Pour en finir avec Dieu

De la poussière nous sommes venus et poussière nous retournerons, béni soit le nom de Dieu. Les médecins ne peuvent pas prolonger des vies. Allez et intercédez pour votre fils, nous ferons de notre mieux par la grâce de Dieu » « Donner conseil quand nous ne sommes pas concernés c’est si facile » Murmura le père. La chirurgie a pris quelques heures après lesquelles le médecin sorti heureux, « Merci Dieu ! Votre fils est épargné, Si vous avez n'importe quelle question, demandez a l'infirmière

coins de la scène (fin ou jeu absurde et inquiétant ?) II. Début de la fin. Première réplique de Clov: « Fini. C'est fini. Ça va finir. Ça va peut être finir ». → répétitions, double occurrence de « fini », en écho aux « finir ». → thème de la fin: mouchoir & sang (→mort?) → progression: 1. Fini (participe passé = accompli) 2. C'est fini (présent) 3. Ça va finir (futur proche) 4. Hypothétique: d'une fin certaine et accomplie à une fin future voire hypothétique. Un début paradoxal: commence

demande beaucoup de patience pour que la vie s’épanouisse et sorte du chaos. Mais pourquoi faire une plongée en nous-même ? Pourquoi embrasser cette voie particulière ? Pourquoi unifier mon être ? Pas pour moi ! Commencer certes, par soi, mais non finir par soi ; se prendre comme point de départ, mais non pour but ! Se connaître, mais non se préoccuper de soi... car se n’est pas de nous qu’il faut se préoccuper, mais bien du monde autour de nous. La coexistence d’un groupe prônant le dialogue,

les montagnes. Vint ensuite Eros, l’amour primordial. Puis Gaïa a donné naissance à Ouranos, le ciel étoilé et à Pontos, la Mer et les eaux. Pour finir, Cronos uni avec Rhéa donna naissance aux dieux de l’Olympe, il y en a 13 au total bien que dans certains mythes, il y en a que 12: Description de quelques Dieux : -Zeus(Jupiter): c’est le Dieu des Dieux, il a le pouvoir des éclairs, de la foudre et du tonnerre. -Héra (Junon) : C’est la déesse du mariage et la femme de Zeus. Elle passe

de Padoue, de Victor Hugo, et Lorenzaccio, d’Alfred de Musset. Nous traiterons en premier la complexité du héros romantique, puis nous nous pencherons sur les critères récurrents du romantisme que l’on retrouve chez son héros, avant d’étudier pour finir les caractéristiques du héros romantique qui sont nées du contexte historique de la société du XIXème siècle. Tout d’abord, il faut mettre en avant le fait que le héros du drame romantique n’est pas forcément le personnage éponyme de

il abandonne autant de vie qu'il acquiert de connaissance. William Butler Yeats Deux)Heureux celui qui a pu pénétrer les causes secrètes des choses. Virgile (Les Géorgiques) Trois)La connaissance de Dieu sans celle de sa misère fait l'orgueil. La connaissance de sa misère sans celle de Dieu fait le désespoir. Blaise Pascal (Pensées sur la religion) Quatre)La connaissance égaye l'âme. Hazrat Ali Cinq)Toute connaissance est une réponse à une question. Gaston Bachelard Six)Etre conscient

corpus soumit à notre étude comprend trois extraits de pièces de théâtre. Le premier extrait est tiré de Le Cid ( acte III, scène4) écrit par Pierre Corneille en 1637,le second extrait issu de Ruy Blas ( ActeV,scèneIV) de Victor Hugo en 1838. Pour finir, le troisième extrait de la pièce de théâtre Les Justes (Acte III) d’Albert Camus écrit en 1949. Nous allons étudier en quoi ces scènes d’amour sont pathétiques. Dans ces trois pièces de théâtres les auteurs ont introduit une scène d’amour à résonnance

en mettant en avant des éléments qui caractérisent particulièrement le « songe d’Athalie ». Dans un premier temps nous allons montrer que l’extrait expose une description intense, ensuite que le personnage décrit évoque une hallucination et pour finir démontrer que le propos à une valeur prophétique. Pour commencer, nous pouvons voir que dans cette longue tirade, où Athalie fait le récit de son songe, l’extrait met en œuvre une description intense. Pour cela nous étudierons les temps

philosophie : si dieu n’existe pas tout est permis. Dieu a toujours été considéré comme une instance suprême qui, par sa supériorité, inspirait la peur. Peur de la damnation, peur de la sanction toujours terrible dans la Bible si l’on pense aux sept plaies de l’Egypte. A l’inverse, l'absence d'une autorité suprême, une chose virtuelle, peut faire penser qu'il n'y a plus de règles et donc que  « tout est permis » puisqu’il n’y aura plus de sanction et donc plus de peur d’être puni. Cependant

ce tyran-là, les sujets ont le droit de s’insurger et d’être tyrannicide. Il va également fournir une nouvelle théorie sur l’origine et la légitimité du pouvoir, la théorie du double contrat. Pour lui ce double contrat est passé d’une part entre Dieu, le roi et le peuple et d’autre part entre le roi et le peuple. Ce second contrat est assimilé au contrat de fief, c’est-à-dire a un contrat qui engendre des obligations réciproques à la charge du seigneur et du vassal. Ainsi selon Théodore de Bèze