Problématique De La Bourse Des Valeurs De Casablanca

entreprise qui fait profession habituelle de recevoir du public à titre de dépôt ou autrement des fonds qu’elle emploie soit pour son propre compte, soit pour le compte de ses clients ou des tiers désignés par ceux-ci en opération financiers, de crédit de bourses ou de change ». Au-delà des fonctions classiques confiées aux banques (limitées à la réception des fonds du public et la transformation de ces fonds en crédits) celles-ci jouent un rôle très important dans le développement et la relance économique

nécessaires à la gestion de l'information marketing ? ». L’existence d'un système d’information efficace est tributaire d'une fonction marketing développée et celui de la banque populaire se trouve encore à l'état embryonnaire. 2. Problématique : La banque est appelée à faire face aux sollicitations exponentielles du marché des services et aux initiatives de la concurrence, raison pour laquelle elle se doit d'être compétitive en matière des banques. Le métier de banquier étant

à opter pour une politique d’ouverture notamment dans le domaine économique. En effet, le Maroc réunit les principaux facteurs susceptibles de constituer un attrait pour les capitaux étrangers, à savoir un système bancaire développé, une bourse de valeurs rénovée, une politique libérale et une fiscalité incitative. Tous ces atouts font de lui un marché largement ouvert sur le monde extérieur ; le commerce extérieur représente 35% de son P.I.B. et de grands groupes internationaux y sont actifs

précédentes, c’est -à -dire le fait que la régionalisation est plus un discours qu’une pratique et le fait que la question régionale est liée essentiellement au problème de l’exode rural. Certes, une concentration dans la capitale ou dans l’axe Casablanca-Rabat- Kénitra existe effectivement (espace de concentration des activités économiques et de décision, sur environ 2000 Km2 soit 0.28% du territoire national regroupe près de 20% de la population totale et 40% de la population urbaine du Maroc

canal de distribution de produits et de services, ces technologies bouleversent les frontières traditionnelles des firmes, leur fonctionnement et leurs métiers. Elles permettent aux entreprises de bénéficier de plusieurs applications créatrices de valeurs ajoutées. L’adoption de ces nouvelles technologies par les banques, est devenue une obligation plus qu’un choix. Les résultats montrent clairement l’existence d’un lien entre l’adoption de ces nouvelles technologies et les cinq dimensions de la

Caisse…………………………………… C- L’Arrêt de GAB……………………………………… D- Opération d’Arrière Guichet 1- Les Virements………………………………… 2- Remise des Chèques Pour Encaissement……… 3- Gestion de chèques Dématérialisés………………………………… Chapitre III : Les Tâches Effectuées Et Problématique………………… Introduction………………………………………………………………………………. Section I : Les Tâches Effectuées………………………………………………… Avec Le Chargé de Clientèle………………………………………………………… 1- Réception de la clientèle………………………………………………… 2- Ouverture de Compte……………………………………………………

ressources du Budget Général, elle est ventilée comme suit : Ressources de l’Etat • Ressources du budget de l’Etat • Impôts directs et taxes assimilées, dont : * Impôt sur les sociétés * Impôt sur le revenu • Impôts indirects, dont : * Taxe sur la valeur ajoutée * Taxe intérieure de consommation • Droits de douane • Droits d’enregistrement et de timbre • Recettes d’emprunts, dons et legs • Autres recettes Prévisions des ressources 2012 255 962 71 480 41 543 28 959 75 624 53 457 22 166 12 070 13 690

méthodes d’évaluation. a. L’évaluation des Actions Une action est un titre de propriété négociable, représentatif d’une fraction du capital d’une société. Le prix d’une action dépend directement de l’offre et de la demande, qu’elle soit cotée en bourse ou non. Toute personne physique ou morale peut acquérir des actions. L’action confère à son porteur (l’actionnaire) des droits : • le droit de vote lors de l’assemblée générale de la société concernée (en principe une action donne droit à un vote)

œuvre progressive et participative des recommandations issues des assises nationales sur la fiscalité, et ce, à travers, l’élargissement de l’assiette fiscale, la rationalisation des exonérations, l’adoption d’une réforme globale de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) et la consolidation des mécanismes de partenariat et de conciliation entre le citoyen et l’administration fiscale. En outre, et compte tenu des Hautes Directives Royales, l’exonération fiscale accordée au secteur de l’agriculture

recherche dans le domaine de l’économie de l’immatériel et plus précisément de l’Intelligence Economique (IE) et du Knowledge Management. C erner cette discipline sous toutes ses facettes et essayer d’apporter C des réponses concrètes à notre problématique de conception d’un dispositif d’IE est un projet d’ampleur et une entreprise d’envergure. Les informations contenues dans ce travail sont non seulement le fruit de nombreuses entrevues que nous ont accordées les principaux intervenants au Ministère