Question Sur Le Corpus Du

 Le corpus se compose de trois extraits de contes : « Barbe-Bleue » de Charles Perrault ( XVII siècle), « L'oiseau d'Ourdi » (XIX siècle) des frères Grimm , « Le Cochon enchanté » (XX siècle) de Tardi, d'un roman d'Amélie Nothomb « Barbe-Bleue » (XXI siècle) , d'une nouvelle d'Annie Proulx « Cinquante-cinq miles jusqu'à la prochaine pompe » ( XX siècle) , d'une illustration de Gustave Doré « La Remise du trousseau » (XIX siècle) , d'une chorégraphie « Barbe-Bleue » de Pina Bausch

Pour cette épreuve, nous disposions des extraits de textes suivants : « Psychanalyse des contes de fées » (Bruno Bettelheim) ; « La pensée des contes » (François Flahaut) et enfin « Les contes de Grimm » (Préface de Marthe Robert). En étudiant les rôles des contes tels qu’ils sont décrits dans ces textes, nous pourrons définir le conte de fée en lui-même. Dans son texte « Psychanalyse des contes de fées » Bruno Bettelheim décrit que le conte de fée se doit d’être « divertissant » (ligne 1)

Les différents auteurs que nous devons étudier sont tous des poètes qui font preuve de lyrisme en décrivant l'univers cacéral dont ils ont fait l'expérience. Dans son poème« Il y a des mois que j'écoute » issu du recueil Poèmes, Albertine Sarrazin insiste sur la perte de sensations et le désir d'évasion, Joachim Du Bellay dans son sonnet XII du recueil les regrets donne àla parole poétique le pouvoir d'évasion ainsi queGuillaume Apollinaire dans son poème « A la Santé » tiré d'Acools et Alfred de

Le corpus qui nous est proposé à l’étude est composé de trois textes appartenant au genre poétique. En effet, il s’agit d’un poème de Charles Baudelaire : « Parfum exotique » extrait de Les Fleursdu Mal paru en 1857 (texte A), puis d’un autre document écrit par Paul Verlaine « Mon rêve familier » du recueil Poèmes saturniens publié en 1866 (texte B). Enfin, le corpus est complet avec « J’aitant besoin de toi » par Robert Desnos de l’ouvrage Corps et Biens édité en 1930. Dans ce corpus, nous pourrons

Dans les six extraits qui composent le corpus, les femmes sont dépeintes différemment, elles occupent chacune une place dissemblable au sein du roman et sont soit les auxiliaires des autres personnages soit les éléments perturbateurs. En outre, les textes du corpus présentent des analogies par le mouvement littéraire commun, le naturalisme, qui réunit Émile Zola, Guy de Maupassant, J.-K. Huysmans, Henry Céard, Léon Hennique et Paul Alexis lors des soirées de Médan et du registre parodique, c’est-à-dire

parallélisme entre le lombric et le poète : la terre a besoin du lombric pour se renouveler et continuer à être productive, de la même manière que la société a besoin de la poésie pour renouveler sa façon de penser et de parler. Les textes de ce corpus montrent que la poésie est nécessaire pour amener le lecteur à voir le monde différemment et à percevoir de la beauté ou une fonction à des êtres considérés comme repoussants, laids et inutiles par la société. D'une manière plus générale, la poésie

parties du corps furent mangés par "ces furieux meurtriers" emporté par la colère. Pour mettre l'accent sur la dégénérescence d' l'Homme dans la société occidentale, Jean de Léry a présenté des faits historiques en utilisant un lexique choquant et des questions rhétoriques. En somme, l'Homme est à la fois la braise éteinte, et le souffle qui l'a rallume, la créature et son propre créateur.

Prolongements : propositions pour l'insertion d'une étude du sujet dans une séquence organisée autour de la problématique "Civilisés et Sauvages" chez les écrivains des Lumières et chez un précurseur, La Bruyère. propositions faites par Alain Malle, professeur au L.P. Branly, La Roche-sur-Yon Retour Ressources Lectures : la problématique "Civilisés et Sauvages" dans quelques œuvres à lire intégralement. La Bruyère : De la cour. Le texte de Diderot dans son contexte. Pistes d'exploitation

Les trois textes du corpus sont des romans. Ils nous exposent des scènes de meurtre. Le premier est extrait de Thérèse Raquin de Zola, et date de 1867. Le second est tiré de La Condition Humaine de Malraux, et a été écrit en 1933. Enfin le dernier provient de L’Etranger de Camus, œuvre datant de 1942. Nous pourrons donc nous demander comment la description de la nature intervient dans ces trois extraits, en nous intéressant d’abord à la façon dont celle-ci est décrite, puis en analysant les différents

-La Princesse de Clèves de Madame de La Fayette, 1678. -Manon Lescaut d’Abbé Prévost , 1731. -Pierre et Jean de Maupassant, 1888 -L’Etranger de Camus, 1942. Qu’est-ce qui permet de constituer ces textes en un ensemble ? S’ils appartiennent à des époques différentes (du 17ème au 20ème siècle), ces textes sont tous des extraits de romans. Chacun nous montre un personnage à un moment décisif de son existence. Dans l’extrait de La Princesse de Clèves (Mme de LaFayette) ont peut supposer que