Pléonasme

F - (TRANSF.) = métaphore par laquelle un objet est considéré comme animé, un animal comme une personne. ANT. réification. ET PASSENT LES COCOTIERS QUI ECRIVENT DES CHANTS D'AMOUR (...) (J. Brel) Voir cette figure en langage iconique ? PLEONASME, M - (DISP.) = redondance, addition d'un terme dont le sens est déjà présent dans l'énoncé. JE L'AI VU DE MES YEUX, JE L'AI ENTENDU DE MES OREILLES. (Littré) POLYSYNDETE, F - (DISP.) = répétition des mots de liaison. Et quelques pas

(l.4)_''ces infortunés''(l.25) : appartiennent au registre pathétique + vocabulaire souffrance. Ne les désigne pas comme objets mais comme des êtres humains qui souffrent. • ''volontairement'' (l.10) : adverbe de manière. ''dévouent'' (l.9). Pléonasme : insiste sur le fait que les êtres sont capables d'être libres de leur pensées, de leurs libertés. Associé à ''dévouer''. Redondance qui montre qu'ils ne sont pas libres de leurs pensées : aboutit à la servitude. Évoque l'abus de pouvoir dont

Nous arrives t’il de réagir d’une manière qui ne nous correspond pas ? La définition d’être « soi même » est le fait d’être sa propre identité, de ne pas pouvoir posséder une double personnalité, de jouer un double jeu. Cela apparaît comme un pléonasme puisque « soi » est personnel et « même » est ce qui n’est pas autre, n’est pas différent. De ce fait nous pouvons nous poser la question, que serions nous en dehors de nous même ? Puisque dans la logique nous serions toujours nous même malgré le

inquiet ! » nous avons une accumulation de phrases exclamatives pour insister sur la perte des soldats, on comprend ici que c'est la fin du combat. La phrase « Carnage affreux ! » a une connotation presque indéfinissable. De plus l'auteur utilise un pléonasme, car un carnage est forcément péjoratif et donc peut être affreux. Cependant la bataille a tellement une vision d'horreur que le carnage ne peut pas être imaginer et donc il peut paraître abstrait. Puis cette exclamative est suivi d'une autre « moment

terme par une expression qui le défini - La capitale de la France - Le roi des animaux PERSONNIFICATION n.f. Attribuer des qualités humaines à un objet inanimé - Cette rose aimable comme toi - Un soleil voit naître et mourir la rose PLEONASME n.m. Répétition de termes superflue - Un géant vraiment grand - Descendre en bas SYNECDOQUE n.f. Remplacer un mot par un autre ayant une relation d’inclusion avec celui-ci (la partie pour le tout ou le tout pour la partie). Cas particulier

latin exhaurio, is, ire, exhausi, exhaustum, « tirer complètement, épuiser » ; cf. également l’anglais to exhaust (« épuiser »). 4 Non, je rassure tout de suite ceux qui, parmi vous, s’inquiéteraient, je ne suis pas un fervent aficionado – quel joli pléonasme ! – de courses cyclistes ; il n’est de vrai que le hand-ball, le basketball, l’escrime et l’athlétisme !!! 1 Théâtre Anouilh Beaumarchais Camus Corneille Hugo Ionesco Jarry Marivaux Molière Antigone Le Mariage de Figaro Caligula Le Cid L’Illusion

beau. Le vers 4 complète le portrait : il est gras, poli. Poli ? décidément les animaux prêtent leur identité aux humains ! Et il s’était fourvoyé (perdu) par mégarde. La Fontaine insiste sur l’erreur du Dogue : fourvoyer + mégarde, presque un pléonasme, on se perd la plupart du temps par mégarde… Il a fait un mauvais choix… Description du chien : alexandrins/ Rythme régulier pour le vers 3 (6+6) mais plus saccadé pour le vers 4, plus chaotique : il a beau être « magnifique », « resplendissant de

« chacun » qui montre l’unanimité des personnes présentes à bord. Inconvénients de la vie en mer : questions rhétoriques des lignes 5 à 7 traduisent tout ce qu’ils ne supportent plus : l’insomnie à cause de la houle et du vent, renforcée par le pléonasme « dormir un sommeil », l’absence de confort physiologique voire vital : bien manger et bien digérer. L6/7 L’intensité de leurs sentiments est telle qu’ils en viennent à désirer retrouver ceux qu’ils avaient quitté sans comme le soulignent les adjectifs

fait état Baudelaire (opposition entre les deux). La nature est ainsi vue comme une entité hostile, inquiétante. Cette métaphore hyperbolique, “les brillants soleils”, établit une correspondance entre l’âme et la nature du poète. Il s’agit là d’un pléonasme car il n'existe aucun astre qui ne soit plus brillant que le soleil. Le “ça et là” fait état ici de touches sporadiques d’idéal au milieu de cet univers sombre marqué par le Spleen (le définir ici). Le lexique du chaos se développe dans ce vers avec

le message, qui vont le rendre plus évident - Répétition  : reprise d’un mot, d’un groupe de mot, d’une phrase, dans le but d’insister - Pléonasme  : terme ou expression qui répète ce qui vient d'être énoncé - Anaphore  : reprise d’un mot ou d’une expression en début de phrase, de vers ou de