Pitié

de Phili « Vous ne pouvez pas [...] Vous ne pouvez pas savoir quel être » et à ce « réquisitoire » ou  ce « dithyrambe », il rapporte les propos de l’intéressé, le comparant à une « espèce de chiens ». - Important champ lexical de la pitié avec « malheureuse », « pitié », « pluie », « l’alcool à tout le reste », « quelle misère », « ce qui fait mal à mon cœur », « consolation »... - « Elle aurait dit d’une même voix qu’elle payait ses contributions » : Mise en évidence de l’intonation hypocrite de

le Bal des pendus de Rimbaud a été écrit dans un but pédagogique, et l’auteur s’est inspiré du texte de Villon, La ballade des pendus. En effet, quatre siècles après que Villon a publié son œuvre, qui au départ, a été écrite pour prier Dieu d’avoir pitié de lui, Rimbaud reprend cette œuvre et ses idées en représentant Villon comme un bon folâtre, et en s’en prenant aux juges qui sont représentés dans son texte comme les terribles oiseaux noirs. Il reprend le thème de la Justice. On voit dans son texte

restreint à devoir porter une cagoule. Le monstre est pour cela pris en mépris. Horrifié et source de répulsion, il est totalement sous la pitié. Comme dans Notre-Dame, « pauvre diable », démontre l’absence de sentiment pour Quasimodo. Elephant Man et Frankenstein invoquent encore ce sentiment de pitié, mais à l’inverse Frankenstein ne s’exprime plus par pitié au narrateur. Mais il y a dans ces personnages un source d’attirance, comme pour Quasimodo et l’attraction de foire, ainsi que le cas de Caillaud

son crime mais aussi la pitié par son désespoir du à son amour pour Hermione et au meurtre qu’il a commis. Il paraît donc comme victime de ses sentiments et de ses actes. Conclusion La fonction cathartique de la tragédie est présente dans cette scène d’Andromaque (provoquer l’horreur et la pitié chez le spectateur afin de le purifier de ses mauvais penchants). C’est un lieu de l’extrême où se rejoignent passion et folie, gloire et mort. A la fin de ce monologue, la pitié nous saisit car Oreste

guide le spectateur pour ce qu’il doit ressentir : la pitié pour ce que frappe le destin. Le récit de Théramène s'inscrit dans les règles de la bienséance : en effet la tragédie classique interdit de montrer directement sur scène des actions violentes. Aussi doivent-elles être rapportées dans un récit. Cette narration doit être raconté pour rendre présente la réalité. Ici, Racine déploie des moyens propres à faire naître l'horreur et la pitié chez les spectateurs. On peut noter un mouvement général

heureux de rencontrer son semblable dans les bois. La pitié est un sentiment naturel qui tempère l’amour de soi et concourt à la conservation de l’espèce, explique Rousseau dans le Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (1755). La pitié est innée, spontanée, irréfléchie en l’homme. Aux yeux de Rousseau, c’est aussi une vertu primitive, d’où dérivent les vertus morales comme la générosité ou la clémence. La pitié est le sentiment qui convient dans les relations que

considère heureux grâce à la vertu et donc la nature. Certaines vertus nous semblent plus naturelles que d’autres. Le courage ou l’honnêteté sont des vertus qui nous demandent parfois de nombreux efforts ou des sacrifices. Cependant, des vertus comme la pitié ne nous en demandent aucun et semble inhérente à notre être, nous ne choisissons pas de la ressentir. Sa manifestation est spontanée, elle témoigne donc d’une racine naturelle de notre moralité, entendue comme soucis du bien, par cette capacité à se

pathétique.___- Champ lexical de la pitié « malheureux », « pitoyables », « douleur ».___- Champ lexical des pleurs « affligée », « pleurs », « éplorée ». v.1-2 : « affligée » / « chargée » à la rime (2 participes passés passifs) → elle subit → insistance sur la situation pitoyable. v.21-22 : répétition de « douleur » qui montre que cette douleur a vaincu la mère : elle ne peut pas sauver son enfant. De plus, Esaü ne respecte pas l'amour maternel, ce qui inspire la pitié.  La « mère » est évoquée par

Dans le but d’excuser cet aveu, elle utilise aussi des euphémismes : « il est vrai que j'ai des raisons », « si j'ai des sentiments qui vous déplaisent ». Le caractère voilé de cet aveu est en partie dû au respect des bienséances et à la sorte de pitié que Mme de Clèves ressent à l’égard de son mari. D’autre part, les conséquences prévisibles de cet aveu sur l’un et l’autre des protagonistes le rendent héroïque et singulier. Tout d’abord, ici c’est la femme, Mme de Clèves, qui prend la parole

Donc, par le fait même cela l’entraîne à manger, à se reproduire et à se reposer. L’homme est en quelque sorte forcé de prendre soin de sa santé. La troisième caractéristique de l’état de nature c’est la pitié. Ce n’est pas compliquer c’est juste que l’être humain vient au monde avec de la pitié, c’est à l’intérieur de lui qu’il le veut où non. Il peut faire ce qu’il veut, mais lorsqu’il voit un de ses semblables surtout en train de mourir ou de souffrir, il ne peut s’empêcher d’avoir un minimum