Repoussoir

Conclusion : Dans un contexte de crises climatiques et économiques grandissantes, le développement économique durable est utilisé à tout va. Il semble être un gage de légitimité par de nombreux professionnels. Il faudrait éviter d’en faire un repoussoir. Il est ainsi l’unique réponse intelligente apportée aux problèmes du monde. Chaque terrien a le droit au confort de base, à la santé et à l’éducation. Pour lutter contre l’épuisement des ressources naturelles, il n’y a que l’utilisation des énergies

glissement toujours possible de la justice vers la vengeance. Il s’agirait pour la justice d’une régression, voire d’une dénaturation. Il est vrai que la vengeance n’a pas bonne réputation. Elle a mauvaise presse, elle joue souvent le rôle de repoussoir. Là où la justice est bonne, la vengeance est toujours injuste. Là où la justice se situe dans le cadre de la loi, la vengeance est toujours hors- la-loi. Elle est stigmatisée comme une forme archaïque et primitive de la justice, à laquelle le

directions devant leur responsabilité : si la qualité du travail est sacrifiée, si de nouveaux compromis sociaux ne sont pas possibles sur ce terrain, si ce conflit incontournable est dénié et refoulé par la pompe à finance, l’entreprise deviendra un repoussoir social. Elle vaut mieux que cela. C’est elle qu’il faut soigner en urgence. Elle n’est jamais qu’un moyen de travail pour des femmes et des hommes qui se sentent comptables d’une longue histoire dont personne n’est x le propriétaire exclusif. n

l’articulation instruction / éducation. Recueil des représentations : Daniel Hameline explique que « la figure d’Herbart domine toute l’histoire de l’enseignement, en Europe et même au-delà, au cours du XIXème siècle. Au XXème siècle, il devient le repoussoir obligé de l’Education nouvelle » (L’éducation dans le miroir du temps, Lausanne, Éditions des sentiers, 2002, page 251). En effet, Herbart est considéré comme le père de « la leçon » traditionnelle telle qu’elle s’enseigne dans les Écoles normales

du glissement toujours possible de la justice vers la vengeance. Il s’agirait pour la justice d’une régression, voire d’une dénaturation. Il est vrai que la vengeance n’a pas bonne réputation. Elle a mauvaise presse, elle joue souvent le rôle de repoussoir. Là où la justice est bonne, la vengeance est toujours injuste. Là où la justice se situe dans le cadre de la loi, la vengeance est toujours hors- la-loi. Elle est stigmatisée comme une forme archaïque et primitive de la justice, à laquelle le passage

n'y a pas de souffrance éprouvée sans désir d'en être délivré. Quiconque éprouve de la douleur aspire à sa cessation. Et il suffit de se représenter en pensée la possibilité d'un plaisir pour désirer du même coup l'éprouver. La douleur est donc un repoussoir, le plaisir une tentation, et il ne peut en aller autrement. Remarquons cependant que le parallélisme du début du texte n'est qu'apparent : c'est bien « l'idée de plaisir » et non le sentiment de plaisir qui fait écho au « sentiment de peine ».

sont qualitez rares, fortes et philosophiques ». a) La loyauté envers le prince ne signifie pas l’asservissement du jugement. 155 C: « Si son gouverneur (…) taché et d’imprudence et d’ingratitude ») Le modèle du « courtisan » joue le rôle d’un repoussoir. b) La sincérité du jugement est une qualité philosophique. 155 AC : « Que sa conscience et sa vertu (…) qualitez rares, fortes et philosophiques ». • L’apprentissage de la bonne attitude dans la vie en société. 155 A : « On l’advertira

et s'oppose à la politique religieuse du cardinal de Richelieu qu'il juge trop clémente à l'égard des protestants. La Ligue a eu un impact sur la société; lors de la Fronde, les acteurs gardent présents à l'esprit la Ligue, comme modèle ou comme repoussoir.

de Lavelle, enclaves qui échappaient à la surveillance des sécuricams. 183, La plupart des bâtiments étaient effondrés, condition de vie abominable sans eau ni électricité, tout s’achetait, ( drogues, alcool etc... ). Les enclaves sont l’ultime repoussoir mais les supprimer serait mettre la société en péril. Page 195 citation d’introduction Pages 239 à 241 §1 Les enclaves sont utiles ce sont 20% du budget de Félicidad qui proviennent des aires de plaisir. Taxes versées par les aires de plaisir

directions devant leur responsabilité : si la qualité du travail est sacrifiée, si de nouveaux compromis sociaux ne sont pas possibles sur ce terrain, si ce conflit incontournable est dénié et refoulé par la pompe à finance, l’entreprise deviendra un repoussoir social. Elle vaut mieux que cela. C’est elle qu’il faut soigner en urgence. Elle n’est jamais qu’un moyen de travail pour des femmes et des hommes qui se sentent comptables d’une longue histoire dont personne n’est le propriétaire exclusif. nx