuis que le mouvement existe. Elles sont exclues par la société, par les hommes comme par les femmes. Les mouvements féministes sont souvent considérés comme extrémistes et que les causes pour lesquelles les féministes se battent sont

comportements sociaux à la plus grande satisfaction des entreprises annonceuses. La publicité sexiste prend prétexte de l’humour ou de l’esthétique pour représenter des attitudes de discrimination fondée sur le sexe. Elle impose un modèle unique de beauté féminine en présentant des clichés – savamment retouchés – de femmes toujours plus grandes, plus minces, plus jeunes et à la musculature toujours plus tonifiée. La femme dans la publicité sexiste est tour à tour passive, séductrice, fragile, sans scrupule

particulièrement de la France étaient rivés par delà la méditerranée. Bon nombre d’observateurs et de journalistes l’annonçaient alors, le Maroc entrait dans une ère nouvelle ; celle de la modernisation de sa société. Pourtant, et malgré une telle revendication largement exprimée, il semble que profondément ancré et attaché à sa « marocanité », l’ensemble du peuple n’a jamais souhaité « attraper le virus de la modernité au détriment de la culture, voire des traditions ». De fait, annoncé à grands bruits