Potlatch

Le travail reste à faire dans les autres cas et je ne les mentionne que dans l'idée qu'une démonstration similaire pourrait être faite. Je ne parlerai pas du potlatch qui doit au contraire, et sans conteste possible, être considéré comme un phénomène de don et contre-don (14) : il est d'ailleurs remarquable qu'il n'existe dans le potlatch rien d'analogue à cette relation d'« amis ». Une seconde précision pour dire que nous ne traitons ici que des types d'échange qui ont normalement lieu au sein

Nom Auteur MouvChapitreBiographie Idées Matière à penser (MàP)6 : corps_ place de l’objet dans construction de l’indiv, conduites motrices _ enrichissement des objets, pas dissocié du corps BenedictRuth Benedict2 : civilisation, culture et progrèsAncienne assistante de Boas _ Après WW2, diff raciale entre américains et japonais : culpabilité et égalité VS honte et inégalité, schématique et caricatural, généralisation abusive su Japon _ enjeux politique = commande des USA pour conseils BoasFranz

incarne le rêve américain, avec une intensité inhabituelle. Je suis une quête de l’esprit, en même temps qu’un mythe humaniste. Je suis la plus grande fête au monde (depuis les Neronia de l’an 60). Je suis un mouvement socio-politique, basé sur le potlatch et l’autonomie, mais je ne fais aucune propagande. Je suis une forme humaine gigantesque qu’on brûle à minuit (image 1). Je suis un événement qui change des vies. Je suis tout à la fois. Je suis Burning Man. Cela fait bientôt trois ans que j’ai

dans le potlatch de « mettre l’autre à l’ombre de son nom », « au nord-ouest américain, perdre le prestige, c’est bien perdre l’âme ; c’est vraiment la “face”, c’est le masque de danse, le droit d’incarner un esprit, de porter un blason, un totem, c’est vraiment la persona qui sont ainsi mis en jeu, qu’on perd au potlatch, au jeu des dons, comme on peut les perdre à la guerre ou par une faute rituelle » [Mauss, 1966, p. 206]. C’est donc bien à juste titre qu’on a pu interpréter le potlatch comme la

cadeaux s’échangent également, mais selon des modalités différentes de l’échange purement économique. Ce qui est attendu en contrepartie du don effectué, lorsqu’il ne situe dans une logique de compétition comme c’est le cas dans le potlatch décrit par Mauss, c’est une forme de reconnaissance, un certain respect pour la générosité de celui qui donne et qui use de sa liberté pour offrir à l’autre ce qu’il n’est pas contraint de lui donner. On peut d’ailleurs trouver là une certaine

contre-don. Les cadeaux s’échangent également, mais selon des modalités différentes de l’échange purement économique. Ce qui est attendu en contrepartie du don effectué, lorsqu’il ne situe dans une logique de compétition comme c’est le cas dans le potlatch décrit par Mauss, c’est une forme de reconnaissance, un certain respect pour la générosité de celui qui donne et qui use de sa liberté pour offrir à l’autre ce qu’il n’est pas contraint de lui donner. On peut d’ailleurs trouver là une certaine analogie

temps sacré de la fête elle «  consume sans mesure les ressources accumulées dans le temps du travail ». C’est le temps de l’économie générale, celle qui laisse place aux valeurs surgies de l’anéantissement volontaire et de la destruction ( cf le Potlatch) par opposition aux valeurs étriquées de l’économie de production (dite économie restreinte). La fête consume les richesses accumulées :la fête est luxueuse en dépenses de toutes sortes. Aux préoccupations de rentabilité et de sécurité se substituent

loisirs, fumer, parler, décorer, créer des objets symboliques. La satisfaction remise, la productivité, le cumul du bien ainsi que sa trans­mission ne sont ni recherchés ni valorisés. Enfin, le système s'appuie sur la règle économique du don (le potlatch) qui génère un code de générosité, d'hospitalité et d'échange assurant ainsi la circulation et le partage égal des biens. Dépense et don. Or voilà ce que suggèrent d'emblée les images associées au personnage lors de son arrivée dans la famille. Un

des échanges symboliques ? Ce sont les études anthropologiques des sciences humaines qui s’imposent alors : les échanges matrimoniaux selon la perspective structurale de Lévi-Strauss ou le « potlatch » décrit par Mauss dans l’Essai sur le don. Mais ces pratiques ont aussi une fonction économique, et le potlatch, n’est pas à proprement parler une forme d’échange. Ce recours à l’ethnologie révèle toutefois une dimension oubliée des sociétés de masses rationalisées : la socialisation de la vie humaine

dire. Pulsion epistemophilique et exercice de l'entendement commun chez les enfants : kyrielle des « pourquois ? », c'est aussi travaux pratiques sur les relations linguistiques avec autrui, et peut-etre premier entrainement a toutes les formes de potlatch que la vie avec les autres met en oeuvre. Le langage et la vie en societe Comportement linguistique : norme complexement. La proxemique a multilipe les observations et les experiences sur les correlations qui existent entre le contenu des