Poids de l'âme

dominent l'organisation économique du territoire Paris = seule métropole à dimension mondiale. 1990's : gagne des emplois d'encadrement mais perd des ouvriers. Sa diversité éco atténue effet d'une crise sectorielle. Autres sont bien en dessous. C) Le poids démographique prépondérant des métropoles Emergence d'un petit nombre de métropoles qui concentrent la pop et les activités. Importance des métropoles d'équilibre alors que les grandes agglo à l'ind ancienne sont en retrait. D) Une certaine stabilité

scène : « Mon âme, une charogne éparse au champ des jours / Que ces vieux corbeaux dévoreront en entier », ces deux extraits évoquent clairement la fin, la libération de l’âme par la mort. La métaphore de l’oiseau qui symbolise la mort est évidente dans les deux poèmes, l’oiseau (les corbeaux) est la mort et il(s) dévore(nt) l’âme. « L’oiseau dans ma cage d’os / C’est la mort qui fait son nid » tiré du poème de Saint-Denys Garneau est clair, l’oiseau est la mort. L’extrait suivant de Nelligan : «

tombent souvent par leur poids épanchés. Renfermée à jamais dans mon âme abattue, Je dirais : " Ce n'est rien " à tout ce qui me tue ; Et mon front orageux, sans nuage et sans pli, Du calme enfant qui dort peindrait l'heureux oubli. Dieu n'a pas fait pour nous ce mensonge adorable, Le sourire défaille à la plaie incurable : Cette grâce mêlée à la coupe de fiel, Dieu mourant l'épuisa pour l'emporter au ciel. Adieu, sourire ! Adieu jusque dans l'autre vie, Si l'âme, du passé n'y peut être

abord, pliant sous le poids des habitudes, il s'offusque de son traitement. Il ne comprend rien à ce qu'il voit et il est tenté de retourner à ces anciennes habitudes et croyances qui lui semblent plus proches et plus compréhensibles. En fait, le prisonnier a un défi double à relever : il doit apprendre tout en désapprenant. Il doit apprendre du monde extérieur en reniant, en se débarrassant de ses habitudes et de ses croyances. Cette libération représente celle de l'âme des contraintes du corps

dans le Rig Veda, l'un des textes fondamentaux de cette religion. L'immortalité occupe aussi une place importante dans beaucoup de religions comme le christianisme où l'âme est dite immortelle. Les Egyptiens, par exemple, avaient pour leur part Osiris, le dieux pesait l'âme du mort. Si son poids est supérieur à celui d'une plume, l'âme est dévorée, autrement, elle est conduite dans l'au-delà. Dans l'hindouisme, l'amrita, ou amrit est un nectar d'immortalité bu par les deva, les dieux. Amrit vient du

nous avons une comparaison. Les énumérations précédentes pèsent « comme un joug » sur la tête du poète ce qui renforce une fois de plus l’idée insupportable de ces obligations. Enfin, au vers huit, nous comprenons que le poète ne supportant plus le poids de ce quotidien tourne son regard vers la terre, « le regard de mon âme à la terre tourné ». Il se retourne vers l’état brut de la vie. Victor Hugo est opprimé par l’air de la maison qui le soir venu sent le renfermé. Il se sent comme prisonnier de

dit à Basil : « Tu verras cette chose que d'après toi Dieu seul peut voir » en parlant de son âme. Dès le début, Lord Henri l'associe au tragique des mythes grecs. On peut donc aussi penser à la symbolique de l'âme dans le livre → le tableau, le Portrait a-t-il pour vocation de monter l'âme du modèle ? Et l'Art en général ? Cependant dans la préface, Wilde dit : « c'est en réalité le spectateur et non la vie que reflète l'art » On peut aussi faire le lien avec La Peau de Chagrin de Balzac → même

II) Approche savante 1°) Approche aristotélicienne Qu’est-ce qu’un être vivant pour Aristote ? C’est un être doué d’une âme ; animae. Les animaux, les végétaux sont des êtres doués d’une âme. Un de ses traités s’appelle de l’âme, Aristote dit que l’âme c’est la forme des êtres vivants. Pour Aristote tout ce qui existe est composé de matière et de forme. Les commentateurs appellent cela la conception hylémorphique du réel, Ex : Aristote dit que le monde matériel est fait de 4 éléments

l'être au point de le submerger, de le noyer. Elle est indissociable de l'être et est révélatrice d'un profond mal-être dans l'âme. De ce fait, elle se distingue de la douleur, car elle n'est pas localisée dans une partie physique du corps, elle est dans l'être et non dans l'avoir. Néanmoins, la souffrance ne se maintient qu'avec le temps, car c'est le mental qui génère le poids écrasant de ses problèmes et qui anticipe avec angoisse l'avenir. Ainsi, la souffrance ne dure qu'un temps et peut être considérée

le chrétien n’a rien fait de mal, s’il a vécu en bon chrétien, alors son âme ira au paradis. Si le chrétien a fait quelque chose de mal, son âme ira en enfer. Pour juger le chrétien, l’âme est placée dans une balance lors de la pesée des âmes. L’âme va au paradis, si la balance penche du côté des bonnes actions. L’âme va en enfer, si la balance penche du côté des mauvaises actions. Renard explique à Ysengrin que les seaux sont en fait les plateaux de la balance utilisés pendant la pesée des âmes.