Pronom relatif

: la phrase est ainsi faite de mots. Mis alors qu’est-ce qu’un mot ? - La préposition « à » est- elle un mot au même titre que « table » - Combien y-t-il des mots dans « il y a », « par cœur », « avec plaisir » - Le pronom personnel « je » a-t-il le plus fonctionnement que le pronom personnel « il » ? - Ou mettre le monorèmes ? La grammaire traditionnelle donne de la phrase la définition suivante : la phrase est un assemblage de mots logiquement et grammaticalement organisé en vue d’exprimer un sens

simultané, de la commune = municipal. Évitez les cascades de relatives. N'écrivez pas par exemple: Je vois les lumières qu'on vient d'allumer et qui brillent et dont la lueur me rassure. Choisissez le pronom relatif qui convient. A chaque fonction correspond une forme différente du pronom. Exemple: N'écrivez pas: C'est l'histoire que je t'ai parlé et qu'il m'a racontée. Mais écrivez: C'est l'histoire dont je t'ai parlé et qu'il m'a racontée. IV- À quoi sert une description? 1. Informer

ILe mot AReconnaître la classe grammaticale à laquelle appartient un mot Les mots variables sont des mots qui s'accordent en genre et en nombre. Il y a cinq classes de mot variables : Les noms Les déterminants Les adjectifs Les pronoms Les verbes Les mots invariables sont des mots qui ne s'accordent jamais en genre et en nombre. Il y a cinq classes de mots invariables : Les prépositions Les conjonctions de coordination Les conjonctions de subordination Les adverbes Les interjections

Reconnaître la classe grammaticale à laquelle appartient un mot Les mots variables sont des mots qui s'accordent en genre et en nombre. Il y a cinq classes de mot variables: • • • • • Les Les Les Les Les noms déterminants adjectifs pronoms verbes Les mots invariables sont des mots qui ne s'accordent jamais en genre et en nombre. Il y a cinq classes de mots invariables: • • • • • Les Les Les Les Les prépositions conjonctions de coordination conjonctions de subordination

de supériorité. Néron attaque en commençant par une réplique entièrement ironique : position de supériorité énonciative. Analyser le jeu des pronoms : chaque vers met en jeu les 3 pronoms je / vous / lui = mise en évidence du triangle et du « un de trop ». Britannicus prend l’avantage dans sa réplique suivante en évinçant Néron : il utilise le pronom « vous » qu’une seule fois. Britannicus veut s’affirmer devant Junie qui les observe, d’abord silencieuse. Elle vient de le rassurer quant à ses

vision intérieure illustre/décline le sentiment exprimé par l’air “très vieux, languissant et funèbre” . Autrement dit le paysage représente/symbolise l’air. “L’air” est bien sujet, donc acteur/moteur de ce phénomène. Dès le premier quatrain : pronom relatif “qui” à deux reprises. (et non “lequel”). NB : au plan sonore, l’”air”= [r], consonne omniprésente qui produit un effet de roulement, de ronronnement propice au bercement => accès à la rêverie / mise en abîme + Construction de la phrase à partir

Dieu » (Ligne 1), nous l’indique. Le champ lexical de la prière : « je m’adresse », « Dieu », « te demander » nous permet de confirmer que c’est une prière. Dieu est interpellé à la deuxième personne du singulier : Il y a une reprise anaphorique du pronom « toi » au lignes 4 et 5, «  tu  » (ligne 5) «devant toi » (Ligne 10) «  t’aimer » (Ligne 13) «  t’adorer » (Ligne 14) « tu sais » (Ligne 18 ). C’est un Dieu qui a de multiples qualités. On observe un triple parallélisme (« Dieu de tous les êtres

peut être remplacé par ainsi ou alors. dont est un pronom relatif. Il s’emploie en tête d’une proposition subordonnée. Il a la valeur de de qui, duquel, de laquelle, desquels, desquelles. Il peut aussi avoir la valeur de d’où. Ex : Le village dont il vient est enclavé. La voleuse dont nous parlions arrive Corrigé 5 : les, l’ai, les, l’est, l’ait, les, l’es, l’aies, l’ai, l’aie, les, les. Remarques : -les : est un article défini ou un pronom personnel pluriel. Pour le reconnaître, il peut être

que le poète doit accomplir. Grammaticalement, ce qui est intéressant, c’est que Jean Ferrat fait bien attention d’introduire une condition dans sa syntaxe. Le « qui » qui débute tous les deuxièmes vers de ces strophes n’est pas un pronom interrogatif mais il est relatif à la proposition qui suit. Cela instaure une condition pour que la vérité énoncée plus haut soit validée. Pas tous les poètes n’ont raison, uniquement ceux qui voient plus haut que l’horizon (vers 2). Nous retrouvons cette structure

(meilleur, pire) ou un mot exprimant un degré extrême qui fonctionne comme un superlatif(le seul, le premier, l’unique, le dernier). Ex : Voici le seul dauphin avec lequel elle n’ait jamais nagé. Dans cet énoncé, l’emploi de l’adjectif superlatif relatif exige l’emploi du verbe (ait, avoir) à ce mode dit de probabilité. Etant donné que le subjonctif exprime une subordination (c'est-à-dire que l’action décrite dépend d’une autre action) c’est le mode par excellence de doute, de l’inquiétude. Ainsi