Raison Vs Folie

Explication de texte Jean Racine, Phèdre, 1677, acte I, scène 3 (l’aveu de Phèdre à Œnone : v.269-290) Introduction : La 3e scène de l’acte I voit formulé le premier aveu de la pièce : pressée par sa nourrice et confidente Œnone de lui révéler les raisons du mal qui l’affecte depuis quelque temps et qui la fait dépérir, Phèdre, animée par des pensées suicidaires, est contrainte de se dévoiler. Toute la scène est ainsi tendue vers la révélation de l’amour incestueux qu’elle éprouve pour Hippolyte

écrivant du théâtre à cette époque. Effectivement, les droits d'auteurs n'existaient pas. Il fait donc partie de la bourgeoisie moyenne. De plus, il fait des études de droits qu'il n'aime pas et fréquente des salons. Depuis 1680- 1734: querelle Anciens Vs Modernes Elle a débuté en 1680 avec Boileau et son Art Poétique (gardien du classicisme) et Perrault. Le nœud de l'opposition est le rapport aux modèles antiques. Lorsqu' on est partisan des anciens, on considère

va mettre le feu ». Confusion énoncée par la répétition du verbe « penser » et par le mélange comique des points de vue (omniscient du lecteur et interne de la vieille). Cela passe par l’opposition lexicale entre « cet homme endormi » et « front » vs « pierre » et « image ». 4) Péripétie : la vieille brûle le soudard (l. 11 à 13) : Ce mélange des deux points de vue continue dans « Mais l’image, qui n’était pas insensible » : le nom « image » relève du point de vue de la vieille, la prop

Penetration de la culture (jusqu’au centre etc.) + indochine HEROS CF ; GARNIEr (portrait => marquant l’identification contraire à la massification des passage précédant montrant les autres) Belle villes du pacifique Apporte la science, habillé vs nu ou vêtement déchirer Apporte les habitations. Dignité humaine, sécurité, repos. Répondent aux besoins. Detresse des enfants => joue sur l’émotion. Répond au maladie cruelle. Comparaison avec les singes => ce rapproche de l’homme soit disant

réalité peut être l’épopée, la fable ou encore le roman. La deuxième façon est le théâtre. La tragédie est donc une forme théâtrale qui, selon Aristote, est «l’imitation faite par des personnages en action et non par le moyen d’une narration». Comédie vs tragédie Il existe deux grands genres théâtraux : la comédie et la tragédie. Si l’objectif de la comédie est de faire rire, la tragédie doit inspirer la pitié et la terreur. Le spectacle tragique agit comme une mise en garde : il montre ce qui arrive

associé au classicisme) L’absence de plaisir au théatre : 2 raisons : la tragédie n’est pas adaptée au public et l’opinion est contrôlée. Rousseau : oppose la poésie VS raison Stendhal : Oppose la jouissance VS raison Veut prouver l’inutilité de l’unité de temps. Dialogue : permet de répondre d’avance à toutes les objections de l’académicien. p.272 : Stendhal critique le chauvinisme. p.275 : Le style du XVIII empêche de raisonner. Stendhal traite l’académicien de «vieux» : querelle entre

avec lui. Rire avec Hitler c'est possible ? A t-on le droit au juste ? » II. Avis des critiques A. Une présentation efficace Présenter les extraits 1- Arnaud Viviant, (Transfuge) 2 – Arnaud (suite) 3 – Patricia Martin (France Inter) VS Jean Louis Ezine (Nouvel Observateur) B. Les journaux Les Inrocks: Le souci :Timur Vermes n’est pas le premier romancier à se servir d’Hitler pour une uchronie en terres brunes. Avant lui, Robert Harris ou Philip K. Dick sont passés par là. Le

réaffirme la Sé de Dieu, seul maître du Salut et affirme la doctrine de la prédestination. De son côté, l’Eglise Kto se redef° au concile de Trente de 1545 à 1563 et manifeste sa puissance pol ds un durcissement très fort. La France Kto du duc de Guise vs parti huguenot des Bourbon aboutit à la St Barthélémy le 4 août 1572. Il faut attendre l’édit de Nantes en 1598 pour qu’il y ait une accalmie. B) Le siècle des Lumières et la R° française 1648 : paix de Westphalie est une paix de religion

valeur la distance qui sépare les 2 personnages  Poète caractérisé par l’immobilité « je buvais » + « crispé »  COMPARAISON DEPRECIATIVE « comme un extravagant » -> mouvement mais différent de celui de la femme Mouvement intérieur, hors de la raison, la folie s’est emparée du poète.  L’agressivité des sonorités appuie cet état extrême dans lequel se trouve le poète « crispé » « extravagant » VERS 7 :  Dans un 1er temps, les regards ne se sont pas échangés. C’est le poète qui est fasciné d’abord

démystification joyeuse. Le premier degré est redonné. Bons vivants vs. ceux qui les menacent dans leur recherche du bonheur (vieillards, militaires, ecclésiastiques, chefs de famille). Enfance, oiseau-liberté mais aussi souci p.151, 226. Femme, rire, printemps, folie, soleil, rêve, jeunesse, rouge. Le thème de l'argent et de la guerre sont liés. Champ sémantique de la pourriture jusqu'à celle de la parole (dents abîmées) vs dents blanches des vivants (33,239,86). Monde comme amour et langage