Périurbanisation

en plus onéreux et les personnes qui n’en ont plus les moyens partent vers les banlieues dans de petits immeubles de classe moyenne ou pour les plus pauvres dans de grands ensembles HLM souvent dégradés. Il y a donc un étalement urbain appelé périurbanisation. Celui-ci est encore accentué avec des cadres qui cherchent aussi pour un coût moindre une maison individuelle loin du bruit et du mouvement, en somme plus proche de la nature dans ces espaces ruraux périurbains qui sont sous l’influence des

est déjà très urbanisé mais que le Sud s’urbanise très vite. Au Nord, les taux d’urbanisation dépassent les 75% en Europe, en Amérique du Nord. Malgré une croissance urbaine faible, les agglomérations continuent de s’étendre en superficie (périurbanisation). Les problèmes des villes du Nord sont diverses : pollution, encombrement, exclusion sociale et augmentation de la pauvreté. Au Sud, certains pays ont des taux d’urbanisation proches de ceux du Nord (Amérique Latine) mais la majorité des

l’essor des banlieues, lié au développement de l’automobile et des transports en commun. Les habitants recherchent de l’espace et un cadre de vie agréable, quitte à s’éloigner du centre-ville. Ce phénomène de desserrement des villes s’appelle la périurbanisation. Il est particulièrement développé aux États-Unis. Les villes des pays développés sont très bien équipées en infrastructures : transports en commun, approvisionnement en eau, évacuation des déchets, services municipaux, hôpitaux… Elles sont

due à l’explosion des prix de l’immobilier. La ville s’étale donc en cercle concentrique. Les populations sont, en effet, à la recherche d’un cadre de vie plus agréable, de maisons individuelles et d’accès à la propriété. On assiste alors à une périurbanisation. Ce phénomène se traduit par des migrations pendulaires, une multiplication des pavillons en banlieue, la création d’axe de transport, de zones commerciales etc. Cette expansion affecte aussi les territoires ruraux qui se retrouvent sous influence

consommation. La France : les transformations de la vie quotidienne A) La vie citadine a) Trois Français sur quatre vivent aujourd'hui en ville : - 53 % de citadins en 1946, 75 % en 1998. - Croissance de l'urbanisation avec la périurbanisation (banlieues). b) De meilleures conditions de vie - Logements plus confortables (9 sur 10 avec salles de bain). - Des logements équipés (95 % ont la télévision, 85 % ont le téléphone). c) Des déplacements quotidiens - Migrations pendulaires

de la périurbanisation. Années 60/70 Commerces sont partis de la ville, et il y a eu des grandes zones commerciales et industrielles hors de la ville Les population a fort ou moyen pouvoir d’achat, sortait de la ville pour faire de la maison individuelle : mouvement de fuite des centres villes : on a donc des quartiers d’affaire, quartier de bureau, quartier dortoir… →C’est l’outil automobile qui a permit ça. Et l’incapacité des pouvoirs public a régler ça a créé la périurbanisation dans les

équipées pour la grande vitesse (jusqu'à 225 km/h) relient Londres à Milton Keynes ou Peterborough (villes situées à 150 km de Londres) en 50 minutes. Le développement du réseau autoroutier à partir des années 1970 a également accéléré la périurbanisation… et ses conséquences sur l'environnement : Londres est la 2ème ville la plus embouteillée d'Europe ; son empreinte écologique est l’une des plus fortes du monde. La ville rejette chaque année 60 millions de tonnes de CO2, soit l'équivalent

II)L'agglomération Bordelaise. 2.1)Un tissu urbain révélateur d'une identité historique Le passage du 1er port français à une ville industrielle Un tissu urbain dense sur les rives de la garonne, puis qui s'éclaircit de plus en plus : auréoles de périurbanisation successives autour de la vieille ville. Semis urbain qui se relâche au fur et à mesure que l'on s'éloigne du centre. Le problème du franchissement du fleuve => Obstacle majeur au développement de l'agglomération: d'où une nette opposition

surface de Paris. Selon les estimations de l’ONU 2.5 milliards de personnes viendront grossir les espaces urbains d’ici 2050. 2/ Une métropolisation qui s’affirme La croissance urbaine s’accompagne d’un étalement urbain avec l’apparition de la périurbanisation tout au long du XXème siècle. Celle-ci a été rendue possible par le développement de l’automobile et des différents moyens de transports. L’espace urbain accueille aussi bien des habitations, que des zones d’activités industrielles ou commerciales

limites entre ces espaces ne sont plus très nettes. De la même manière que le monde rural est devenu très dépendant des villes, l’espace urbain a de plus en plus tendance à se déployer au détriment de l’espace rural ; c’est ce que l’on appelle la périurbanisation. Les espaces périurbains sont d’ailleurs généralement fortement peuplés et dotés d’activités industrielles et tertiaires (document 1). La campagne a en effet su développer de nouvelles fonctions qui la rendent attractive voire nécessaire aux