Regard étranger

pour eux-mêmes : « Ils n’étaient au pied des autels que pour demander la santé de leurs pères, l’union de leurs frères, la tendresse de leurs femmes. » (l. 16-17) Accueil de l’étranger, hospitalité dans le ch. XXX de Candide : « il fit entrer les étrangers dans sa maison» servis par « ses deux filles et ses deux fils. » (l. 13) La voie du bonheur est de se contenter de ce que l’on a et de prendre soin des siens. Conclusion Les trois textes entraînent leurs lecteurs sur les voies paisibles de la

sa mère ou à sa femme. Le roman exploite cette situation dans l'épisode de Raymond, mais jette un autre regard sur cette morale de la rue. Ce dernier reproche à sa maîtresse de lui avoir "manqué. Et il la frappe. Je ne suis pas sûr que le romancier Camus (et non le narrateur Meursault) soit en accord avec cette morale. *********** Deuxième partie : Meursault apparaît comme un étranger dans la 2nde partie du roman. Structure de la deuxième partie : * chapitre 1 : c'est l'instruction de

Manon SagotL2 Lettres DM : Jeu BlancEn quoi l’extrait est-il révélateur d’un climat de paranoïa et de souffrance, au sein d’un milieu paisible et familial ?I. Un Peuple d’Amour et de Spiritualité a/ Présentation de la famille de Saul = description précise de la famille de Saul, suscite la compassion et l’amour (« ma grand-mère, Naomi, était très vieille », « hormis mon frère, j’avais une sœur que je n’ai jamais connue (…) elle disparut

et parues sans nom d’auteur nous révèlent les correspondances entre Usbek et son ami Rica, deux Persans qui décident de quitter leur pays pour découvrir la France et ses mœurs bien singulières. Au travers de ces lettres, Montesquieu, masqué sous le regard de ses personnages fictifs, se lance dans cette lettre audacieuse : la XXXVII du recueil, datée de 1713 c’est-à-dire deux ans avant la mort du roi de France, Louis XIV dit le Roi Soleil. Dans cette lettre, Montesquieu se livre à une satire mordante

ne sait pas vraiment à quelle heure se déroule la scène. . Il n'y a aucun objets qui peut nous aider à identifier le lieu ou se passe cette dernière. . Le regard est attiré par l'homme qui nous tourne le dos situé au milieu de l'image. Tout comme Meursault qui tourne le dos au monde qui l'entour, car par sa position le personne semble étranger. Il semble mis en avant et au centre de toutes les attentions comme si il était observé, peut être même jugé. On pourrait aussi penser qu'il est prisonnier

Observation et élaboration de la connaissance. Construction de la connaissance : Expérience : Le regard que l’on porte nous renvoie à nous même de la place que l’on occupe. Est-ce que nous tous ensemble pouvons décrire la réalité de la pièce ? Autant de réalité qu’il a d’individu. En effet, on fait le tri, il n’est pas innocent car notre façon de regarder le monde nous renvoie à nous même. On extrait des éléments qui nous paraissent significatifs. Il y a des choses qui nous paraissent banales

pendu, choisi arbitrairement parmi la foule des grelottants, abandonné ensuite, se balançant au bout de sa potence. Pantin sans vie, exposé au regard de tous. Pour leur rappeler qu'ils n'étaient « rien ». "UN ÉTRANGER A DÉBARQUÉ QUELQUES SEMAINES PLUS TÔT DANS CE VILLAGE" Brodeck, le narrateur, se met à l'ouvrage. Il enquête. Que s'est-il passé ? Un étranger (l'Anderer, l'Autre) a débarqué quelques semaines plus tôt, dans ce village, attifé avec un raffinement déplacé, accompagné d'une jument et

grand espace défendu aux hommes, qui se joignait au ciel, et au delà duquel il n’y avait rien »et après être surpris en voyant les Européens tout en se mettant lui aussi à leur place : « Cependant voilà un beau jour l spectacle du monde le plus étrange et le moins attendu qui se présente à ceux »,«  Des grands corps énormes qui paraissent avoir des ailes blanches, qui volent sur mer, qui vomissent du feu, disposant comme ils veulent de monstres qui courent sous eux et tenant en leur main des foudres

comportement de différents groupes d’individus et progresse de façon pyramidale, de la base vers le sommet, du peuple des courtisans vers le Roi. Le texte est surtout original par le point de vue adopté par la Bruyère. Il s’agit de celui d’un voyageur étranger qui

au cours des édition suivantes. Le témoignage semble donc suffisamment éloquent à l’auteur puisqu’il ne lui a pas inspiré des réflexions ou des précisions ultérieurs. - Nous nous intéresserons à la façon dont Montaigne trouve dans le regard que les étrangers portent sur la France matière à réflexion sur la rencontre entre les cultures et sur la nature humaine. Nous montrerons d’abord comment Montaigne présente cette anecdote. Nous dégagerons ensuite son contenu critique avant d’envisager en quoi