Panoptique

l’aliénation es faite par le travail chez Clastres c’est le pouvoir, l’Etat. La bête noire de Clastres est le pouvoir, l’Etat. Marx  matérialisme historique Royauté sacrée  roi divin Texte : La passion hiérarchique – Véronique Moulinié p.99 Panoptique = inventé par Bentham repris par Foucauld  « Prison idéale » : ou il n’y aurait pas besoin de policiers, chacun serait son propre flics. Méthode : observation participante  elle travaille avec les autres. Objets : rapports hiérarchiques Idéaux-types

dans la même situation, coupés du monde extérieur pour une période relativement longue, mènent ensemble une vie recluse dont les modalités sont explicitement et minutieusement réglée » (1968 : 41). Photo : Prisons de Forest et de Saint Gilles Le panoptique est un type d’architecture carcérale imaginée par le philosophe utilitariste Jeremy Bentham à la fin du XVIIIe siècle 1.2) L’institution totale « lieu de résidence et de travail où un grand nombre d’individus, placés dans la même situation, coupés

ainsi un nouveau cadre d’analyse. Article : Discipliner et gouverner : influence de deux thèmes foucaldiens en sciences de gestion Question: quels sont les limites heuristiques de la relation savoir-pouvoir? Les deux limites de la métaphore du panoptique, la non-prise en compte du manager et la non-prise en compte de la liberté des individus, sont dépassées par des travaux s’appuyant sur la notion de gouvernementalité. Alors que dans une pensée de la surveillance, la critique foucaldienne s’appuie

rationalité limitée (Administrative Behavior, A Study of Desicion-Making Processes in administrative organizations). Dans cet ouvrage, il montre que « dans les décisions réelles, la sélection des moyens alternatifs ne se fait pas selon une vision panoptique permettant la découverte de la solution optimale, mais selon une procédure séquentielle qui s’achève quand l’individu découvre une solution adaptée à des critères minima de satisfaction » [3]. Dans l'article cité, Ph. Urfalino évoque ensuite deux

discours -> contrôler qui est ou non dans la norme. *Concept de biopouvoir : au pouv qui donne la mort et laisse vivre s'est substitué le biopouvoir qui fait vivre et laisse mourir (État-providence : sécurité sociale, assurances, etc.). *Figure du panoptique (projet architectural de prison inventé par Bentham et conçu pour que les prisonniers puissent tous être vus depuis une tour centrale) comme paradigme de ce vers quoi tend notre société, ou ce qu'elle n'est déjà plus tout à fait *Les relations

peine est laissée à l’appréciation de l’administration pénitentiaire en aval du jugement judiciaire, recréant ainsi un arbitraire révolu de l’ancien régime pénal. La prison est un lieu d’observation des individus, en témoigne l’architecture du panoptique, ce bâtiment de forme circulaire, permettant un contrôle de chaque instant sur les individus. Il est devenu le type d’architecture privilégiée des prisons permettant également d’alimenter un certain compte moral. L’auteur met en corrélation cette

fondamental ne serait-ce que dans l’approche. Si on considère par exemple le texte de Lynch, dans une perspective où le sociologue reste en position de « surplomb » par rapport au phénomène qu’il observe, ce que l’auteur désigne comme une vision « panoptique » de la circulation, il ne peut pas comprendre la réalité du phénomène observé. En effet, ce que Lynch montre, c’est qu’il faut avoir une vision plane, horizontale, comme les automobilistes, avec les mêmes restrictions visuelles (avant-arrière privilégiés)

l'informatique[->0] a changé la nature des problèmes posés par la notion de vie privée[->1]. Si l'informatisation des données a été généralement considérée comme un progrès, elle s'est aussi accompagnée de dangers (en littérature Big Brother[->2], le panoptique[->3] et dès l'époque latine la question de Juvénal[->4] : Quis custodiet ipsos custodes?) liés à la possibilité pour autrui ou un pouvoir institué, d'avoir un accès non contrôlé aux informations de nombreux citoyens. Traditionnellement, la protection

remettre les déviants dans le droit chemin ? L'enferment ? Jeremy Bentham Panoptique : batiment circulaire, au centre il y a un tour avec des larges fenêtres qui permettent d'observer le cercle périphérique. Le cercle lui est constitué de cellules, et dans chaques cellules, une fenêtre sur l'extérieure et une sur l'intérieur. La tour est gardée, mais le cercle est occupé par des personnes qu'il faut surveiller. Panoptique = voir tous en même temps. TOUT est vu, la lumière deviens un piège. Pouvoir

pour étudier le régime pénitenciaire. C'est une époque où, en Europe, on se pose plein de questions sur le système carcéral. C'est aussi l'avénement de la rév industrielle et donc il y a un developpement de la violence. On a essayer le systeme "panoptique". Une fois aux US, le systeme pénitenciaire devient le dernier de ses soucis. Il voyage énormément. Sur la base de cette expérience de voyage il écrit ce livre. Il va aux US avec la culture d'un aristocrate francais, avec tous les préjugés d'un