Pitié

une femelle et le repos ; les seuls maux qu’il craigne sont la douleur et la faim. Enfin Rousseau s’appuie sur la pitié. La pitié, écrit Rousseau, «nous inspire une répugnance naturelle à voir périr ou souffrir tout être sensible et principalement nos semblables ».Aujourd’hui cette thèse se manifeste durant l’enfance, car l’enfant est pure jusqu’à ce qu’il se socialise. Pour la pitié, il y à plusieurs organisme qui on comme mission d’aider leurs semblables. Pour Hobbes l’homme est naturellement

Rousseau m Expliquer le texte suivant : 5 10 15 « La pitié est un sentiment naturel qui, modérant dans chaque individu l’activité de l’amour de soi-même, concourt à la conservation mutuelle de toute l’espèce. C’est elle qui nous porte sans réflexion au secours de ceux que nous voyons souffrir ; c’est elle qui, dans l’état de nature, tient lieu de lois, de mœurs et de vertu, avec cet avantage que nul n’est tenté de désobéir à sa douce voix ; c’est elle qui détournera tout sauvage robuste

personnification suivante « il pousse des soupirs d’orgue à travers les couloirs ». Le chat porte le nom du diable qui est l’incarnation du mal.5. Le récit éveille un sentiment de pitié face à la solitude du baron et de son domestique grâce au champ lexical de la solitude : « désœuvrement, ennui, accable par la solitude, chambres désertes, pitié douloureuse sur leur descendant ». Il éveille aussi un sentiment de peur car le manoir est désert et l’atmosphère y est inquiétante. 6. La photo rappelle l’atmosphère

(agâpè), sentiment altruiste qui s’enracine dans la pitié. « Tout amour véritable est pitié, et tout amour qui n’est point pitié est égoïsme ». La supériorité de l’homme sur les autres êtres est sa capacité de souffrance consciente. Il peut parvenir à cette conscience de la douleur : - soit par l’expérience vécue - soit par la sympathie (la douleur d’autrui étant alors reconnue comme étant la nôtre propre)= le phénomène de la pitié (Mitleid : sympathie ou compassion étymologiquement)

un certain pessimisme quant à la portée de l’expression de son indignation et de l’appel à la raison. Devant le risque du silence, reste l’appel ultime à la pitié. III qui s’appuie aussi sur le registre pathétique : Idée : le texte oscille entre récit et analyse, distance ironique et implication ulcérée jusqu’à cet appel final à la pitié comme ultime réaction d’indignation qui sauve du silence. A) Oscillations : une implication qui cherche le ton juste pour frapper juste : oscillation entre

sur son corps, malgré les passions qui l’habitent, et ce, grâce au libre-arbitre de sa volonté. Rousseau pense au contraire que la raison est une faculté non naturelle de l’être humain se développant en société, qui corrompt le sentiment naturel de pitié et qui rend les hommes indifférents envers autrui. Nous allons exposer les points de vue de ces deux auteurs, puis trancher la question avec nos propres arguments[footnoteRef:3]. [2: Valérie BARRY et Hervé BENOIT, « Une approche pédagogique des troubles

la catharsis est de purger les passions du spectateur : il vit par procuration des émotions violentes comme l’horreur et la pitié. Les tragédies, à travers la catharsis, instruisent donc les hommes et visent à les rendre meilleurs. Médée de Corneille est une des pièces où la catharsis est la plus visible. Le personnage de Médée nous fait ressentir à la fois horreur et pitié. Ici, nous observons l’envie de vengeance de Médée qui se concrétise et qui augmente au fur et à mesure que Médée sombre dans

singe facilement reconnaissable grâce à son casque en pointe. Sur celui-ci, il est inscrit « militarism ». Une massue avec inscrit dessus le mot « Kultur » est apparente : c’est pourmontrer que les allemands sont des brutes, qu’ils sont cruels et sans pitié. Le singe possède une moustache qui ressemble à celle de Guillaume II, le Kaiser pendant la Guerre. Les crocs d’une gueuleouverte d’où coulent du sang et de la bave, signifie qu’il est enragé et assoiffé de sang. Ses yeux expriment la détermination

guerre très violente et l’indignation de l’auteur face à un Dieu indifférent. Puis nous parlerons de la place de la nature, qui reste sereine et paisible au milieu d’un carnage. Et nous terminerons par les sentiments du jeune poète qui exprime sa pitié et sa compassion pour les victimes et leurs mères mais se révolte contre cette violence.

des sentiments de pitié envers la souffrance du prochain auquel il arrive à s’identifier. En effet, sa sensibilité, c’est-à-dire sa capacité à souffrir et à éprouver de l’empathie l’invite à viser le bien puisqu’il cherche à faire souffrir le moins possible autrui. Cette thèse est défendue par Rousseau dans son Discours sur l’origine et le fondement de l’inégalité parmi les hommes. En effet, il souligne dans ce texte que l’Homme serait gouverné par deux sentiments innés, la pitié et l’instinct