Pascal Le Roseau Pensant

conscience elle-même. La conscience serait elle-même consciente de ses limites et aurait créé un lieu caché, 'inconscient' dans le but de se protéger elle même et d'assurer sa survie. Ceci n'est-il pas une preuve de l'extrême supériorité de l'homme ? Pascal montre également la supériorité de l'homme par rapport à la nature en déclarant qu'elle a le pouvoir de détruire l'homme mais que, "quand l’univers l’écraserait, l’homme serait encore plus noble que ce qui le tue, puisqu’il sait qu’il meurt, et l’avantage

ceux qui prient pour que leurs enfants leur survivent – est une attitude irrationnelle consistant à croire que certains actes ou certains signes entraînent sans raison intelligible des conséquences bonnes ou mauvaises . Mais, selon Saint Augustin ou Pascal, la vraie foi (du latin fides, confiance, fidélité, engagement) n’est pas contraire à la raison qu’elle dépasse sans la contredire. La « vraie religion « peut inclure le doute et exclure le fanatisme. Pour Sénèque, « la religion honore les Dieux,

fanatisme est un monstre qui ose se dire le fils de la religion » Voltaire «  En faisant rire, je vais séduire » Fontenelle « Mourir debout plutôt que vivre à genoux » La Résistance « L’Homme est un roseau, le plus faible de la Nature, mais c’est un roseau pensant » Blaise Pascal Diptyque = 2 parties en opposition Logorrhée = flot verbal Cosmopolitisme = refus du nationalisme, du racisme / citoyen du monde Pandémie = épidémie qui s'étend à la quasi-totalité d'une population

s’attendrait à un élément déclencheur, une confrontation entre deux positions et un bilan. C’est cette structure qui prédomine dans d’autres œuvres de La Fontaine, dont les plus célèbres : Le corbeau et le renard, Le loup est le chien, Le chêne et le roseau… Or, dans le cas des Deux coqs, il n’en est rien : l’un des deux gagne mais la morale ne vient pas (on pourrait penser que la phrase conclusive « le vaincu disparut » clôture la narration pour laisser sa place à la morale). Comme si La Fontaine se

elle s’appuie sur des faits expérimentaux, une efficacité pragmatique ou si elle a permis de surmonter des erreurs, des illusions qui faisaient jusque là obstacle à l’extension de la connaissance. Pascal dans Les Pensées met en lumière notre condition humaine d’homme moderne. L’homme est un roseau pensant. La raison, sa grandeur, lui découvre sa condition misérable d’être perdu entre l’infiniment grand et l’infiniment petit sans pourtant être au centre de quoi que ce soit. Le sens de la condition humaine

atteintes à sa vie . C'est sa capacité de raisonner, de se poser des questions, de douter qui fait de lui un homme et qui lui permet de comprendre le monde qui l'entoure, le dépasser et le dominer. . On peut citer aussi Pascal qui, dans la Pensée 200, qualifiait l'homme de " roseau pensant " en ajoutant que " toute notre dignité consiste donc en la pensée ".De plus l'homme est capable d'exprimer des émotions, des sentiments que les autre être vivants sont incapable de ressentir. Par exemple se reproduire

  PASCAL, TABLEAUX SYNOPTIQUES DES LIASSES II – VIII Tableau synoptique liasse "Vanité" 11 Nous sommes incapables de comprendre nos réactions 12 L'asservissement aux "folies" : l'homme est vain car il est déraisonnable 13 Vanité des grandeurs-> la grandeur déchue 14 La vanité des grandeurs 15 La contradiction travail/pouvoir 16 La vanité des apparences 17 idem 18 La vanité de la coutume 19 La vanité du point de vue et de l'angle de vue 20 La vanité de notre être 21 La vanité du savoir

Commentaire de « Que l'homme contemple donc la nature entière » jusqu'à « Qu'est-ce qu'un homme, dans l'infini ? » extrait de Les Pensées de Blaise Pascal. 199-72 H. Disproportion de l'homme. « Que l'homme contemple donc la nature entière dans sa haute et pleine majesté, qu'il éloigne sa vue des objets bas qui l'environnent. Qu'il regarde cette éclatante lumière, mise comme une lampe éternelle pour éclairer l'univers, que la terre lui paraisse comme un point au prix du vaste tour que cet astre

qu’il peut faire de son intelligence, en conjuguant cette fois-ci physique et métaphysique. L’homme pourrait être qualifié d’exception, c’est en tout cas ce que Pascal affirme dans ses Pensées au fragment 347 (classification Brunschvicg) : « L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature ; mais c’est un roseau pensant ». Quand bien même il serait d’une constitution chétive et vulnérable, il dispose de cet attribut extraordinaire à la nature : Il dispose d’une conscience réflexive. Cet

questionnement, avec la raison au centre pour Descartes. Socrate et Pascal Pascal se base avec la raison et son pari. Il va remettre les libertins sur l’existence de Dieu. Socrate fait accoucher les gens de leurs vérités. Ils essayent tout les deux de mettre les gens sur le « droit chemin ». Ils veulent tous les deux vivres une bonne vie sur terre. Pour Socrate, c’est la quête de la connaissance qui va permettre de vivre une bonne vie. Pour Pascal, c’est de ramener les gens vers la foi. Socrate et Freud Socrate