Plaies du Christ

Que le précieux Sang de Notre Seigneur Jésus-Christ nous asperge, nous lave et nous purifie ! Que le Sang de Jésus-Christ nous pénètre profondément et nous libère de nos péchés, de nos fautes, de nos angoisses, de nos amertumes, de nos aigreurs, de toutes les blessures du cœur et de l’esprit, de nos rancunes, de nos haines envieuses ou vengeresses ! Que le Sang de Jésus-Christ nous libère de tous les maléfices de satan et de ses ministres sorciers, haïsseurs, empoisonneurs, de tous ceux qui

n’ayez à pâtir de ses plaies ! [{5} Car ses péchés se sont amoncelés jusqu’au ciel, et Dieu s’est souvenu de ses iniquités. {6} Payez-la de sa propre monnaie ! Rendez-lui au double de ses forfaits ! Dans la coupe de ses mixtures, mélangez une double dose ! {7} A la mesure de son faste et de son luxe, donnez-lui tourments et malheurs ! Je trône en reine, se dit-elle, et je ne suis pas veuve, et jamais je ne verrai le deuil ... {8} Voilà pourquoi, en un seul jour, des plaies vont fondre sur elle :

par Hugo pour soutenir la vérité de ces propos, de ces affirmations. On peut la voir par la présence d’un grand nombre de « ! », soit 11 « ! » dans l’extrait du discours de V. Hugo. -l’ argument d’Autorité avec l’utilisation de Dieu "plaies saignantes de ce Christ" car l’Eglise est toujours lié à l’état jusqu’en 1905 et possède un pouvoir sur la justice. On observera aussi l’utilisation de figure de style comme : - l’anaphore avec la répétition en début de phrase de « Figurez-vous » qui servira

accompagné cette révélation des plus MAGNIFIQUES PROMESSES en faveur de ceux qui accompliraient avec foi et piété cette Sainte pratique. (Vous trouverez ces promesses au bas de cette page) 10/06/14 au 10 /06/15 PREMIÈRE ORAISON PATER, AVE O Jésus-Christ ! douceur éternelle à tous ceux qui vous aiment, Joie qui surpasse toute joie et tout désir, Salut et espoir de tout pécheur, qui avez témoigné n`avoir pas de plus grand contentement que d`être parmi les hommes, jusqu`à prendre la nature humaine

Figurez-vous tout cela et si vous vous récriez, et si vous doutez, et si vous niez... Ah ! Vous niez ! Eh bien, dérangez-vous quelques heures, venez avec nous, incrédules, et nous vous ferons voir de vos yeux, toucher de vos mains, les plaies, les plaies saignantes de ce Christ7 qu'on appelle le peuple ! 1 - méphitiques, pleines de miasmes stagnants : malsaines. 2 - des galetas : pièces insalubres. 3 - étiolée : affaiblie. 4 - les scrofules, le rachis, l'ophtalmie, l'idiotisme

mon Dieu ! » Comparaison implicite à Saint Thomas, apôtre incrédule de l’Evangile qui ne pouvait croire sans voir ni toucher. L’auditoire est donc comparé à lui Utilisation pathétique forte de la comparaison du Christ au peuple : « les plaies, les plaies saignantes de ce Christ »…Détournement volontaire ici de la notion de victime innocente et de sacrifice (religion catholique) au profit du peuple D’où une sorte de grandissement épique, de sacralisation ou de divinisation du peuple qui rend

population travaille trop, et dans de mauvaises conditions, malgré les doutes et les pensées mauvaises « Ah ! Vous niez ! Eh bien dérangez-vous quelques heures, venez avec nous, incrédules, et nous vous ferons voir de vos yeux, toucher de vos mains les plaies ». Cependant, la révolte à travers la littérature permet bien plus à l’écrivain que de transmettre ces idées. La révolte littéraire permet aussi de choquer le lecteur et donc de l’inciter à réagir. C’est ce que fait Jean De La Bruyère

dans son travail pour admirer les poissons. Il admire les couleurs des poissons et non les poissons en eux-mêmes ® or et pourpre : doré, luxe. Poissons : premier symbole catholique. Attraction pour l’or : enluminures, poissons. Poisson : symbole du christ ICHTUS (ALLITÉRATION / ASSONANCE : Effets sonores fondés sur la répétition de consonnes (allitération) ou de sons vocaliques (assonances) identiques) 2ème strophe ® un vers plus découpé. Battement- porte, répétition du « t », amplifie l‘idée

Cf: le triptyque de Grunwald. "Le Christ écarte les bras, les paumes tournées vers l’extérieur, dans un geste réclamant une forte tension, qu’il accomplit pourtant avec une impression de souveraine légèreté, et par lequel il semble porter de l’intérieur le halo lumineux qui l’entoure — ou bien ce halo matérialise le geste formé par les bras et les mains. La tête du Christ, au centre de la sphère, irradie d’une lumière dans laquelle elle se fond, de sorte que les traits du visage ne peuvent être

Figurez-vous tout cela et si vous recriez , et si vous doutez , et si vous niez ... Ah! Vous niez ! Eh bien , dérangez-vous quelques heures , venez avec nous , incrédules , et nous vous ferons voir de vos yeux , toucher de vos mains , les plaies , les plaies saignantes de ce Christ qu'on appelle le peuple ! ' . Le texte d'Albert Camus est injonctif . C'est le seul a émettre une solution dans sont argumentation , il évoque dans sont texte la révolte , la signification du mot ' Non ' des hommes èxploités , des