Réalité scénarisée

démarche, intéressant. L'histoire de l'art est un cheminement où tout à été construit puis déconstruit. On a appris longtemps les règles de la composition, des couleurs, de la perspective pour tenter de représenter au plus juste la réalité. Puis on s'est dit que la réalité, la nature était trop parfaites pour être représentées en peinture. Peu à peu la rupture opère, petit à petit les couleurs, les formes sont déformées, leur importance devient secondaire, place à l'expression, la peinture devient le

seulement en prendre une vue parmi ses nombreuses apparences. Donc, lorsque nous disons que nous percevons un cube, nous jugeons d’après le « côté » que nous saisissons que c’est un cube. Ensuite, Alain nous annonce sa thèse (lignes 5 à 7). C’est en réalité par notre faculté de langage et notre intelligence que nous pouvons nous représenter un corps dans son essence, le comprendre et le reconnaître. En effet, c’est en voyant un corps que nous nous rappelons ce que nous savons déjà et c’est ainsi que

flancs de la montagne se trouvent les travailleurs, réduits à une longue et épuisante tâche ; au sommet se trouvent les riches, qui sont dispensés de tout effort. Cette discrimination basée sur le statut peut sembler injuste pour les travailleurs. En réalité, leur situation est probablement favorable, parce par leurs efforts, ils s’élèvent au-dessus des riches, qui se condamnent eux-mêmes à la torpeur. Il s’installe ainsi un jeu constant entre efforts physiques et état moral.

devant un spectacle d’ombres mais ne le savent pas, pensent que c’est la réalité. Les sens témoignent : ex du soleil qui ne tourne pas autour de la terre. Les prisonniers se représentent la réalité. (Impressionnant « fait perception ») D’où perception : Vérité/ Réalité La perception des prisonniers est une fiction imaginaire. {draw:frame} {draw:frame} Perception ≠ Imagination Illusion : Confusion entre réalité objective et une façon subjective de percevoir. Le mirage ordinaire de

devenant au XIX° siècle le genre dominant, a redéfini ce concept apparu à la Renaissance et qu'on réservait au théâtre : c'est à travers l'écriture romanesque en effet que peut le mieux se dissiper une confusion encore entretenue dans le public entre la réalité et la fiction, et que le cinéma a contribué à fortifier. Car le personnage est un création concertée par le romancier, dans la logique de l'univers qu'il fait naître et du regard qu'il est décidé à porter sur le monde. Avec lui se vérifie l'avertissement

ceux d'entre vous qui l'ont écouté, c'est le titre de l'article que Dee Lee avait lu un matin sur les ondes d'une station de radio de New York ..  > Pour ceux d'entre vous qui ne l'ont pas écouté, cet articlemalheureusement dépeint une certaine réalité.  > Une lettre assez assommante écrite par un Caucasien  > (c'est-à-dire un Blanc).  LES NOIRS NE LISENT PAS ET RESTERONT TOUJOURS NOS  ESCLAVES.  > Nous pouvons encore continuer à récolter des profits des Noirs sans effort physique

servirait à véhiculer diverses informations à propos de soi et constitue un ensemble de signaux à propos du groupe d'appartenance, de l'âge, du sexe, du statut social et de la personnalité de l'émetteur. Ces théories ont bien entendu leur part de réalité mais n'expliquent pas tout face à l'ampleur du phénomène dans le contexte actuel. Chaque individu est quotidiennement confronté à un corps de référence imaginaire, idéalisé, inaccessible (mince, jeune, musclé…). Toute différence par rapport à ce

qui régissent notre société. Il y a trois thèmes majeurs sur la science politique : Quelle importance réservé au rôle respectif des acteurs individuel et des structures collectives ? Quel statut reconnaitre au symbolique dans l’observation de la réalité sociale ? Quelle place accordé aux conflits dans l’émergence du politique ? Section 1 : L’individu et la société La sociologie politique étant la science sociale qui étudie le gouvernement des sociétés humaines est d’abord nécessairement la dialectique

L’art est-il évasion de la réalité ? Introduction 1. On appelle art toute activité humaine, d’une part en tant qu’elle se distingue de – voire, permet de s’arracher à - la nature, d’autre part en tant qu’elle se fonde sur une manière réglée de faire et à l’intelligence. L’art est donc manifestation de l’esprit. Mais si l’on peut définir la technique grâce à son but utilitaire (permettre à l’homme de s’adapter à son environnement, de maîtriser la Nature), les beaux-arts demeurent surtout

théories du chaos montrant les limites de la prévisibilité, cf “l’effet papillon” d’Edward N. Lorenz, cf Popper L’Univers irrésolu. Plaidoyer pour l’indéterminisme, etc...). c: ce déderminsime soulève un grave problème moral. Si l’homme est une réalité naturelle, ne faut-il pas alors renoncer à l’idée de liberté qui conditionne à son tour celle de responsabilité, si l’on considère qu’être libre, c’est avant tout ne pas être justement “déterminé” dans ses choix ou ses comportements ? (Cf la position