Pléonasme

» c’est-à-dire un pacte qui n’a pas de fondement réel (l33). Puis pour persuader son interlocuteur il emploie deux questions rhétoriques (35.36.37). Une anaphore est utilisé : « pas même » (l37.38). les mots « armes meurtrières » ici forment un pléonasme (l39). Pour finir le premier intervenant compare le fait de vendre sa vie pour servir son pays : un soldat, et vendre sa pour servir l’intérêt d’une personne : un esclave, pour montrer que les deux sont possible mais que l’une des deux n’a pas lieu

déclarer chômeur uniquement si elle a plus de 65 ans et est sans travail depuis moins d'un an! (au delà d'un an, on n'est donc pas chômeur...). _inflation: hausse durable et généralisée des prix. Attention, one ne parle pas d'inflation des prix (pléonasme) mais d'inflation ou de hausse des prix. Calcul: indice synthétique des prix constuit vec biens représentatifs des habitudes de consommation; tx d'inflation entre t0 et t1: [(I1-I0)/I0]*100. _pbs: la composition de l'indice, que met-on? Débat récent

l’impératif→ appel à un souvenir commun, lyrisme appel sans doute à la femme« mon âme » → apposition → idée romantique : discussion personnelle, intérieure« si doux »→ hyperbole → on s’attend à lire un poème lyrique traditionnel « une charogne infâme » → pléonasme → pour l’horreur et de la surprise, surprise déjoue aussi l’attente du lecteur « les jambes en l’air » « femme lubrique » , « brûlante », « suant les poisons » → CL de la Luxure → charogne femme aux allures érotiques « brûlante » « suant » → adj→

alloprof.qc.ca/BV/Pages/f1357.aspxhttp://www.alloprof.qc.ca/BV/Pages/f1378.aspx Les figures de style 5 | P a g e • Le pléonasme Le pléonasme consiste à répéter des termes et des expressions ayant le même sens afin de créer un effet d'insistance. Cette figure ne s’effectue pas nécessairement avec des synonymes, contrairement à la redondance. L'idée exprimée par le pléonasme est soit renforcée soit précisée par l'ajout d'un ou de plusieurs mots choisis qui ne sont pas nécessaires au sens grammatical

déformation du mot voiture en voiturin. - " oneilles " => déformation du mot oreilles. Ces déformations de mots insistent sur la bétise d'Ubu et renformce l'idée d'absurdité. - " avec supplice, et décollation du coup et de la tête " => Pléonasme avec le mot décolation qui veut déjà dire action de couper la tête : Ubu se répète. - " encore rien dit ... je parle depuis une heure " => Abus de pouvoir. Ces ordres sont invraissemblable et même contradictoires. - " J'ai changé le gouvernement

s’amplifie-13v La première subordonnée a une connotation religieuse. Le mot abime renvoi à l’enfer.-14v Cette subordonnée montre l’attitude de la plupart des gens face à ces êtres.-15v Hugo apparait comme sensible au sort des victimes et les défends.-16v Le pléonasme la sombre nuit insiste sur le fait que ces êtres sont rejetés et veulent être caché de la société.CE PREMIER MOUVEMENT A DONC * LES JUSTIFICATION D’UN SENTIMENT ORIGINAL. MAIS CELA NE SUFFIT PAS LE POETE INTERPELLE LES LECTEURS DE CHANGER LEURS REGARD

sent libre grâce aux femmes et a l'alcool 2) Du prosaïsme à l'idéal poétique R fait un retour en enfance → Formulation volontairement enfantine : « Tétons », « Et ce fut adorable », « plats coloriés » → «  Jambon rose et blanc » : pléonasme car évidence Jeune homme troublé par la serveuse : lumière, chaleur et érotisme diffus R = devient poète lors de la chute du sonnet → élargissement spatial final : métaphore poétique Assonances : sons qui se répète = ié, aie pour produire un

la métaphore de la métaphore de la peinture l 30-32 S veut impressionner G et montrer sa supériorité. Traduit une fascination pour S envers DJ. + CL de l’admiration..+métaphore l 26+ S fait une longue tirade + l 37 hyperbole qui est quasiment un pléonasme et qui montre que S est sous l’emprise/le charme de DJ, mais montre que S lui-même aimerait avoir le courage de se comporter comme ca.. Mais S est un personnage craintif, apeuré -Utilisation du discours injonctif l 38 « Il faut que », l 43 «  écoute »

avec le champ lexical de la mer ligne 8 et 9 « jetée » et « embrun ».dans ce texte on retrouve des figures de style tel que « comme suspendu », « rafales larges comme sur une mer » comparaison et aussi une antithèse « écrasé » et « dressait ». Un pléonasme « un chemin creux s’enfonçait » accentue la descente ou bien la chute. On voit que le point de vue est omniscient car le narrateur est extérieur à l’histoire. Cette description réaliste, ce premier texte du début de Germinal propose une vision

importantes. En outre, la proposition suivante, démontre la spécificité des sentiments : « Bien sûr, ma rose à moi, […] » (ligne 23). En effet, le modalisateur « Bien sûr » montre que ce qui s’en suit est un jugement personnel du petit prince ; le pléonasme « ma rose à moi » accentue le fait que cette rose soit la propriété privée de ce même personnage, elle n’est pas à partager. D’autre part, on peut relever une personnification des roses : « les roses étaient gênées » (ligne 21). Ainsi, le caractère