Potlatch

autour des invités ainsi il expose un signe de distinction pour montrer son statut social. En 1994, Michael Solomon écrivain et politicien, il écrit un ouvrage intitulé Comportement des consommateurs publié en 2005 où il décrit une cérémonie des Potlatch d’une tribu amérindiens, il s’agit d’un extrait de cet ouvrage. « Le maître de maison fait démonstration de sa richesse en faisant des cadeaux extravagants à ses hôtes. Plus grande était la dépense en cadeaux, meilleure était l’image donnée aux autres

.et étaient doués en ce qui concerne la navigation et le commerce. Leur système commercial, nommé kula, consiste pour les habitants d'une île proche à créer et solidifier des liens par le biais de présents. Mauss le décrit comme étant un grand potlatch, c'est à dire, un ensemble de comportements et de rites par lesquels un individu, ou un groupe, appartenant à une classe supérieure fait des dons à un individu d'une autre classe sociale, afin de le défier et de l'obliger soit à les accepter sans

la région. Cette étude de Malinowski annonce celle de Mauss sur l’échange et le don. En effet, ses études ainsi que celles de Franz Boas sur le « potlatch » (indiens) mettent en évidence 3 principes combinés : * Obligation de donner * Obligation de recevoir * Obligation de rendre La détention temporaire des objets de la Kula et du Potlatch joue un rôle social : stabilisation des échanges matrimoniaux, alliance politique, prestige et renommée. TD 3 : 09/03/12 ERVING

Le totem est l'instruit, c’est l'arbre généalogique et le monument commémoratif des bandes indiennes qui se situe principalement dans la côte du Nord-Ouest. Les différentes emblèmes sculptés sur chaque totem sont habituellement installé lors d'un POTLATCH*, appartiennent à une lignée et en reflètent l'histoire d’une famille ou d’un groupe de personne. Les animaux représentés sur les emblèmes (le castor, l'ours, le loup, le requin, la baleine, le corbeau, l'aigle, la grenouille et le moustique, etc…)

don » montre que le don est une forme originelle d’échange plus fondamental que le commerce. Ex : une personne m’invite à diner, je la réinvite en retour pour la remercier. Le don appelle donc un contre-don. Dans certaine tribus indienne, le potlatch est un comportement culturel basé sur le don. C’est un système don/contre-don. Une personne offre à une autre un objet; l'autre personne, en échange, offrira en retour un autre objet estimée comme de même valeur au premier objet offert : 1er

dégénérescence de la vraie générosité, noble et altruiste, et s’insurge contre la prise de pouvoir d’un « intérêt » omniprésent. Les lettres de Zilia préfigurent également la progression du discours sociologique sur les théories du don au XXesiècle, du « potlatch » que décrit Marcel Mauss dans son étude fondatrice Essai sur le don (1925), au caractère fondamental de l’échange de femmes dans les sociétés primitives qui préoccupe Claude Levi-Strauss, à l’impossibilité conceptuelle du don dont parle Derrida

qu'il est chargé d'une âme (hau en langage maori, sujet de l'étude de Mauss), celle du donateur : « Accepter quelque chose de quelqu'un, c'est accepter quelque chose de son essence spirituelle, de son âme » (essai sur le don, M.Mauss, p 161) LE POTLATCH Nommé ainsi par Mauss en langue amérindienne, il s'agit d'une forme de violence par le don. C'est un système de don/contre don puis de contre-contre don entre deux personnes (chefs de tribus dans notre cas) jusqu'au moment où celui qui ne peut plus

ostentatoires) et la Q achetée diminue. TD : 26/ 01/2013 Le potlatch est une forme d'échange caractérisée par le triple obligation qui est de donner, de recevoir et de rendre. Selon l'anthropologue Français Marcel Mauss, c'est un fait social total, + qu'une simple allocation des richesses, le potlatch organise toute la vie du groupe. «  What goes around comes around » L'étude de forme d'échanges qui sont, comme le potlatch, éloigné de la nôtre, est utile à plusieurs titres. D'une part

AKHALKATSI Tekla TD 16 Q.1 : Le potlatch est une cérémonie, pratiquée chez les populations de l’Amérique du Nord que décrit Mauss dans son Essai sur le don. Il s’agit d’une fête, au cours de laquelle la personne qui reçoit les invités leur offre des présents. C'est un échange de cadeaux qui cache une profonde rivalité. Le but n’est pas seulement de faire plaisir en offrant mais

il faut qu’après la com. on soit allé plus loin -) com. ne doit pas être stérile, faire avancer le schmilblick. Ne pas communiquer dans le vide. II- 2ème réflexion : MAUSS « théorie du don » développé pour essayer de comprendre les cérémonies du potlatch entre esquimaux et indiens. MAUSS va à partir de son analyse, en faire une généralité. Cette logique du don structure toute l’organisation sociale et surtout l’organisation des pouvoirs et rapports d’autorité dans tous pays du monde. Don repose