Philosophie Libertine

noblesse, séducteur, libertin et athée. L’extrait présenté ici est la scène 2 de l’acte I, DOM JUAN arrive, son entrée crée un effet dramatique et comique en confrontant le personnage à l’image et celui que Sganarelle nous a décrit. Une explication se déroule avec Sganarelle qui lui reproche son libertinage comme il cite a la ligne 38 « trouve fort vilain d’aimer de tous côtés «  et qu’il est le plus grand scélérat .Dom juan réplique dans une longue tirade et lui expose sa philosophie de l’amour. En

Laclos (1782) txt p 252 Question : Que nous apprend cet autoportait de l'héroïne ? Introduction : XVIIIème siècle → philosophie des Lumières (= Esprit Philosophique) Libertinage : 1er sens → XVIIème siècle : libertés par rapport à la religion 2ième sens → libertés par rapport à la morale (sens qui se développe au XVIIIième siècle) Les liaison dangereuses : roman libertin et épistolaire : 2libertins - la Marquise de Merteuil - le Vicomte de Valmont => échange de lettres - à voix multiples

C'est un roman épistolaire où les 175 lettres révèlent les pensées, les actions et les désirs intimes de chaque personnage. Elles montrent la conquête de deux jeunes femmes, la jeune Cécile de Volanges et de la pieuse Présidente de Tourvel, par deux libertins: la marquise de Merteuil et son accolyte, le vicomte de Valmont. Cécile, qui vient de sortir du couvent, est fiancée au Comte de Gercourt, ancien amant de la marquise de Merteuil. Cette dernière, fâchée contre Gercourt qui l'a abandonnée, pour

légèrement avec les époques. Mais la trame de fond demeure : séduction des femmes, rejet des règles sociales et morales, défi à l'autorité et à Dieu, châtiment « exemplaire ». Don Juan, chez Molière, est un noble français. C’est un grand seigneur libertin qui appartient à cette noblesse du XVIIe siècle, privée par le roi Louis XIV de toute possibilité d’action et réduite à l’oisiveté. Il dépend ainsi entièrement de la fortune de son père, et lorsque ses revenus ne lui suffisent pas, il emprunte à

l'instant présent et le plaisir, en s'opposant aux contraintes et aux règles sociales, morales et religieuses, ainsi qu'en ignorant volontairement autrui. Il est donc à la fois jouisseur et cynique, également égoïste et destructeur. b) Don Juan un libertin de pensées: Nous avons étudié en classe différentes versions de Don Juan qui reprennent les mêmes thèmes, comme celui du défi morale, religieux, par rapport à l'autorité et à la société, mais il y a aussi le fait que Don Juan est considéré comme

conquête amoureuse. Une grande liberté des mœurs caractérise la génération de Louis XIV. Les libertins de mœurs et les libertins de pensée : Les libertins de mœurs vivent ‘’en dehors’’ de la morale et font scandale en affichant ouvertement leur débauche. Ils manifestaient au début du 17ème siècle leurs attitudes provocantes plus ouvertement -> réaction contre la religion et la morale. Les libertins de pensée ont une attitude critique face à la religion. Ils sont athées, ils ne croient pas en

roman libertin, qui se centre sur les préoccupations des personnes. Ils traitent surtout des thèmes qui avant étaient interdits, ou considérées Tabu, comme la libertee, les droits, les critiques, la «  pensée religieuse », la « liberté de vie social » ou la position des femmes dans la société. Le libertin est celui qui a percée la vérité du monde, pour lui la réussite repose sur une réussite amoureuse, qu’ils retrouvent lorsqu’ils découvrent la « réalité du monde ». La réussite du libertin est une

Merteuil/Valmont dans Les Liaisons de Laclos et l’adaptation de Frears. Deux libertins, côte à côte ou plutôt face à face. Merteuil et Valmont ont la même philosophie, s’exprimant par des paroles ou des actes très semblables. Mais ils sont moins complices que rivaux : le désir de posséder et de détruire, malgré tous les dangers, est le plus fort. Deux formes du libertinage · Des aventures en miroir Les libertins se ressemblent d’abord dans leurs actes. C’est l’aventure de Prévan, qui s’achève

suit la mode de Versailles, parle le français. La mode, la pensée et l’art français donnent le ton. 2) Le siècle des lumières : Le rayonnement de la France est fait des Lumières. Au 18ème siècle, les philosophes sont le prolongement des « libertins » du 17ème siècle. On dit Lumière par opposition à l’obscurantisme. On cherche à éclairer, guider, comprendre le monde. Tout va intéresser ces philosophes : les mathématiques, l’astronomie, l’économie, la politique, la religion, … Un modèle : Voltaire

est-elle un débat manichéen ? [LECTURE]. Annonce du plan. I Une Don Juan satanique : (Que représente Don Juan ?)  A.   Un libertin blasphémateur _ hypothèse « si tu jures » (l. 32) I l'argent est soumis à une condition qui relève du chantage religieux.   _ interjections « Ah ! Ah ! » (l. 3-27) et « Eh ! » (l. 8) I moquerie, aucune pitié pour le mendiant : c'est un libertin sans morale.   _ impératifs « prie-le » (l. 8), « jure » (l. 36), « prends » (l. 37) I libertinage religieux : il veut