Paul Bénichou Molière

miniaturiste, le peintre et graveur Albert Besnard se situe à michemin entre l’académisme et la mouvance impressionniste. Auteur de grandes compositions (plafond du Théâtre-Français) et de portraits, il peint cette toile pour honorer une commande de Paul Meurice, fondateur de la Maison de Victor Hugo. Le tableau représente la salle Richelieu avant le lever du rideau. D’emblée on remarque l’agitation régnant dans un endroit où le calme et les mœurs policées dominent en temps normal ; « une rumeur

I/ Introduction L’auteur Biographie Nom Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière. Il est né à Paris, en 1622. Famille  Son grand-père et son père sont maîtres tapissiers du roi. Sa mère meurt en 1632.   À 40 ans, Molière se marie avec Armande Béjart. Ils ont deux fils, morts très jeunes, et une fille. Jeunesse  Il étudie à Paris dans un collège jésuite. Il exerce quelques mois le métier d'avocat puis hérite de la charge de tapissier du roi. Débuts  En 1643, il fonde avec la comédienne

miniaturiste, le peintre et graveur Albert Besnard se situe à michemin entre l’académisme et la mouvance impressionniste. Auteur de grandes compositions (plafond du Théâtre-Français) et de portraits, il peint cette toile pour honorer une commande de Paul Meurice, fondateur de la Maison de Victor Hugo. Le tableau représente la salle Richelieu avant le lever du rideau. D’emblée on remarque l’agitation régnant dans un endroit où le calme et les mœurs policées dominent en temps normal ; « une rumeur

contextualisation permet aux élèves de saisir la dimension politique de la pièce. Pour ces rappels socio-historiques, se reporter à la section « L'œuvre dans l'histoire » (livre de l'élève, p. 155-179). On pourra consulter les ouvrages suivants : Paul Bénichou, « Le Héros cornélien », dans Morales du grand siècle, Paris, Gallimard, coll. « Folio essais », 1988 ; Jean Mesnard, La Culture du XVIIe siècle, Paris, PUF, 1992. Les pages synthétiques sur le contexte du Cid proposées par Alain Couprie dans Pierre

chez Noël Du Fail (Propos Christelle FUCILI Année 2000 Bilan critique sur les contes de fées littéraires au XVIIIe siècle 4/25 rustiques, 1547), chez Scarron (Le Virgile Travesty, 1648, chant II, et Roman comique, 1651, Chap. VII), chez Molière (Le Malade Imaginaire, 1673, II, 8), et chez La Fontaine (Le Pouvoir des fables, Livre VII, 4). Associés à une pratique narrative peu lettrée et souvent orale (le « folklore »), les contes de fées sont souvent liés à la tradition populaire. Le problème

, L’Arche, coll. « Travaux 18 », 1957, page 55 : « La royauté n’existe que par le sursis que veut bien lui accorder la féodalité. Le pouvoir royal n’est qu’un phantasme au regard de la gloire féodale. »29. Jean-Paul Sartre, L’Être et le Néant (1943), Tel Gallimard, 1976 : « La délibération volontaire est toujours truquée. […] Quand je délibère, les jeux sont faits. »30. Serge Doubrovsky, « Corneille : masculin

du roman, cependant il reste un recueil de poème à part entière. Les Contemplations, avant toute chose, sont un recueil de poèmes. Bien qu’il présente des caractéristiques indéniables du roman, l’ouvrage de Hugo reste avant tout de la poésie. Molière dit dans le Bourgeois Gentilhomme : « tout ce qui n’est point prose est vers ; et tout ce qui n’est point vers est prose ». En effet, La différence la plus remarquable entre le roman et la poésie est évidemment l’aspect formel. Le genre romanesque

Dossier pédagogique Pierre Louis-Calixte, Geogia Scalliet. ©Brigitte Enguérand, coll. Comédie-Française Reproduction interdite Les Femmes savantes de Molière mise en scène de Bruno Bayen 2 La troupe de la Comédie-Française présente Au Théâtre du Vieux-Colombier du 23 septembre au 7 novembre 2010 Les Femmes savantes Comédie en cinq actes de Molière mise en scène de Bruno Bayen Avec Thierry Hancisse, Chrysale Isabelle Gardien, Bélise Jean-Baptiste Malartre, Vadius Bruno Raffaelli, Ariste

l'auteur : |Les sources : |L'art du Moraliste au XVIIèmesiècle | |  |•         Un livre « en train de se |•         Théophraste |•         La comédie (Molière) | |Bibliographie |faire » |•         Autres sources antiques |•         La fable (La Fontaine) | | |•         Le livre et son auteur |(Lucrèce

à partir de la notion de goût qui désignerait une capacité à trouver un équilibre juste entre des tendances contraires. Ce goût serait né dans les salons mondains et aurait profondément influencé la littérature de la seconde moitié du siècle. Molière, un des artistes favoris de Louis XIV. Le classicisme français atteindra son apogée sous le règne de ce dernier Littérature[modifier] Contextes[modifier] La centralisation monarchique qui s'affirme dès 1630 dans le domaine politique sous l'autorité