Respect Des Autres

encouragent l'effort continu. □ Je respecte les entraîneurs et leurs compétences. □ Je comprends la tâche difficile des officiels, je respecte leurs décisions et encourage les participants à faire de même. □ Je reconnais qu’un climat de saine compétition implique également un respect entre parents. Je respecte chacun des bénévoles car sans eux mon enfant ne pourrait pas pratiquer cette activité. □ Je considère chaque enfant avec respect. Je reconnais les bonnes performances

que de devoir s’adapter aux « normes » fixées par une certaine société. Il faut quand même ajouter quelques nuances, car certes, il ne faut pas se plier totalement aux autres, tous se ressembler, tuer l’individualité ou tomber dans le conformisme mais il est tout de même nécessaire de s’adapter un minimum. Respecter les autres afin de rendre toute cohabitation possible. L’avis défendu par Blaise Cendrars est me semble-t-il tout à fait paradoxal car il va à l’encontre de ce qu’on pense généralement

définition originelle du mot Barbare du Grec Ancien (βάρϐαρος) qui désignait tous les peuples autres que Latins ou Grecs. Selon la définition de l’homme idéal de Thomas More dans « L’utopie », un homme cultivé devrait « respecter les différentes religions ». On pourrait donc en déduire que l’homme idéal doit respecter les cultures et coutumes des différents peuples. La vraie barbarie serait alors de ne pas respecter les coutumes des Indiens d’Amérique et de les qualifier de barbares. Dans l’ « Eloge

Dans son propos, on ne connaît la nature de la règle qu’il entend. Cependant, en raison de l’intégration de la sanction à la règle, on peut comprendre qu’il s’agit de la règle de droit car la principale distinction entre la règle de droit et les autres normes (religieuses, morales,...) s’établit par la sanction étatique du juge et pas seulement la réprobation sociale. Ainsi, la règle de droit est définie d’après Rémy Cabrillac comme “une règle de conduite dans les rapports sociaux, générale, abstraite

liberté de presse, une liberté conditionnée i-La protection des individus ii-La protection de la société B- La limite et la proportionnalité avec le degré de liberté i-La garantie minimale des autres droits ii-L’égalité des délits et des peines Conclusion Introduction “Seule une presse libre peut faire mal” , un slogan inventé par L'organisation Reporter sans frontières publié, sur des portraits photos des dictateurs

Obéir aux lois suffitil pour être juste ? obéir = ‐ respecter ce qui est demandé. ‐ Faire ce que les règles ordonnent ‐ Suivre les ordres ‐ Faire ce qui commandé ‐ Ce n’est pas : désobéir. Lois : ‐ lois naturelles ou physiques : nécessaires et non décidées par les humains. On ne peut pas leur désobéir, car elles s’imposent (on ne peut que les contourner ou les utiliser les unes contre les autres). ‐ ensemble de règles, de normes visant à réguler la vie sociale selon certaines valeurs

pas d'accord avec ce que vous dites mais je me battrai pour que vous puissiez le dire ». C'est une citation de Voltaire, écrite au siècle des Lumières. En d'autres mots, l'auteur voulait dire qu'on doit être tolérant envers les autres et qu'on doit respecter les autres et leurs opinions. C'est une chose que presque tout le monde essaie de faire, mais sommes- nous vraiment tolérants aujourd'hui ? Est-ce que nous nous sommes améliorés ces derniers siècles? C‘est ce dont jè m'occuperai dans le texte

blanche, une personne noire à moins de chances d’être engagé. Il en va de même pour les personnes de conditions modestes ou issues des banlieues. Autres exemple, l’intolérance entre les cultures et les populations. Là aussi, cette « non-entente », cette volonté de « civilisé » les autres selon son idée remonte à loin, origine de nombreux conflits : les romains qui envahissent la Gaule contre les gaulois, « ces barbares », l’extermination des Indiens d’Amériques par

citoyen est fondé sur le respect des notions de : - Liberté : Elle n’est que relative à un ensemble de droits et de devoirs. Notre liberté individuelle s’exprime dans une architecture de lois, de règles… communautaires qu’il faut s’attacher à respecter soi-même, et à faire respecter aux autres. Dans ce cadre réel et fonctionnel de liberté, la conformité est peut-être appréciée, mais elle n’exclue ni la créativité, ni la culture d’un certain degré de différenciation aux autres (style de vie et /

geste et ne pas vouloir que les autres le posent (exemple de l’action impossible à réaliser). Dans ce cas, je me contredirais, ce qui est logiquement inacceptable. Le geste est donc immoral, puisqu’il ne peut être universalisé. Mais qu’en est-il de la liberté et de la dignité, les deux autres caractéristiques que Kant attribue à l’homme ? C’est ici que ce Kant va introduire un autre principe, complément du principe de l’universalisation, soit le principe du respect. Je ne pourrais vouloir qu’une