Raison sociale

servir de prétexte aux révolutions, ils pourraient en épurer les résultats, et devenir l’explication et l’apologie la plus éloquente de cette liberté sociale, qu’ils n’ont pas imprudemment réclamée ; si ce grand homme avait à la fois recommandé le patriotisme et l’humanité ; s’il avait flétri le despotisme d’un opprobre aussi durable que la raison humaine ; s’il avait montré ce lien de politique qui doit rapprocher tous les peuples, et changer le but de l’ambition, en rendant le commerce et la paix

xonnu l'Homme", double nature de l'Homme Liasse II, III et IV = vanité et misère de l'Homme, soumission à l'apparence = ennui, angoisse Liasse V, raison des effets = la cause de ces effets est la société humaine réglée par la concupiscence (désir impossible à assouvir car sans justification précise) C'est la première preuve de l'Homme à comprendre la raison des effets, il est sur le chemin de la grandeur. Liasse VI : la grandeur de l'Homme Il a conscience de sa misère et c'est ce qui le différencie

de talent encore mal connu. Haeckel, à la fin du 19° siècle, a-t-il meilleure presse ? Il faut souligner qu'une réflexion sur la pensée rationnelle — et sur le rationalisme — entraîne, à l'heure actuelle, des difficultés passionnelles notamment en raison même des progrès matériels qu'elle a fait accomplir à l'humanité. Une confusion extrême sous-jacente aux clivages politiques engendrés par les notions de progrès, de bonheur, a été nourrie puis entretenue par un abus publicitaire de termes philosophiques

constatant les limites de la raison à comprendre son environnement, va faire « un saut », que Camus qualifiera de « dérobade » ; c'est-à-dire qu’il va chercher à donner un sens à ce qui n’en a pas, considérant qu’au-delà de la raison humaine il y a dieu. De cette façon, il va attribuer à son dieu le caractère « injuste, inconséquent et incompréhensible » (p.60) de l’absurde. Par ce biais, Chestov donne une consistance à l’absurde et un espoir de sens derrière la raison. Il superpose à l’absurde le

ce que l’homme élabore dans l’histoire et conserve dans la tradition. Elle se distingue donc de l’inné, de ce qui est naturel, et que l’homme ne fait pas. Il n’y a pas d’humanité sans culture, au sens où la culture est la manifestation même de la raison humaine, à commencer par le langage. Il n’y a donc pas, à l’évidence, à critiquer la culture elle-même, sauf à vouloir vivre comme des bêtes et à renier ce qui en nous fait l’humanité. Mais la culture ne se révèle pas, chez l’homme, sous

confiance en une raison capable de vérité, c'est que la satisfaction suprême, selon lui, ne saurait provenir de la connaissance, même parfaite, de la nature. Du reste, la science de la nature, ou «philosophie naturelle», ne conduit nullement à la certitude, encore moins à la sagesse. Prétendant légiférer sur la conduite, les philosophes ne connaissent ni la matière dont le corps est composé ni la structure de l'Univers, et leurs querelles portent sur le concept même du souverain bien. La raison devrait renoncer

qui s’y sont opposées depuis. La religion à une fonction sociale à accomplir et elle sert en quelques sortes de garantie. Elle a su prouver sa valeur en étant capable de maintenir la société sur une longue période. C’est un peu pour cette raison que Montaigne demeure conservateur à ce sujet. Finalement, on peut voir qu’il n’existe aucune contradiction chez Montaigne quand on comprend que ce qu’il veut, c’est tenter de réconcilier la raison humaine avec la religion et il peut y arriver en adoptant

Dissertation sur la religion D’après Pascal et Kant notre raison est limitée et ils nous reste une place pour la foi: sur toutes les questions aux quelles la science ne peut répondre, nous pouvons croire ce qu’on veut, cequi nous semble le mieux, ce qui nous aidera le mieux à vivre, ce qui nous élèvera ou nous rendra meilleurs, cela nous amène a la religion. La religion désigne l’ensemble des rites et des croyances destinés à mettre les humains en relation avec une divinité. Cette derniere est

l’autre du corps. [...] Qu’on ne s’y trompe pas : ce vê?tement noir que portent les hommes de notre temps est un symbole terrible ; pour en venir là?, il a fallu que les armures tombassent piè?ce à? piè?ce et les broderies fleur à? fleur. C’est la raison humaine qui a renversé? toutes les illusions ; mais elle porte en elle-mê?me le deuil, afin qu’on la console.Commentaire1836 : depuis six anné?es, la France vit sous la Monarchie dite de juillet. L'é?conomie, ravagé?e par les affres de la Ré?volution

Après le chaos politique et militaire qui a vécu au XVIIe siècle, XVIIIe siècle verra un développement remarquable dans le domaine des arts et des sciences, Les lumières, un mouvement culturel caractérisé par la réaffirmation de la puissance de la raison humaine contre la foi et de la superstition. Un courant de la pensée intellectuelle qui dominait l'Europe et notamment en France et en Angleterre, où il a eu son expression maximale, pour la plupart du XVIIIe siècle[1]. C'est à cette époque-là que