Polis

souvent qu’elle joue le même rôle. Chez les grecques la cité est un don des dieux Le lien CITE/CITOYEN est un lien qui relève du religieux. La cité grecque devait atteindre deux choses : · L’indépendance économique · L’indépendance politique (POLIS) qui ne doit allégeance à aucune autre cité Cette exigence rappelle une dévotion presque fanatique pour la liberté L’idée de l’état de la pensée politique moderne a été pensé comme développement de la cité par les théoriciens grecques. La cité est

faire de la philosophie politique. Introduction. On s’interroge sur la définition des deux concepts, philosophie et politique. Politique : peut-on réellement définir la politique ? Impossibilité d’une définition exhaustive. Politique : agir, polis qui veut dire la cité, la ville. Donc la politique est une pratique de la cité. Dans l’étymologie, il y a presque un contraste entre la politique et la philosophie, puisque la technique et la sagesse s’oppose. Sagesse, sofia, définit la philosophie

puisqu’elle permit aux penseurs d’exprimer leurs idées, leur pensée individuelle, à l’écrit (≠ pensée officielle transmise à l’oral), et donc accessible à plus de monde et stimulant ainsi le débat, la discussion. C) La structure politique La « polis » grecque (= cité = ville-état) se développe en autarcie : elle a ses propres lois, son propre régime politique, est entourée de remparts, bref, elle est indépendante MAIS partage plusieurs points avec ses cités voisines : la langue la religion un

Aristote qu’une cité était nécessairement dirigée par un seul, par le petit nombre ou par le grand nombre, et qu’il n’y avait pas de régime politique possible en dehors de cette classification. Bien sûr, les régimes « politiques » ne concernaient que les polis, c’est-à-dire les cités où le pouvoir était déjà constitué et où un ordre avait été établi entre gouvernants et gouvernés. Or, Aristote était conscient que ces régimes ne concernaient pas tous les humains et que plusieurs d’entre eux, notamment des

citoyenneté (Antiquité), durant l’Antiquité gréco-romaine, la citoyenneté désigne tout homme qui, par sa fortune et « sa renommée », est appelé à exercer une autorité politique, à conduire les affaires de la cité. Si les Grecs sont à l’origine de la Polis conçue comme une communauté de citoyens — ils ont inventé tant le mot que la chose elle-même —, ce sont les Romains qui, par leur pratique des institutions, ont donné corps à la notion de citoyenneté. Mais, dans l’Antiquité, le citoyen, contrairement

elle développe une puissance maritime sr une grande parti du monde grec. Tout ça grâce à Thémisctocle. La conséquence pour l'archéologue c'est l'installation des développement portuaire : développement du quartier du Pirée, le port d'Athènes. Une polis : constitué de plusieurs noyaux urbains. Le port du Pirée est crée au début du V sous l'impulsion de T. l'absence portuaire précédente montre qu' Athènes a pris une nouvelle orientation. Travaux sous l'impulsion des partisans de la démocratie : intérêt

déplacements de populations vers l'Asie mineure (voir la carte des mouvements des Indo-Européens à la page précédente) Ø Vers 900-700 a.n.è. : émergence de la civilisation grecque à partir de 3 phénomènes majeurs : Ø la formation de Cités-États (polis) (Polis en grec, qui donnera les mots « politique », « politiciens », « police ») formation favorisée par le relief, Ø la réintroduction de l'écriture, Ø et l'émergence de l'esprit rationnel pour comprendre le monde et surtout résoudre les problèmes

ce texte que le tyran a une volonté de redénomination, alors que cela correspond à une extension du corps des citoyens. Ainsi, les nouveaux membres de la tribu Archelaoi, qui sont normalement des non-citoyens prennent place parmi les politai de la polis sycônienne. 2) L’exaltation de la tribu de Clisthène. (L.29) « Il appela les siens Archélaens,… » : La volonte de Clisthène de revaloriser une tribu oubliée par les doriens. Ainsi par ce choix, Clisthène entreprend une politique qui vise à donner

000 États grecs, indépendants et autonomes les uns des autres. D'un point de vue politique, chaque individu ne possédait qu'une seule « nationalité » : un Athénien était donc considéré comme un étranger lorsqu'il se déplaçait en dehors de sa cité (polis), exactement au même titre que le Phénicien de passage dans une cité de Grèce était tenu pour un étranger. 3. Comment dès lors définir l'espace grec ? Comme le territoire grec n'avait pas dans l'Antiquité d'existence ou de reconnaissance politiques

Italie du Sud, Sicile, ou dans le sud de la Gaule.La Grèce est un pays compartimenté, qui peut rendre compte du très grand nombre d'états. Ces états prennent à partir du VIIIe siècle le caractère de cité. *III] Caractéristiques de la cité grecque (Polis)* {text:soft-page-break} 1) La Cité et la mer La pauvreté du territoire est compensée par sa large ouverture sur la mer qui favorise les échanges et le commerce maritime. Aucun point du territoire n'est éloigné de la mer de plus de 90 km. Les