Rationalité

et de changement. Sections IV : Conclusion : limites - Incertitudes, événements imprévus et discontinuités sont des facteurs d'indécision - Actualisation de la stratégie due à plusieurs facteurs, - Limites du processus stratégique relève de la rationalité limitée, des situations d'urgence et des imprévues, - Limite des moyens à la dispositions de l'entreprise, - Choix volontaristes de tous les membres - Capacité de synthèse et analytique - Incertitudes du long terme, intuition, calcul, accidentelle

notamment dans le cadre de l'économie comportementale, ont montré qu'elles ne se conformaient que très partiellement à cette hypothèse de rationalité parfaite, sur laquelle s'appuient certaines analyses économistes. Entre autres études, celle du professeur Brian Knutson de l'université Stanford montre que les investisseurs voient leur esprit dévier, de la rationalité vers l'émotivité, lorsqu'ils s'adonnent à des décisions financières. Magazine Neuron, Septembre 2005 [1] Critique psychosociologique

essentiel à la macroéconomie, on est obligé de la connaître. Apport essentiel donné par la microéconomie. Caractériser son approche : Approche éminemment normative de la microéconomie : « ce qui devrait être ». Les hypothèses comportementales sur la rationalité des acteurs sont parfois utopistes. L’hypothèse de la concurrence qui est pure et parfaite : « ce qui n’est jamais le cas ». Approche très rarement descriptive possède une ambition positiviste. Essayer de simplifier la complexité de notre environnement

L’existence d’une information imparfaite et asymétrique, • l’incertitude et l’aversion au risque de l’agent économique, • les concepts de rationalité limitée et d’opportunisme, • l’existence de coûts de transaction et de gouvernance, • l’existence d’un capital spécifique non mobile et non déployable. L’hypothèse de rationalité limitée et d’opportunisme remet en cause la vision de l’agent économique néoclassique qui serait capable d’analyser une information qui serait complète

théorie critiqué par Crozier et Friedberg : Ils voient dans la contrainte comme obstacle, une liberté (argument étayé par l'exemple donner par Schelling avec les grévistes qui arrêtent un train et donc une approche de la notion Simonienne de la rationalité limitée : difficulté d'anticipation, limitation des champs), Courpasson y voit une conception déterministe, sauf si la contrainte est un motif de l'action alors la contrainte est une liberté. Ensuite, le problème évoqué par l'auteur face au déterminisme

Selon cet ouvrage l’acteur ne peut pas exister en dehors du système, puisqu’il va permettre de définir la liberté de l’acteur et la rationalité qu’il va utiliser dans ses actions. Ainsi le système ne peut exister que par la présence de l’acteur puisque c’est le seul qui peut donner vie au système et qui peut le changer. En comparant ces deux termes là, on va donner naissance aux contraintes de l’action collective ou l’action organisée. Avant de parler de ces contraintes là, on va définir d’abord

l'origine de l'incomplétude des contrats dans la théorie des coûts de transaction, à savoir la rationalité limitée des agents et l'incertitude à laquelle ils font face, sont selon Williamson, prises en compte de manière satisfaisante par la théorie des contrats incomplets : « Ainsi, Grossman et Hart emploient les termes de « non-contractualisation » et de « non-vérifïabilité » plutôt que celui de rationalité limitée. Ils font référence plutôt à des « investissements spécifiques à une relation » qu'à

ensemble par leur confrontation le prix d’un bien. 2. Rationalité et équilibre : les deux piliers de l’analyse micro économique 2.1. L’hypothèse de rationalité Il est impossible dans les faits d’appréhender avec précision chacun des comportements individuels. Pour contourner ce problème, on considère que tous les acteurs dans une situation donnée ont un comportement similaire. Ils se comportent de manière rationnelle. Le 1er concept est la rationalité parfaite ou substantielle : être capable de prendre

WILLIAMSON (1975)
La notion de coût de transaction recouvre l’ensemble des dépenses engendrées par le contrat qui définit le transfert de propriété entre individus ou entre organisations
2 hypothèses de comportement des managers : La rationalité limitée des managers, empruntée à SIMON L’opportunisme des cocontractants
2 facteurs de dépendance : Le degré de spécificité des actifs La fréquence des échanges 4Apports et limites de la TCT Apports :
Meilleure compréhension des

est opportuniste car face à des contraintes il utilise ses ressources pour améliorer la situation. Comme le démontrait Michel Crozier : « la prise en compte de la culture ne doit pas conduire à une vision essentialiste, la prise en compte de la rationalité ne doit pas dériver vers l’homo economicus. Alors que l'individualisme méthodologique est un must comme présupposé de méthode, sa réduction à l’homo economicus est d'une grande pauvreté et, pour cela, manque toute les réalités. Bien sûr, dans un