Regard Du Narrateur Madame Bovary

mâchant la nourriture pour ses petits puis compare Paris (et cette fois non pas les Halles, mais bien Paris) à un seul organisme dont les Halles en seraient l’organe central, c’est-à-dire le cœur. Le texte D possède également un narrateur non focalisé. Jean-François Parot nous décrit ici un Paris pour le moins déplaisant et repoussant. Il décrit tout ce qui va de pair avec une place d’équarrissage : une odeur qui persiste à des centaines de mètres, les rats, les corbeaux, les chiens

bonheur pour Madame Loisel, mais aussi le début et la cause d'une longue vie de misère. Il s'agira alors d'étudier comment Maupassant, en jouant sur la structure et le temps verbal de ses phrases parvient à exprimer l'importance qu'à le bal aux yeux de madame Loisel. Deux mouvements peuvent donc être distingués dans le texte, Il y a un premier ensemble constitué de phrases courtes et de verbes majoritaireent au passé simple qui s'attache ) exprimer le succes que connait Madame Loisiel tandis

cinéma et la littérature Dans le roman Les mots construisent les phrases et de là l'œuvre toute entière de plus le sens ce n'est pas immédiat car il dépend de l'enchaînement des mots et se produit selon un déroulement temporel temps de la lecture le narrateur fait connaître au lecteur les êtres et les lieux étant donné qu'ils sont les forces agissantes du récit ce dernier s'affirme également dans son pouvoir de description.Contrairement à la littérature le cinéma est conçu comme l'art du montrer et de

leur mise en circulation).La censure vise tous les écrits dangereux. Jusqu’en 1870 personne n’osera la braver. Donc il y aura des éditeurs clandestins, publication en Belgique, et romans écoulés sous le manteau. Maître Pinard jugera Flaubert (Mme Bovary) et Baudelaire (Les fleurs du mal). Au début du 20ème siècle, les poèmes condamnés réapparaissent dans la plupart des éditions mais il faut attendre 1949 pour que Baudelaire soit réhabilité par une décision de justice. Les cabinets de lecture

les cours des gens » «  C’est pourquoi le désir me pris / de vous raconter et de vous décrire, à la place d’un mensonge et d’un fable, / Une aventure véritable/ Très étrange et très merveilleuse./ La matière en est pieuse / Et celui qui veut en regarder le fruit / S’écarte du mal / Et sent considérablement son cœur enclin / A persévérer dans le bien ». Le Roman du comte d’Anjou (1316) III. Seizième siècle 1. Gohory (1520-1576) a. Le Treizième Livre d’Amadis de Gaule (1574) «  Or pour rendre

genre noble (au contraire du théâtre et de la poésie) car il n’a pas de règles définies. Epoque des romans précieux qui dépeignent la psychologie amoureuse * D’Urfe --> l’Astrée * Madame de la Fayette --> la princesse de Clèves * Paul Scarron --> le roman comique * Lettres de Madame de Sevigne --> pas des romans mais ces lettres ont renouvelé l’écriture en prose. 4) Le 18ème siècle Genre romanesque est florissant mais le roman est méprisé par les critiques qui

période romantique. 1. Du romantisme… Les écrivains romantiques ont plutôt tendance à faire du héros romanesque un personnage hors du commun, paré de toutes les vertus. Par exemple, dans Le Lys dans la vallée, Balzac présente l’héroïne principale, Madame de Mortsauf, comme l’image de la « perfection terrestre », le symbole même de la vertu, en la dotant de toutes les séductions de l’âme et du corps. À leur manière, les héros stendhaliens se distinguent eux aussi du vulgaire par l’énergie qui les anime

période romantique. 1. Du romantisme… Les écrivains romantiques ont plutôt tendance à faire du héros romanesque un personnage hors du commun, paré de toutes les vertus. Par exemple, dans Le Lys dans la vallée, Balzac présente l’héroïne principale, Madame de Mortsauf, comme l’image de la « perfection terrestre », le symbole même de la vertu, en la dotant de toutes les séductions de l’âme et du corps. À leur manière, les héros stendhaliens se distinguent eux aussi du vulgaire par l’énergie qui les

_Mort : En Mai 1880 d’une hémorragie cérébrale. II) Son œuvre: Romans: _Madame Bovary (1857) _Salammbô (1862) _L’éducation

Il se parfume. Oncle de Zazie), Charles (son beau frère, 45 ans, célibataire, cherche la femme idéale dans le courrier du cœur), Zazie (petite fille mal élevée, vulgaire, « mon cul » -> jeux de mot), Jeanne Lalochère (mère irresponsable). Le narrateur est en dehors de l’histoire et omniscient. Le thème central est la quête de Zazie -> prendre le métro). Adjuvant-> Gabriel. Obstacle -> la grève. Aspects atypiques : Effet de brouillage, pas de repère précis. Pas d’accord sur le nom des