Règle de saint Augustin

la convoiter, il a déjà commis l’adultère avec elle dans son cœur ». Dans cette mouvance Saint Paul, dans la première épître aux corinthiens montre que le bien c’est l’amour de son prochain comme on aime soi même parce que tous les hommes sont à l’image de Dieu le créateur. Par conséquent la charité est le bien essentiel. Il dit : « je n’ai point la charité, je suis rien ». Quant à Saint Augustin : « deux amours ont bâti deux cités ;l’amour de soi jusqu’au mépris de Dieu fut la cité terrestre ;

sentiments). Les thèmes seront choisis dans ce qui appartient au général (l’Antiquité par exemple). • Le pessimisme : l’idéal humain a donc perdu son aspect héroïque mais il est encore rabaissé par la rigueur de la théologie qui s’inspire de Saint Augustin (évêque du Vème prônant la sévérité). Celui-ci enseigne que l’homme, privé des lumières et des secours de Dieu, est livré à lui-même. Il est incapable de trouver la vérité et de juger (esprit), et il est la victime de ses passions qui l’entraînent

copiste s’appelait Pierre de Vénérable texte · Date : environ 13ème s. · Lieu de conservation : BNF ; paris · Côte : Latin 17716· Dimension : 223 pages et 91 feuillets · Situation géographique : Bourgogne : abbaye saint pierre de Cluny· Type d’œuvre : enluminure · Ancien possesseur : abbaye saint martin des champs qui était rattaché à l’ordre de Cluny depuis 1079.Œuvre 2 : Autel de de Paray-le-Monial (XIIe siècle)· Titre : autel roman · Sculpteur/architecte : inconnu · Date : 12ème s. · Lieu de conservation :

propriété c’est le vol, le principe de nationalité est une blague. C’est l’anarchie absolue. Grande séparation entre Proudhon (non violent) et Marx (révolution) au sujet de la violence. Proudhon étudie le droit comme Platon = la société est fondée sur la règle de droit.   Section II- Socrate   Sous-section I- La vie de Socrate   Socrate est né vers 470 à Athènes (on ne sait pas trop) et il est mort en juin 399. Son père était sculpteur et sa mère sage-femme. Cela explique ses métaphores de l’accouchement

Poincaré consacre un chapitre entier à la notion de temps en ayant pour visée la mesure du temps. Il est clair qu’en abordant ce problème, il se situe au sein d’une lignée de penseurs et de savants qui ont médité sur ce thème : Platon, Aristote, Saint Augustin, etc. L’apport de Poincaré est à considérer dans le prolongement des travaux de Newton, de Kant, de Wundt et de Mach ; il est contemporain des contributions de Bergson, de Husserl et d’Enriques. Plutôt que de voir comment toutes ces approches

Rabelais Gargantua ch. LVII « Comment était réglé le mode de vie des Thélémites » « Toute leur vie était régie... qu’au premier temps de leurs noces » Gargantua construit l'abbaye de Thélème (« volonté libre» en grec) pour récompenser Frère Jean des Entommeures de ses exploits dans les guerres picrocholines. L’abbaye est construite au bord de la Loire pour être « au contraire de toutes les autres» et accueillir les filles « depuis dix jusqu'à quinze ans» et les garçons « depuis douze jusqu'à

SAINT DOMINIQUE I. Sa vie Saint Dominique, de son vrai nom Dominique de Guzman est né en 1170 à Caleruega (Espagne) et mort à Bologne (Italie) en 1221. Il est le fondateur de l'ordre des frères prêcheurs appelés couramment « dominicains ». [1] Saint Dominique vu par Fra Angelico http://www.dominicains.fr | A 14 ans il entre à l'université de Palencia où il étudie la théologie et la philosophie. Pendant ses études, une famine éclate en Espagne. De nombreux pauvres viennent se réfugier dans

l'Église catholique soit totalement dirigée depuis Rome, que le pouvoir soit centralisé entre les mains du pape. La « querelle des investitures » l'oppose à l'empereur germanique Henri IV à partir de 1076. Il faudra attendre 1122 pour que la question se règle, en partie, avec le compromis de Worms : les souverains gardent l'investiture temporelle, mais le pape gagne l'investiture spirituelle • Pour obtenir la signature de l'accord, le pape a menacé les souverains d'excommunication (Mais il n'est pas toujours

conversion de ce genre, par son caractère impromptu, peut avoir de choquant et même d’inadmissible pour les esprits contemporains qui préfèrent les cheminements rationnels aux coups de foudre mystiques (…). Pourtant, si désireux que je sois de me mettre en règle avec l’esprit de mon temps, je ne peux fournir les repères d’une élaboration lente où il y a eu changement brusque ; je ne peux donner les raisons psychologiques, immédiates ou lointaines, de ce changement, parce que ces raisons n’existent pas ; il

se focaliser sur les différentes conceptions de l’éducation des auteurs que nous avons volontairement choisis et que nous appelons anciens.9 Il s’agit d’Augustin, Alain, Kant et puis Reboul lui-même. Commençons par Saint Augustin. I.1. L’éducation chez Saint Augustin. Saint Augustin développe sa pensée éducative dans Le Maître. Cet ouvrage s’inscrit dans une tradition humaniste qui va de Platon jusqu’à Marie de Montessori, en passant par Port-Royal10. Notre auteur y fait entrevoir que la communication