Pléonasme

fait par son fils : « Bon » l.5, « Fort bien » l.7 et 13, « Bene » l.9, « Optime » l.11. Les médecins se moquent donc ici du patient puisqu'ils se réjouissent devant lui de ses ses symptômes soit disant graves.En outre nous pouvons apercevoir un pléonasme ligne 6 « le poul est duriuscule pour ne pas dire dur ». Cela induit que les médecins ont un raisonnement absurde et tautologique.2ème sous-partie :l'escroquerie des médecinsNous pouvons observer un parallélisme aux lignes 6 à 7 et 12 à13 «  Qu'il

b) Une comptine qui se fait berceuse Grande douceur du poème qui fait d’elle une berceuse - d’autant plus que l’image des soleils couchants appelle la nuit et donc la berceuse. Cf par exemple le premier vers « une aube affaiblie » : un quasi-pléonasme (la lumière est déjà faible à l’aube) renforcé par l’allitération en « b » => un cadre tamisé qui est celui de la berceuse Douceur à travers le choix des sonorités : l’allitération liquide (en « l ») qui emplit les vers 3 et 5 par la seule expression

|atténue la force, cette femme représente l’unique occasion pour le poète de | | |revivre et quitter « sa nuit profonde ». | |Pléonasme « nuit » (v.7) et « profonde » (v.7) |Insiste sur l’épaisseur de la nuit. Nerval semble installé depuis longtemps dans| | |cette « nuit », c'est-à-dire dans ce mal-être, cette mélancolie

allaient passer leurs « heures vides » dans ce magasin plutôt qu'au « fond des chapelles ». Mais ce lieu comporte aussi certains péchés comme « le désir », « la passion ». Les « flamboiements » du magasin font penser au feu, à l'enfer tout comme le pléonasme « les ombres noires » qui renforce l'idée de noirceur. Cependant, l'antithèse entre « ombres noires » et « fonds pâles » peut laisser transparaître un certain équilibre entre la religion et le péché. Conclusion: En conclusion, dans le roman

croyaient avoir raison contre les faits sont alors éliminés ; donc si on s’en tient aux sciences expérimentales, en effet, les faits ont toujours raison. De manière encore plus simpliste pour montrer cela, prenons l’exemple du feu qui brûle (jolis pléonasme) qui est un fait ; et bien si on croit que dans un certains contexte le feu ne brûle pas, la raison alors hypothèse se brisera au moment où l’on touchera la flamme. Mais on peut faire remarquer que dans le domaine des sciences, et bien une partie

témoigne les extraits suivant « ...] pour plusieurs raisons », suivi de par ces multiples raisons « D’abord », « ...] ensuite]... », « ...] aussi [... » (p.31), Pour ainsi conclure son argumentation. Toutefois, le discours de Jean réside dans son pléonasme « j’ai de la force parce que j’ai de la force » (p.31), ceci démontre les limites et le dogmatisme aveugle et non fondé de ses arguments. Par conséquent, la tirade répond à la crise existentielle de Bérenger et de sa marginalité invoquée selon Jean

idée. C’est alors que tous les enfants du camp se mirent en accord pour être sage à l’avenir envers leur moniteur. -------------------------------------------- [ 1 ]. Métaphore : un regard noir. [ 2 ]. Comparaison : vif comme un chat. [ 3 ]. Pléonasme : Il suffit seulement. [ 4 ]. Hyperbole : des cris de douleur et de mutilation se firent ressentir jusqu’à la lisière des bois. [ 5 ]. Comparaison : les sorcières fondaient comme des bonhommes de neige au soleil.

peinture plus vivante en la faisant parler « nous resteraient dans les mains » Une sorte de scène d’épopée. Mise en scène hyperbolique. Accumulations longues et nombreuses, avec des expressions imagées « voir de vos yeux, toucher de vos mains » (pléonasme). Utilisation fréquente du pluriel. Il s’agit d’une scène dépeinte de façon démesurée. La déshumanisation pathétique des misérables Rôle destructeur du travail répété 8 fois dans le texte, et souvent sans verbe → phrases nominales courtes qui

coup sautent avec furie » => locution adverbiale ce bruit soudain entre en opposition avec muet mais dans tout cela il y a une inversion du mouvement => «  vert le ciel » c’est un élément de révolte ou un crie de désespoir contre le spleen un pléonasme vient souligner cela avec «  affreux hurlement » Allitération (répétition) du son [R] qui est un son peu agréable ce qui peut traduire le rale de désespoir de la personne Cela annonce la défaite finale « errant et sans patrie »indique un manque de

un vocabulaire partagé avec l’auditoire : familiarité, jargon, * Les oppositions entre ombre et lumière, civilisation et barbarie, raison et folie… * La présence de figures d’insistance (répétition, anaphore, gradation, pléonasme), de figures d’opposition (antithèse, oxymore), les alliances (oxymore, hypallage). * Le recours aux exclamations et interrogations qui trahissent l’affectivité débordante ou la volonté d’animer le propos. Des rythmes souvent binaires