Pensée abstraite

une apparence plus abstraite. Ainsi il peut s’agir de la boue qui recouvre Molloy, ou qui se mêle à Pim. Mais également celle qui recouvre le personnage de Malone échoué comme Molloy dans un fossé. Boue qui semble pour un laps de temps convenir à son Dasein, son être-là. Ainsi si l’existence est signifiée, ce n’est que par ou pour un objet. Cette remarque est indissociable de l’importance que revêt l’espace dans l’errance des personnages de Beckett. Un « objet » plus abstrait peut alors prendre

L’intelligence logique : L’intelligence logique est aussi très souvent associée à ce que l’on appel « la pensée scientifique » ou aussi le raisonnement déductif. De plus, Il faut savoir que les processus de pensée inductive sont directement impliqués. Car lorsque nous sommes confronté à des situations particulière, nous avons une capacité à observer des données, de les analyser puis de formuler des hypothèses pour en tirer une conclusion. L’intelligence mathématique se dévoile lorsque un individu

Phénoménologie de la perception par A. Merleau Ponty: qui veut redonner la validité de l'expérience de la perception non inférieure à la connaissance de la connaissance abstraite. Exemple: art = exploitation d'une perception: l'artiste perçoit le monde, ne cherche pas forcément à le connaître. Science/ raison objective pense s'arracher du monde vécu mais oublie que l'homme commence par la perception. MP veut analyser le moment 1er où l'on est dans le monde avec nos seules perceptions (sans outils

les choses, mais un rapport des choses à moi, un rapport pensé, conclu, jugé, ou comme on voudra dire. Ce qui fait apparaître l'importante distinction qu'il faut faire entre la forme1 et la matière de notre connaissance. Cet ordre et ces relations qui soutiennent le paysage et tout objet, qui le déterminent, qui en font quelque chose de réel, de solide, de vrai, ces relations et cet ordre sont de forme, et définiront la fonction pensée. Et qui ne voit qu'un fou ou un passionné sont des hommes

phrase ou dans le texte. «La justice sans la force est impuissante ; la force sans la justice est tyrannique. La justice sans force est contredite, parce qu’il y a toujours des méchants ; la force sans la justice est accusée ». Blaise Pascal, Les Pensées 2. Les figures de construction : elles reposent sur l’ordre et le choix des groupes de mots • le chiasme : reprend des mots ou des catégories grammaticales dans un ordre inversé AB/AB devient donc AB/BA. Le matin est neuf, neuf est le soir

La matière est-elle une pure pensée de l'esprit ? Introduction : Matière vient du latin materia "matière", qui vient de mater la "mère", la "source". Il y aurait donc, dans la matière, quelque chose qui nous renvoie à l'origine ? La matière serait le fond, la source, ce qui existe sans l'homme ; l'esprit serait ce dont l'homme se sert pour mettre en forme la matière ? On aurait alors une opposition du fond contre la forme, de l'essentiel contre l'accidentel, du concret contre l'abstrait ? Au sens

forcément en œuvre pour vivre. (Exemple: Utilisation de 10% de notre capacité pulmonaire). Le vivant a des ressources supérieures. A partir de cette deuxième partie nous allons pouvoir développer. II- Les mots et les choses: A- Le mot, lieu de la pensée: Le mot est un signe, il fait signe vers quelque chose qui n'est pas là (=la chose); le mot désigne la chose en son absence; on dit dons des mots et non pas des choses (cela est possible puisque mon rapport aux choses est médiatisé par mon intelligence)

d’expression parlée particulier à telle ou telle communauté humaine. La parole désigne la réalité humaine telle qu’elle se fait jour dans l’expression, l’affirmation de la personne, d’ordre moral et métaphysique. Le langage et la langue sont des données abstraites. La parole est définie par l’acte de l’individu qui réalise sa faculté (le langage) au moyen de la convention sociale (la langue). Le langage est un code, l’adoption d’un système de signes par une société donnée. La parole est une opération intellectuelle

depuis le milieu du XIX° siècle. (1) Il existe bien des recueils de pensées choisies, des présentations de son œuvre, comme les livres de MM Alibert ou Toda, (2) et des thèses universitaires, mais d’une diffusion restreinte. Il est vrai que le courant d’Action Française à ses débuts, avec Maurras, bien sûr, mais aussi Louis Dimier, Paul Bourget et Jules Lemaître, s’est employé à montrer la filiation qui reliait Bonald à la pensée maurrassienne en voie d’épanouissement. Bien que ces derniers ouvrages

pouvoir atteindre le réel par la raison. Contrairement à eux les empiristes considéraient l’expérience comme la seule moyenne sûre capable de refléter la réalité. On se demande si l’esprit est un miroir du réel. On entend par l’esprit, la raison, les pensées, le jugement. Le réel représente le monde, il est universel. L’esprit est-il suffisant pour former une image du réel ? Comment l’esprit et le réel sont liés ? L’expérience est-il l’origine ou un outil d’une méthode qui mène à la réalité ? L’esprit