Pharmacovigilance

certificats BPF sans pour autant assurer l’adéquation de la qualité au système documentaire des produits sans AMM et destinés à l’exportation. De plus, un certificat BPF peut ne concerner que des activités partielles : publicité, information, pharmacovigilance, suivi et rappel de lot, etc., et de ce fait créer une confusion entre vrai fabricant et distributeur sous sa marque. 2.1.3. Adéquation du médicament avec le référentiel Le certificat BPF ne prouve malheureusement pas à l’heure actuelle l’adéquation

apportées dans l’intérêt de la santé publique à la prescription et à la délivrance de certains médicaments. » ; 4o Après l’article L. 5421-6, sont insérés les articles L. 5421-6-1 et L. 5421-6-2 ainsi rédigés : « Art. L. 5421-6-1. − En matière de pharmacovigilance, le fait, pour toute entreprise exploitant un médicament ou produit ou pour tout titulaire de l’autorisation prévue à l’article L. 4211-6, de méconnaître les obligations de déclaration des effets indésirables graves, de transmission du rapport

infectiologue, Paris, Président de la Commission d’Autorisation de Mise sur le Marché Pr BOUVENOT Gilles, thérapeutique, Marseille, Président de la Commission de la Transparence Pr CARON Jacques, pharmacologue, Lille, Président de la Commission de Pharmacovigilance Pr JOLLIET Pascale, pharmacologue, Nantes, Présidente de la Commission de la Publicité Pr AMBROSI Pierre, cardiologue, Marseille Dr ATLAN Pierre, généraliste, Paris Pr BANNWARTH Bernard, pharmacologue, Bordeaux Dr CAMELLI Bruno, généraliste,

Erasmus Mundus en santé publique dont l’Université de Bordeaux est partenaire ou du projet de master européen IMI Eu2P European Programme in Pharmacovigilance and Pharmacoepidemiology)associant 7 universités européennes et coordonné par Bordeaux. R a y o n n e m e n t Le projet de master « European programme in Pharmacovigilance and Pharmacoepidemiology » (Eu2P) coordonné par l’Université de Bordeaux vient d’être retenu dans la première phase du programme européen

Moore Cours 9 : Etudes cliniques Cours 10 : Production du médicament Cours 11 : Prescriptions : aspects réglementaires et médicaux Cours 12 : Bon usage du médicament – Iatrogénèse médicamenteuse Cours 13 : Pharmaco-épidémiologie Cours 14 : Pharmacovigilance (2h) Pr B. Bannwarth (2h) Pr M.C. Saux (2h) Pr M. Molimard (2h) Dr P.O. Girodet (2h) Dr A. Pariente (2h) Dr A. Fourrier Cours 15 : Aspects sociétaux et économiques du médicament pharmaco-économie (2h) Dr F. Haramburu Cours 16 : Séance de questions/réponses

tabac double de celui obtenu avec un traitement placebo. Il est délivré sur ordonnance et nécessite un suivi médical car il est accompagné d'effets secondaires et présente une longue liste de contre-indications. Il fait l'objet d'un suivi de pharmacovigilance renforcé. Varénicline Commercialisée en France depuis février 2007 par Pfizer, la varénicline présente une utilisation similaire au bupropione. Elle est commercialisée sous la marque Champix en Europe et Chantix aux États-Unis. La varénicline

L’AFSSP a été remplacé suite à l’affaire du médiateur par l’agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé. L’autorisation de mise sur le marché est mise en place par l’agence et le ministère de la santé. §2 : La pharmacovigilance : le dispositif de lutte contre le risque iatrogène * Risque issu de la prise de médicament. Exemple : le Distilbène médicament pour les femmes faisant des fausses couches a répétition. Les filles dont les mères ont prit ce médicament

Leurs thèses de doctorat d’Etat en pharmacie ; • Leurs mémoires de fin de cycle pour les ingénieurs sanitaires • Leurs rapports de stage pour les étudiants en pharmacie et les P.G.P. ❖ AUTRES ACTIVITES La pharmacovigilance et la matériolovigilance ; La pharmacovilance ou la matériolovigilance a pour objet la surveillance d’effet indésirable résultant de l’utilisation des médicaments ou matériel à usage humain. Elle vise a garantir la sécurité d’emploi des médicaments

remonte à 2007, il est donc impossible de détecter des tendances ou des ruptures. Ces informations seraient utiles pour les consommateurs mais aussi simplifieraient les procédures de détection des fraudes en interne, à la manière des données de pharmacovigilance ; • l’information disponible ne doit pas se limiter aux plaintes, mais doit aussi comprendre les sanctions décidées par la DGCCRF (poursuite en justice, amende, etc.). Ces sanctions sont la mesure effective des comportements frauduleux (sectoriels

(Onco-Hématologie Pédiatrique, CHU Clermont-Ferrand) Denis Pons, (Myco-Parasitologie, CHU Clermont-Ferrand) Véronique Poirier, (Réanimation Pédiatrique CHU Clermont-Ferrand) Jean Pierre Romaszko, (Bactériologie, CHU Clermont-Ferrand) Marie Christine Zenut, (Pharmacovigilance, CHU Clermont-Ferrand) Coordinateurs : Olivier Baud, Florence Gourdon obaud@chu-clermontferrand.fr fgourdon@chu-clermontferrand.fr Ont également participé à l'élaboration de ce travail : Laurence Badrikian, Jean Etienne Bazin, Monique Cambon