Poids de l'âme

s'adresse aux Hommes par le biais des paraboles de la Bible (sacrée), c'est un apologue. Donc par syllogisme, la fable est porteuse de vérité et mérite la même considération • Le recours à l'argument de vérité : référence à Platon qui donne plus de poids à sa thèse (épopée – estimée pour Platon) • Comme les genres nobles, elle : - amène sagesse et vertu (lg 9, 10, 24) - simple à comprendre (lg 4) - adaptée à l'esprit des enfants (lg18) 2) Persuader : •Trois questions de rhétorique •Répétition

qu'il existe un monde des Idées où chaque chose (homme, chat, pierre...) et chaque qualité (grandeur, égalité, beauté, justice, bonté...) trouve son modèle parfait et achevé. L'âme humaine provient de ce monde, ce qui explique qu'elle connaisse par avance ces Idées. Dès lors, toute connaissance est en fait une reconnaissance : l'âme se souvient à l'occasion de sa confrontation avec les choses sensibles, des Idées correspondantes qu'elle connaît déjà de son séjour dans le monde des Idées et dont elle a

(1821-1867) - « Maudit » → souffre car poète qui aspire à l’Idéal mais condamné au monde vil et trivial. - Tiraillé entre Spleen et Idéal. - Introduit cette section dans son recueil Les fleurs du mal par 3 poèmes → reflètent ce désir d’élévation de l’âme au-dessus du monde → abjecte et générateur de mal-être : spleen. - Ce poème → 3° position après « Bénédiction » et « l’Albatros » et avant « Correspondances » dans la seconde édition des Fleurs du mal en 1861 la première parue en 1857. - Cet ensemble

et annonce ainsi l’empirisme. Pour lui, la crainte est la conséquence de superstitions et ne pas craindre la mort est une marque de sagesse. Epicure semble vouloir supprimer toute les superstitions qui se rapportent à l’âme car la mort est une extinction complète du corps et de l’âme. La mort ne faisant pas partie de la vie et elle n’a donc pas d’impact sur celle-ci. Dans un deuxième temps, nous remarquerons que cette pensée n’est pas partagée par tous les philosophes qui ont chacun leur propre

poésie La poésie : art du langage traduisant des sentiments, émotions, images au moyen de cadences, sonorités, figures de style. Registre : ironique : s’amuse à écrire le contraire de ce qu’il pense (nature), tragique (l’homme soit écrasée par le poids du destin, l’ennui…), pathétique (douleur, émotion, compassion) Thèmes : - L’enfance (pas perdue) : maesta et errabunda : « Mais le vert paradis des amours enfantines » - Le rapport au corps : « la géante, au lecteur » : synonyme de péché

d’existences. Penser l’homme, c’est penser l’humain, penser celui-ci c’est instaurer l’être, c’est-à-dire on cesse de dire un animal politique mais un être politique, un être raisonnable et un être historique. Nous sommes ce qu’on décide d’être (le poids de la culture est indéniable, irréversible et tout retour à la nature n’est qu’une forme d’une culture pensée autrement, ex : le nudisme). Par conséquence, on pourrait tout expliquer par « tout acte est culturellement naturel et naturellement culturel »

est d'abord une description du jeûne religieux qui date de 323 avant Jésus-Christ L'anorexie est littéralement parlant une perte d'appétit, pouvant entraîner par la suite une perte de désir, une volonté de contrôle obsessionnel du corps et de l'âme. Nous savons plus ou moins que l'anorexie à toujours existée, Hippocrate en fait déjà mention au V° siècle avant J-C comme une perte d'appétit associée à d'autre troubles mentaux et physique. Le moyen- âge : période obscure pour la médecine Au

l'espace d'une ou deux générations, éblouir l'univers, mettre au monde et élever une foisonnante progéniture du génie, pour bientôt décliner sous le poids de sa grandeur, puis s'effondrer, léguant à tout le genre humain la somme de ses nouvelles conquêtes ; la vision s'estompe, l'âme s'étiole, et la lutte pour la vie impose sa routine à nouveau. L'âme humaine goûte ces périodes parfaites et exceptionnelles, mais en dehors d'aller nous sommes rarement seuls et uniques en notre genre ; dans ce bas-monde

l’œuvre d’Epicure, mais il ne reste que trois lettres dont la lettre à Ménécée où le philosophe nous expose le but de sa théorie qui est de nous rendre heureux, elle est conçue comme une médecine de l’âme, c'est-à-dire parvenir à l’absence de troubles corporels (aponie en grec) et à l’absence de troubles de l’âme (ataraxie en grec). Le but de la vie est donc le bonheur, c’est donc une philosophie « eudémoniste », mais pour l’atteindre il faut agir. Pour Epicure, il y quatre remèdes pour « prendre soin

  Comment comprendre la relation entre l’âme, l’esprit et le corps ? Descartes a profondément marqué la pensée occidentale avec un mode de pensée reposant sur le dualisme corps/esprit. Sa postérité immédiate a dû affronter un problème resté sans solution claire, celui de la relation corps-esprit. Spinoza reprochera à Descartes de ne pas respecter le principe des idées claires et distinctes et trouvera très obscure l’hypothèse de la glande pinéale, comme jonction de l’esprit et du corps. Cependant