Pronom démonstratif

d’après le sens (choix logique) ex. Des bas de soie naturelle. / Des bas de soie troués. Quelque chose de + adjectif masculin singulier ex. J’ai vue quelque chose de beau, de grand, d’original. (<> une belle chose) Si l’adjectif renvoie au pronom démonstratif neutre (ce/c’), il n’y a pas d’accord, même si ce/c’ représente un pluriel. ex. Les examens, c’est fatigant! L’adjectif attribut reste au singulier quand le sujet vous (forme de politesse) ou nous (forme de majesté) désigne une seule personne

précision. C'était → Imparfait de description : précisions Comme une longue lame étincelante → Comparaison : reprise de l'idée de lumière. Longue → Adjectif qualificatif : assez grande pour atteindre Meursault, se sent en danger. Qui m'atteignait → Pronom relatif qui représente la lame que tient l'Arabe = sujet du verbe, COD devant le verbe : Meursault subit encore une fois l'action. Au front → CCL : qui implique la mort, une blessure à la tête est mortelle Cette seconde phrase insiste encore sur

« Chut » = aparté « De votre innocence » IE un serment donc posture moralisateur. Manipulateur qui joue au moralisateur. Innocence = effet mais au sens d’ignorance et déculpabilisation du personnage. « Je ne vous en dit mots » IE « en » se réfère au pronom précédent. Il devrait lui expliquer les choses sur ce qui se refuse à faire IE on reste dans l’idée d’indicible ici mais volontaire. Dénonciation du galant. « Je » avec enjambement entre le désir d’un côté et l’objet même du désir. Condamnation de

pour conclure cette affaire : (l.2/3) : m étaphores : « massue » et « mouche », hyperbole « toute la force du royaume » : une disproportion révèle un mauvais jugement de la réalité des faits. La position du narrateur et les « on » : Occurences du pronom personnel « on », nombreuses et renvoient à plusieurs référents : → « on » = les accusateurs (l.9,13,22,52,57,58,60,61,62,63,66) → « on » = les bourreaux (l. 54,56,63,64) → « on » = public (l.20) et sources (l.30) → « on » (l.71) : ambigu : renvoie

: Pour exprimer la négation, on met « не » devant le verbe. Exemple : Oн читает (il lit)  Oн не читает (il ne lit pas) 7. Conjugaison des verbes en –ать (type читать) : Я читаю Ты читаешь Oн читает Мы читаем Вы читаетe Они читают 8. Adjectifs démonstratifs : Этот, эта, это, эти : ce, cette, ces Masculin Féminin Neutre Pluriel Этот паспорт Эта девушкa Это окно Эти стyденты (Ce passeport) (Cette jeune fille) (Cette fenêtre) (Ces étudiants) 9. Le locatif : Le locatif (appelé également prépositionnel)

tremblement de terre : c’est une hypotypose (description réaliste, animée et frappante de la scène dont on veut donner une représentation imagée et comme vécue à l’instant.) En effet, l’impératif des verbes « accourez » et « contemplez », le pronom démonstratif « ces » et le présent du verbe « terminer » (vers 11) font de ce tableau un drame en cours ce qui permet à Voltaire d’amplifier le pathétique de la scène. Le verbe « contempler » est à commenter, il est en effet polysémique : 1er sens

adopte même ses frères dans son discours par volonté d’égalité envers elle. D. Résolution du quiproquo Mr Mouret est persuadé que Denise en aime un autre et que c’est pour cette raison qu’elle ne veut pas l’épouser ce qui est accentué par le pronom démonstratif « celui que » Les autres et le million n’ont plus d’importance, ils disparaissent « les acclamations lointaines ». Denise partira du magasin en tant qu’employée, Mouret reviendra la cherché en tant qu’épouse. Le chemin traversé par Denise montre

est… » (= « il y a… »). Recours à d’autres tournures impersonnelles. Ex. : Au v. 6, le sujet de la phrase est le démonstratif neutre « ce ». L’usage des pronoms : Présence du « nous », et non du « je », qui engobe l’ensemble des hommes. Ex. : « Selon que notre idée est plus ou moins obscure, / L’expression la suit, ou moins nette, ou plus pure. » Le poète a également recours au pronom indéfini « on ». Ex. : - v. 6. - « Aimez qu’on vous conseille, et non pas qu’on vous loue »  Valeur quasi proverbiale

intéressant de remarquer c’est aussi l’attachement pour l’auteur à la langue latine, par l’utilisation du pronom possessif « mienne » et de l’adjectif « maternelle » il semble que Montaigne donne à cette langue une importance capitale, et que celui-ci joue avec le double-sens.En effet, on peut comprendre la langue maternelle, comme la première langue qu’il a appris mais ici avec l’utilisation du pronom possessif «  mienne » nous remarquons un amour pour cette langue, un tel amour même qu’on peut voir

langue (de la langue soutenue à la langue vulgaire). La liaison est obligatoire : ✓ entre le déterminant et son nom, le nom et l'adjectif qui le précède : un enfant, les enfants, petits enfants, tout homme, deux ours, vingt euros ✓ entre le pronom personnel (ainsi que on, en et y) et son verbe, ainsi que l'inverse : nous avons, elles aiment, on ouvre, ont-ils, prends-en, allons-y[] ✓ dans certains mots composés et locutions figées plus ou moins lexicalisées : non-agression, États-Unis