Punir Est Ce Se Venger

de Chimène ! Que je sens de rudes combats ! Contre mon propre honneur mon amour s'intéresse : Il faut venger un père, et perdre une maitresse. L'un m'anime le coeur, l'autre retient mon bras. Réduit au triste choix ou de trahir ma flamme, Ou de vire en infâme, Des deux côtés mon mal est infini. Ô Dieu, l'étrange peine ! Paut-il laisser un affront impuni ? Faut-il punir le père de Chimène ? Père, maitresse, honneur, amour, Noble et dure contrainte, aimable tyrannie, Tous

enfin expliquer comment les personnages argument-ils de façon à emporter l'adhésion. Tout d'abord Rodrigue s'exprime dans un registre lyrique. Il utilise des phrases interrogatives, je cite « Faut-il laisser un affront impuni ? » et encore « Faut-il punir le père de Chimène ? » de telle sorte à laisser le personnage choisir de la sentence du père de Chimène. L'emploi de phrase exclamative est aussi présent, je cite « oh dieu l'étrange peine ! » ainsi que « Que je sens de rude combats ! » et « Mourir

père de Chimène ! Que je sens de rudes combats ! Contre mon propre honneur mon amour s'intéresse : Il faut venger un père, et perdre une maitresse. L'un m'anime le coeur, l'autre retient mon bras. 15-Réduit au triste choix ou de trahir ma flamme, Ou de vire en infâme, Des deux côtés mon mal est infini. Ô Dieu, l'étrange peine ! Faut-il laisser un affront impuni ? 20-Faut-il punir le père de Chimène ? Père, maitresse, honneur, amour, Noble et dure contrainte, aimable tyrannie, Tous mes

Le prince Hamlet est le fils du premier roi de Danemark, également nommé « Hamlet ». Il est étudiant à l'université de Wittenberg. Le spectre de son père le charge de venger son meurtre. Il y parvient enfin, mais seulement après que la famille royale a été évincée et que lui-même a été mortellement blessé par Laërte d'un coup d'épée empoisonnée. Claudius, oncle du prince Hamlet, est l'actuel roi auto-proclamé du Danemark. Il s'est marié avec la veuve de son frère, auquel il a succédé. Le spectre

père de Chimène ! Que je sens de rudes combats ! Contre mon propre honneur mon amour s'intéresse : Il faut venger un père, et perdre une maîtresse : L'un m'anime le coeur, l'autre retient mon bras. Réduit au triste choix ou de trahir ma flamme, Ou de vivre en infâme, Des deux côtés mon mal est infini. Dieu, l'étrange peine ! Faut-il laisser un affront impuni ? Faut-il punir le père de Chimène ? Père, maîtresse, honneur, amour, Noble et dure contrainte, aimable tyrannie, Tous mes

réputation dans le quartier. Le thème de l'absurdité est toujours présent même à cette occasion, lorsque Raymond lui a demandé d'écrire une lettre pour attirer sa maitresse, pendant le dîner, afin de la punir, Meursault n'a aucune raison de ne pas le faire. En effet, il a même compris que Raymond "voulait la punir”. Mais à cause de cela, Raymond le considère désormais comme un vrai ami, et Meursault a accepté son amitié parce que “cela [lui] était égal.”Les choix absurdes de Meursault dans la première partie

se venger  » insiste sur ce désir. L’utilisation de nombreux point d’exclamation et d’interrogation appuis sur ce désir de vengeance ainsi que la gradation L26-27. D’autre part Sawda veut agir dans la violence comme nous le montre le champ lexical de la violence «  tuer, saigner, punir...  » ainsi que l’emploi de mot familier L29.La phrase « tu veux les punir pour qu’ils comprennent  » nous explique que Sawda veut punir les personnes

souffrance causée par Tristan la pousse à se venger de son époux. D’ailleurs, la citation « Elle n’a donc tant désiré Tristan que pour le voir se tourner vers une autre ! » expose le supplice qu’elle éprouve et qui l’aveugle. Elle songe à se venger. L’anaphore « souvent même elle le baisse...souvent elle se met enquête ... » exprime que toute sa souffrance est dominée par la soif de vengeance. Aussi, la répétition « Se vengera que plus cruellement ...punir cruellement » évoque la vengeance qu’ Iseult

tuant le père de cette dernière. Pour vous mettre en contexte, Rodrigue, est le fils de Don Diègue et l'amant de Chimène, la fille de Don Gormas, qu'il a prévu d'épouser. Or Don Gormas a offensé son père, et Rodrigue doit désormais choisir entre le venger lors d'un duel et perdre sa bien-aimée, ou choisir Chimène et perdre son honneur. Ce dilemme tragique et révolutionnaire pour cette époque est la base du monologue. Ce monologue de délibératif, introspectif et dramatique peut être exploré de différentes

Don Diègue veut cesser de se quereller et évoque le mariage de leurs enfants. Une dispute éclate et don Diègue insulte le comte : "Qui n'a pu l'obtenir ne le méritait pas" (scène 3). Don Diègue est hors de lui, il doit se venger (scène 4). Il demande à son fils Rodrigue de le venger en combattant le père de Chimène (scène 5). Le dilemme cornélien apparaît avec la conclusion suivante de Rodrigue : "Courons à la vengeance" (scène 6).


 ACTE II
 Le comte ne regrette pas son geste et ne craint pas