Pronom démonstratif

mesuré et raisonnable: il cherche à dédramatiser l’événement. Le ton de ses paroles est apaisant: il veut prouver par l’expérience que les rhinocéros ne sont pas dangereux. Remarquer d’abord qu’ils ne sont jamais nommés mais qu’il utilise sans cesse le pronom personnel «ils»: ces animaux forment masse et sont anonymes. Sauf à la ligne 31 où il prononce le mot rhinocéros au moment où on les entend de nouveau. Il utilise des tournures négatives: «ils ne vous attaquent pas» (l. 1), «ils ne sont pas méchants»

que souligne le recours au déterminant possessif « ses » dans le groupe nominal « ses gens », qui réduit les domestiques à de simples possessions dont il peut user selon son bon vouloir. De la même façon, dans le groupe verbal « lui devaient », le pronom personnel en position de COI témoigne de ce que le vieillard se prend pour l'unique centre d'intérêt de son entourage dont le verbe devoir souligne les nombreuses obligations. La vie des autres doit tourner autour de la sienne. L'image de « l'état

pour évoquer la fuite du temps. Il s’agit donc de se pencher dans un premier temps sur l'affection que porte Ronsard à la jeune paysanne. Ici rimes embrassées dans la première moitié du sonnet. a) Sincérité des sentiments - Juxtaposition des pronoms personnels "je vous" vers 1 qui souligne la proximité entre Ronsard et Marie Dupin. Dès ces premiers mots, les amants entrent en scène. - Le poète porte une attention particulière à Marie en lui envoyant un "bouquet" vers 1 : cette attention est

par des points de suspension entre crochets : [...] Ex : «L’ignorant […] reçut partout des mépris » Ces coupures ne doivent pas modifier le sens de la phrase ou la rendre incorrecte. - Si l’on modifie la citation grammaticalement (changement de pronom, de forme verbale ...), on le signale par des crochets qui encadrent l'élément transformé : Ex : Le poète dit qu' « il pleure dans [s]on cœur /comme il pleut sur la ville » - Si l'on cite des vers, on respecte leur typographie. On peut cependant

• L’adjectif • L’adverbe • L’article • Le pronom • La préposition • La conjonction • L’interjection Cinq mots sont variables (s’accordent en genre et en nombre ou en personne), les quatre autres sont invariables. MOTS VARIABLES : EN GENRE ET EN NOMBRE : LE NOM : Il désigne : Une personne : ex : un homme, des hommes .... Un animal : ex : le zèbre Une chose : ex : une table. LE PRONOM : tient la place du nom dont il prend le genre et le nombre

de l’implicite est la scène a laquelle assiste Cunégonde «  Une leçons de Physique expérimentale » Le 2eme exemple est donné par le titre du chapitre « Comment Cunégonde fut élevé dans un beaux château et comment fut-il chasser di-celui » Le pronom démonstratif dicelui appartient à l’ancien Français il n’est plus employé au 18 eme siècle L’auteur invite le lecteur a considérer que le château du baron est plein d’archaïsme Dans ce château on vit comme au moyen age. Dans le chapitre 1 le lecteur fait

a) spatiaux « lieu qui était loin... mais de quoi ? » Ne sait pas d'où il vient, ni où il va. Ne peut pas s’apitoyer sur son sort car ne sait pas où sont ses racines. Où est son point d'attache ? Ne le sait pas lui-même Phrase interrogative, pronom interrogatif = se pose des questions. Un seul nom de lieu : « Villard-de-Lans », qui n'est même pas son point de départ car vient de Paris à l base « Nulle amarre » : amarrer = fixer, retenir un navire > métaphore selon laquelle il serait sur

"l’énigme de [la] vie" de Lorenzo est liée au sort d’"un conducteur de boeufs". La formule, noble et sacrée par ce mystère même s’oppose à la périphrase péjorative utilisée pour désigner Alexandre, le tout renforcé par le mépris contenu dans le pronom démonstratif "ce". Les deux extrêmes sont trop éloignés, le problème est insoluble. S’il est donc bien clair que Lorenzo traduit son drame ici par la perte de la vertu passée et par le fait que la mort d’Alexandre pourrait seule en être la justification

administrative de la rencontre, (« l’amour ») ; elle contrôle le contrôleur →Il y a une mise à distance de l’Amour : on ne sait pas comment cela doit sa passer ;c’est un grand événement. Grammaticalement on constate que : -« cela »−>pronom démonstratif qui reprend « les grands événements » répété X2 l 3-4 -rien de particulier sur l’emploi ce qui signifie que l’Amour est réduit à peu de chose -discours direct : «  on dit , on ne sait pas » l2-3 −>l’Amour vient naturellement, par hasard

nées après la guerre. Dans le texte il y a également une forte présence d’André Malraux qui est impliqué dans son texte au niveau personnel. C’est l’utilisation du pronom personnel « je » qui nous l’indique mais aussi l’évocation de certains souvenirs personnels comme « j’ai entendu murmurer ». De plus, l’utilisation de pronoms à la première personne du pluriel comme « nos », « nôtres », « nous » montre que Malraux s’inclut dans un collectif. D’autres interlocuteurs sont ici identifiables grâce