Réalité scénarisée

Lien avec le sujet Toute pratique artistique cherche à interpréter le réel. Le processus mis en jeu est la symbolisation, « procédure de transformation des faits en symboles par la double opération de la stylisation et du déplacement de sens de la réalité à celui d’une interprétation du réel. » (Thomas, Perez, Danser en Milieu scolaire) Les faits renvoient au réel, à ce qui est tangible, visible, palpable, certain. Il est univoque. Le symbole est polysémique, il donne lieu à un nombre infini d’interprétations

croire que ce n’est qu’un passe-temps personnel puisque cela n’est d’aucune utilité pour notre société. En outre, chacun peut percevoir les différentes œuvres d’art à sa manière, c’est ce qui permet de s’approcher de la subjectivité, s’éloigner de la réalité, pour enfin tomber dans l’inutilité. Finalement, il est très difficile de conclure cette problématique, dû au fait que les arguments penchent équitablement des deux côtés de la balance. Voire même si l’on pourrait un jour départager ses

Dissertation Problématique «  La fonction du roman est-elle de critiquer la réalité? » , d'après la phrase de Mario Vargas Llosa : «  il n'y a rien de mieux qu'un roman , pour faire comprendre que la réalité est mal faite, qu'elle n'est pas suffisante pour satisfaire les désirs, les appétits, les rêves humains. Pour répondre à notre problématique, nous allons aborder différents sujets. Notre première partie s'attachera à développer deux concepts forts, l'inégalité sociale et la non-satisfaction

Sujet: Faut il connaître la vérité à tout prix La vérité est un sujet très présent chez les Philosophes et ce, depuis le premier, Socrate. La vérité est ce qui se rapproche le plus de la réalité, des choses, de leur essence. La question de la vérité a fait couler beaucoup d’encre chez de nombreux écrivains, notamment chez Nietzsche qui défendit le fait de ne pas connaître la vérité, que l’illusion était préférable. Cependant, l’acquiescement de la vérité nécessite tout d’abord sa recherche

l'imagination. Enfin, il convient de s'interroger sur la notion de « reflet » qui relie le terme de conscience et de réalité. Celui-ci se démarque ici par son ambiguité ; en effet, se définit-il plutôt comme une image fidèle ou déformée? Dans un premier temps, nous nous rattacherons à l'aspect mélioratif du terme de « reflet », en admettant que la conscience reflète bel et bien la réalité. Nous parlerons ensuite d'une différente manière d'interpréter la question posée, c'est à dire en considérant ce

énoncé à un réel donné dans le premier cas, conformité d’un énoncé à ses propres lois formelles et construites dans le second. La même alternative se retrouve lorsque l’on creuse la première hypothèse : même la perception, qui constate la vérité comme réalité, n’est peut-être pas que donnée, mais aussi pour partie construite. Question : La vérité est-elle quelque chose de donné ou de construit ? La notion de vérité est également marquée par son unicité. Autant l’expression « les croyances » ne choquerait

intéresse Breton c’est de dépasser le rêve et la réalité, pour s’intéresser à l’opposition entre le rêve et l’état de veille, qui sont tout les deux de la réalité. Quand Breton dut qu’il n’y aucune solution de continuité entre l’état de rêve et de veille, il veut dire qu’il a une grande continuité entre les deux. Le rêve aussi peut être une forme de savoir, aussi bien que l’état de veille. Le surréalisme n’est pas le contraire de la réalité, c’est une réalité plus grande, qui va englober des éléments

dans la réalité extérieure. Et la fragilité de la personnalité peut tout a coup apparaitre, se révéler, car la loi œdipienne est exclus (for-close ) de son système de penser. Quand il rencontre cette loi, cela génère une angoisse qu’il ne peut contenir, penser, élaborer. Le cristal de la personnalité se brise face a cette angoisse, c’est ce qui va être à l’origine de la décompensation. On va observer une perte de contact avec la réalité, une mise en place d’une néo réalité. Cette néo réalité lui permet

notre liberté. Mais l'homme est-il vraiment libre de ses choix ? Est-il, seul, l'auteur de sa vie en tant que liberté d'être ? La liberté dont on dispose, ne serait alors qu'une illusion. Sartre nous amènerait cependant à croire que "le propre de la réalité humaine, c'est qu'elle est sans excuse" et que l'homme existe en tant que liberté absolue. L'homme serait-il alors plus libre que ce que certains philosophes nous amènent à croire ? Peut-il décider à lui seul de sa destinée ? Par ailleurs, n'est-il

Ce brave Italien voyait dans sa diète la cause de sa longévité : tandis que la condition première pour vivre longtemps, l’extraordinaire lenteur dans l’assimilation et la désassimilation, la faible consommation des matières nutritives, étaient en réalité la cause de sa diète. Il n’était pas libre de manger beaucoup ou peu, sa frugalité ne dépendait pas de son « libre arbitre » : il tombait malade dès qu’il mangeait davantage. Non seulement celui qui n’est pas une carpe fait bien de manger suffisamment