Potlatch

dont disposent les producteurs. II. Rapports marchands et ordre social  Montrer que ds l’échange, il n’y a pas qu’une logique marchande ; un lien social se crée. 1. Les formes de l’échange non marchand a) Le don dans les sociétés primitives Potlatch = cérémonie domestique ou politique marquée par des festivités et la distribution de biens. La grandeur de la cérémonie et l’importance des cadeaux traduisent le rang et le statut de celui qui l’organise. Les groupes sociaux des sociétés primitives

étalage de leur splendeur lors de réceptions somptueuses. Depuis Veblen, de nombreux auteurs ont utilisé le terme de consommation ostentatoire pour décrire les modes de vie de diverses sociétés. En 1994, Michael Solomon décrit la cérémonie du Potlatch, réalisée par une tribu primitive indo-américaine, les indiens Kwakiutl. Les membres de cette tribu privilégiaient le don de cadeaux, en vue d’un gain de statut assuré. « Le maître de maison fait démonstration de sa richesse en faisant des cadeaux

ou de fins (buts)  définition de la Science économique moderne  praxéologie  utilitarisme qui renvoie à un calcul rationalité en valeur : c’est la rationalité conforme à des valeurs. Par exemple, La société de cour de Norbert Elias. Le Potlatch c’est une pratique cérémoniale où 2 tribus se rencontrent et où chacune des tribus donne des biens à l’autre. Cela montre bien qu’il y a des logiques d’échanges qui n’ont rien avoir avec la logique économique moderne mais cela ne veut pas dire

L’idée serais donc une combinaison savante de ces deux notions : une ville claire pour celui qui y habite et complexe pour l’autre. Pratique mais subtile. Aristote propose pour ce faire de placer les rues en quinconce. De même dans l’extrait de Potlatch n°5, ont perçoit une nuance entre sécurité et surveillance. En effet, en partant de l’urbanisme, censé rendre compte du cadre de vie de l’homme, cet extrait veut mettre en avant les motivations de l’urbanisme. Il dénonce l’importance des lois

montre ici l’égoïsme des homme face à leur propriété. Pour lui posséder est signe d’inégalité, de soumission et de domination. Chacun veut plus qu’il n’a et pour cela il n’hésite pas à utiliser des vices contre ses semblables. Le rituel sacré du « potlatch » est représentatif du vice de l’homme. Au cour de ce rituel, un chef indien offre solennellement à un rival des richesses. Ce geste doit être interprété comme une lutte pour le prestige et le pouvoir. Ce don n’est évidemment pas gratuit ; le chef

moins attribuer aux personnages et qui culmine ainsi : " on aurait dit des derrières de gens riches, crevant de prospérité. " 3) Les relations sociales La critique a noté le rapprochement entre le festin organisé par Gervaise et la tradition du potlatch telle qu’elle est pratiquée par les Indiens. L’exercice du don tel que le pratique Gervaise devient ainsi une prise de pouvoir sur ceux à qui elle donne mais aussi une revanche sur la misère. Georges Bataille écrit ainsi que celui qui donne " s’enrichit

Narratif, représentation en connaissance de cause. - Ce discours nous donnes des structures sociales : cela incarne la structure de la société par des actes concrets. Evolution of luxury ethos : A relation to time and quest for eternity. « Potlatch » : bruler les richesses. Jusqu’au 4000AJC : bruler l’excès challenge, bataille où détermine le chef comme celui qui brule le plus de richesse. Plus on gaspille, plus on a du prestige et du pouvoir. 2 raisons à cela : sacrifice et relation aux

cadre régulé et routinisé. *conflits sur les règles qui tendent à remettre en cause ce cadre → le conflit favorise donc la cohésion sociale grâce à la cohésion ds le gpe et ses fonctions de socialisation. *les « luttes de générosité » chez les potlatchs que décrit Marcel Mauss ds son Essai sur le don, st des conflits irréalistes et normaux. *la « guerre des classes » est un conflit réaliste et pathologique. B) Une deuxième prob : conflit et changement social. 1) Le conflit comme moteur du

l'abandon des prérogatives individuelles l'unique clause de son contrat social.) Le mouvement oblatif : Dans toute société, il se pratique des échanges de dons qui sont une façon de s’engager envers autrui et de lier autrui à soi. Exemple : le Potlatch chez les amérindiens de la Côte Ouest du Canada ou la Kula chez les mélanésiens. 5. Ethnocentrisme et relativité des cultures Les cultures varient et elles évoluent. Mais rien ne permet de supposer que telle ou telle forme culturelle serait

comme un surpassement. On n’échange pas tant pour acquérir, mais plutôt pour dominer : l’échange est plus une sorte de don ostentatoire qui n’a pas d’autre fin que d’illustrer la puissance et le prestige. L’illustration la plus étonnante étant le potlatch. Ainsi, l’échange n’est pas revêtu d’une simple dimension utilitaire, mais quasi-religieuse. Pour Aristote, l’origine du travail repose sur la complémentarité des besoins. Mais pour Nietzsche, l’échange s’explique avant tout sur la crainte de