Périurbanisation

l'est pas ? Le modèle urbain de Los Angeles n'est pas un modèle durable, pour plusieurs raisons. D'abord, l'étalement urbain observable sur la photographie est très consommateur de terres et mite l'espace. Ensuite, le bilan environnemental de la périurbanisation et de l'utilisation de l'automobile est lourd : les habitants des périphéries urbaines de Los Angeles consomment, à cause de leurs migrations pendulaires, trois fois plus d'énergie et rejettent quatre fois plus de gaz à effet de serre que ceux

pavillonnaires, et grands ensembles), de zones industrielles puis commerciales. La population décline dans les centres villes. - Depuis 1975, la croissance des agglomérations s’est ralentie au profit des périphéries éloignées en raison d’un mouvement de périurbanisation. On voit les flux domicile-travail et l’évolution de 1975 à 1999 qui montre l’allongement des distances. De fait on a une couronne qui s’étend. - Entre 1999 et 2006, la croissance des centres villes a repris (0,3% par an), mais l’essentiel sont

métropole), les fonctions de commandement, les centres de recherches, ... . Le processus de métropolisation s'accompagne d'une déconcentration à l'echelle urbaine. La ville ne cesse de s'étaler et la croissance urbaine profite au périphéries. (périurbanisation). Cet étalement correspond à la demande des habitants (maison individuelle) mais aussi aux intérêts de l'entreprise (proximité des grands carrefours, terrain moins cher). Ce phénomène induit une forte progression de la migration pendulaire. (déplacements

ainsi que les axes de communication. Ces activités ont un fort impact sur l’environnement du fait des pollutions accidentelles qui se produisent régulièrement. Désormais, les problèmes principaux proviennent de la pression démographique et de la périurbanisation qui l’accompagne. D’autre part, les rejets dans l’eau et les sols de produits phytosanitaires (engrais, pesticides) de l’agriculture intensive menace la qualité de l’environnement. Les conséquences sont donc grave puisqu’elles portent atteinte

non pas forcement dans le cœur de la ville où la campagne, ce qui explique qu’il y a un grand développement industriel puisque de plus en plus d’entreprises peuvent être installés autre part que dans le cœur de la ville. Il y a également une périurbanisation qui augmente, dans 8km autour de Grenoble où le solde migratoire est négatif alors qu’il est positif dans un rayon de 8 a 30km, ce qui montre que beaucoup se retirent du centre de la ville. Question 4 : Décrivez la croissance de la population

pavillonnaires, motivés par le rêve de la maison individuelle. Des aménagements vont donc être réalisés pour servir cette population bercée par l’illusion de vivre proche de la nature, et la ville va s’étaler sur les campagnes environnantes, c’est la périurbanisation. La métropolisation est donc l’un des facteurs de la répartition inégale de la population en France. Plus on s’éloigne de la ville plus la population sera pauvre. L’autre choix privilégié par les populations pauvres est la banlieue, notamment

se redensifie en gardant les jeunes actifs plus longtemps, ce sont les banlieues de la petite couronne qui connaissent la croissance démographique la plus forte car elles intéressent une partie des familles en quête de plus d'espace. Mais la périurbanisation gagne les régions voisines avec des situations contrastées entre des communes de la grande couronne qui décroissent et des communes rurales plus attractives. Doc.1. Paris et sa banlieue Il ne faut pas oublier que les terres agricoles et

enveloppe correspond aux 19 communes. Seconde enveloppe : continuité morphologique de la ville : à Bruxelles, ce sont les communes de Waterloo, Rixensart, Tubize. Ce sont des zones où il y a plus de 700 habitants/Km². Troisième enveloppe : zone de périurbanisation active : zone où il y a moins de 700 hab. /km² et les paysages y sont très ruraux. Cependant la croissance démographique y est plus forte car il peut y avoir un phénomène migratoire venant de la ville. Quatrième enveloppe : région urbaine fonctionnelle

scolaires situées à environ 100km du centre de Paris : à Montereau-Fault-Yonne, à Sens et à La-Queue-Lez-Yvelines. Déjà, une distinction s’opère entre deux terrains, celui de l’Ouest de Paris, et celui à l’Est de Paris. D’abord, à l’Ouest, la périurbanisation (soit l’urbanisation autour d’une ville, en banlieue) fut d’abord forte dans les années 1970, pour ensuite ralentir dans les années

périurbaines (Prissé, Chevagny-les-Chevrières, Sancé, Saint-Martin-Belle-Roche…). ➡ Le développement démographique suit donc une logique d’étalement urbain. Ainsi, les communes périurbaines voient leur population augmenter, c’est un phénomène de périurbanisation. • L’étalement urbain s’oriente préférentiellement de l’autre côté de la rive de la Saône , dans le département de l’Ain grâce aux axes de communications qui permettent aux habitants de venir travailler à Mâcon tout en préservant le confort