Philo Cour

La justice est-elle la charité du sage ? Que l'on parle de la justice comme institution collective ou comme la vertu de l'homme juste, ce terme implique toujours l'idée une rigueur rationnelle. Un homme juste, c'est un sage, presque un sait, qui observe tous ses devoirs, sans compromission ni défaillance. Quand la raison s'applique aux sciences, son idéal est objectivité, la justesse. La même exigence se nomme justice quand elle concerne les actes. Rectitude, droiture, définissent une ligne géométrique

La liberté La liberté est sans doute la plus haute des philosophies. Certains vont même jusqu'à sacrifier leur vie ( résistants) pour la liberté. D'autant plus que faire de la philosophie ou une psychanalyse c'est essayer de devenir un tout petit peu libre, en tout cas indépendants des autres, c'est essayer de vivre avec moins de dépendance addictive. Sans doute, le toxicomane est l'homme le moins libre. L'homme désir à la fois la liberté et à la fois la redoute, préférant resté esclave ou

I. Autour du mot: ESSENCE, DÉSIR - Pourquoi réunir deux notions sinon parce que, comme dans théorie et expérience, l’une ne peut se concevoir sans l’autre, comme si le concret n’était tel que par l’abstrait? - L’essence, ce que la chose est, le simple concept n’est pas la nature car la nature est ce qui est donné à la naissance, ce qui pose chacun ici et maintenant avec autour de lui une nature en général, extérieure, et en lui un donné intérieur une programmation dirait-on aujourd’hui selon

sciences Logique moderne La logique classique fut remplacé par les mathspour permettre l’avènement de la science moderne au dix-septième siècle, la logique moderne est revenue de l’intérieur des mathématiques elles-mêmes au milieu du dix-neuvième siècle. Le dire comme cela n’est pas faux mais occulte le fait que les deux, la classique et la moderne, s’appellent toutes les deux « logique ». Or, entre les syllogismes médiévaux et les calculs mathématiques, on ne voit pas ce qu’il y a de commun, d’autant

Les Echanges : 1. D'où vient la division du travail ? L’homme seul n’existe pas il est nativement sociable ou politique Pour Platon, « chacun d’entre nous se trouve dans la situation de ne pas se suffire à lui-même », ce qui nous pousse à nous associer. Toute société humaine est fondée sur un partage du travail entre ses différents membres et sur l'échange des produits obtenus par le travail de chacun. L’homme est un être dépourvu de qualités naturelles. Il a donc plus de besoins que les

Aristote considère que les désirs en tant  que telle ne sont pas désirables.  Le but fondamentale de l’être humain =  entéléchie (Accomplissement de soi)  Si nous sommes ici sans plaisir, nous ne  devront pas être ici!   Recherche plaisir future (être au cours de  philo pour réussir le cour)  Bonheur = se rendre invulnérable au  malheur  Moins de besoin = plus heureux dans la  vie  Respecter les trois point fondamentaux  Comment faire:   1er conseil : Vivre selon le mode de vie  animal → Satisfaction des besoins  naturels de facon simple et directe 

tragédie de Mozart, conscient de son talent musical mais incapable de s'aimer, déchiré par ses contradictions internes et par le besoin jamais assouvi de l'amour des autres. Jusqu'au renoncement final • 2) Musicien bourgeois dans la société de cour Dans cette partie, l'auteur dresse le portrait d'une ambivalence sociale : comment Mozart s'identifie à la classe dominante, en adoptant ses normes et ses goûts en matière artistique, aspirant par-dessus tout à s'en faire reconnaître comme un pair

royauté), il devint cour de cassation sous l'empire. période du consulat, reforme seconde : constitution du 22 frimaire anVIII. elle institua le conseil d'Etat, organe suprême de l'ordre adm. loi du 28 pluviose an VIII créa les conseils de préfectures, timide amorce du contentieux adm à l'échelon local. ces conseils de préfectures deviendront en 1953 les tribunaux adm. loi du 27 ventose en VIII, créa les tribunaux d'appel. Période de l'Empire, tribunal de case devient cour de case, sous l'empire

COMMMENTAIRE D’ARRET Cassation Plénière 7 mai 2004 Par un arrêt du 7 mai 2004, la Cour de cassation, siégeant en Assemblée plénière, s’est penchée sur la question de l'utilisation de l'image d'un bien par un tiers. En effet, une société de promotion immobilière (la société SCIR Normandie)  qui a entrepris la construction d’un immeuble avait confié à une société publicitaire (la société Publicis), la confection de dépliants comportant, outre le plan de situation de la future résidence, une photographie

|Ouzouer-des-Champs, Ouzouer-sous-Bellegarde ; Pannes, Presnoy, | |Châlette-sur-Loing, Châtenoy, Chevillon-sur-Huillard, Les Choux, |Pressigny-les-Pins ; Quiers-sur-Bezonde ; St-Maurice-sur-Fessard, | |Corquilleroy, Cortat, Coudroy, La Cour-Marigny ; Ladon, Langesse, |Solterre, Sury-aux-Bois ; Thimory, Varennes-Changy ; | |Lombreuil, Lorris, Montereau, Mormant-sur-Vernisson, Le |Vieilles-Maisons-sur-Joudry, Villemandeur, Villemoutiers, Vimory. | |Moulinet-sur-Solin