Pléonasme

qui donne une impression de chuchoter, murmurer pour « conter ses contes » v.13+ allitérations en « ch » « v » et « f » qui traduisent les bruissements du vieux meuble. Répétitions de mots tous au long du poème « buffet » « vieux » « veilles » + pléonasmes « vieilles vieilleries » « conter tes contes » montre la personnification du buffet en une personne âgée qui radote. Le poète fait du vieux meuble une personne familière. B) Familiarité avec l’objet Le poète parle à la 2 personne du Singulier.

vu, j'ai vaincu! 4) L'énumération/l'accumulation: c'est une juxtaposition d'une série de termes afin de donner un effet de profusion. Ex: Un gros meuble à tiroirs encombrés de bilans, de vers, de billets doux, de procès, de romances. 5) Le pléonasme: c'est une répétition de termes superflues afin d'insister sur une idée, un concept. Ex: Un géant vraiment grand Descendre en bas III) Les figures d'atténuation et d'amplification 1) L'hyperbole: c'est l'amplification d'une expression pour

Voici les principales figures de style : 1. Les figures de répétition : elles reposent sur la reprise de mots ou de structures syntaxiques • L’anaphore : répétition d’un mot ou d’un groupe de mots, en tête de vers ou de phrases. • Le pléonasme : l’un des termes employés est superflu pour le sens. Monter en haut, descendre en bas, l’onde humide… • Le parallélisme : reprend une structure syntaxique semblable pour deux énoncés. Celui-là est riche, qui reçoit plus qu’il ne consume ; celui-là

comme les mères. (Apollinaire) Répétition du son [k] L’assonance = répétition de mêmes voyelles ou sons vocaliques. Ex : Le pré est vénéneux mais joli en automne. (Apollinaire) Alternance [é/è] Le pléonasme : surabondance de termes donnant plus de force à l'expression. Ex : Je l'ai vu de mes yeux. La paronomase = rapprochement phonique entre deux mots de sens différent. Ex : Claustration, castration (Hugo) Les figures

domaine de la consommation et la règle du marché. Elle peut même appeler au « respect » de ces différences ; ce vocabulaire fait partie du prêt-à-porter ou du prêt-à-penser politique que l’on rencontre un peu partout et qui oscille entre évidence, pléonasme et mensonge. S’il ne s’agit que de différences superficielles (de culture au sens minimal du terme : des façons de danser, des régimes alimentaires), il va de soi qu’elles sont toutes aussi respectables les unes que les autres, même si le terme « respectable »

De plus, critique de l'inutilité des princes d'Europe non éclairés. Le texte entier est une asyndète, c'est-à-dire, dans un raisonnement argumentatif, une juxtaposition d'arguments sans lien les uns avec les autres. Présence d'hyperboles et de pléonasmes. I L'ironie, arme efficace de la dénonciation 1) La première phrase, clé du texte Proposition hypothétique introduite par « si » et usage du conditionnel = signe de l'ironie Hypothétique à valeur d'iréel : jamais Montesquieu ne défendrait

AmorcePour commencer, les fables de la Fontaine sont retranscrites dans plusieurs livres à différentes années. La cour du lion quand à elle est présente dans le second recueil des Fables de la Fontaines écrite entre 1678 et 79. Dans cette fable la Fontaine va critiquer le roi et ses courtisans en utilisant différent animaux pour relever les vices de la cours. Problématique Nous allons donc démontrer comment la Fontaine critique la noblesse et ses courtisans à travers ses fables. Lecture du texteAnalyse

étatique. Evacuant l’ensemble des significations que la théorie de l’Etat de droit a historiquement revêtues, elle ne permet pas de cerner réellement ses contours. Autre nom de l’Etat, l’Etat de droit n’est plus dans cette perspective qu’un simple pléonasme soulignant la dimension juridique du phénomène étatique. Le droit et l’Etat sont nécessairement joints l’un à l’autre. Dans la mesure où l’Etat n’arriverait pas à prendre en main tous le droit, il ne serait pas vraiment et complètement l’Etat. Dans

L'anacoluthe → L'anacoluthe est une figure par construction qui se caractérise par une rupture dans la construction grammaticale de la phrase. Ex : "Le nez de Cléopâtre, s'il eût été plus court, toute la face de la terre aurait changé." Le pléonasme → Répétition superflue de termes

et auteur/narrateur semble la revivre en l’écrivant. - Peinture d’enfance pleine de vérité humaine : cf double antithèse « riait de plaisir/pleurait de peur » révélatrice de psychologie enfantine (les enfants aiment jouer à se faire peur) + pléonasme « jolie mignonne » et place du jeune « héros » juste derrière Hervine // sentiment « amoureux » de ce dernier pour la petite fille. 3. Regard distancié du narrateur adulte // humour et ironie a) Distanciation humoristique Cf dramatisation