Oraison

d'un même détail ou d'une couleur, dans un effet de symétrie par exemple ; • à l'oral, l'anaphore marque la surprise ou le leitmotiv (exemple: « Si tu savais, ô, si tu savais »). Elle est très employée dans les discours politiques, proches des oraisons rhétoriques classiques[1]. La cataphore En grammaire, une cataphore est un mot ou un syntagme qui, dans un énoncé, renvoie sémantiquement à un segment à venir appelé conséquent (on peut dire aussi antécédent). La cataphore est un procédé fondamental

personnes d'état en général, c'est-à-dire ceux qui auraient pris des décisions "au desçeu du Roy" (l. 7). Les révoltés assurent de plus la non-hérésie de leur insurrection, puisque "les prebstres, curez, ecclésiastiques exhorteront le peuple à prières et oraisons envers Dieu" (l. 35-36) et qu'il y aura "deffences contre les blasphemateurs […] qui se porteront contre l'honneur et la gloire de Dieu" (l. 36-37). Ce document nous permet d'appréhender avec plus de précision la révolte des Croquants du

Notre défunt était en carrosse porté, Bien et dûment empaqueté, Et vêtu d'une robe, hélas ! qu'on nomme bière, Robe d'hiver, robe d'été, Que les morts ne dépouillent guère. Le Pasteur était à côté, Et récitait à l'ordinaire Maintes dévotes oraisons, Et des psaumes et des leçons, Et des versets et des répons : Monsieur le Mort, laissez-nous faire, On vous en donnera de toutes les façons ; Il ne s'agit que du salaire. Messire Jean Chouart couvait des yeux son mort, Comme si l'on eût dû

de bonne tenue durant la cérémonie, même le pharmacien qui est totalement contre la religion, fléchit légèrement ses jambes lors de la prière de Monsieur Bournisien en signe de politesse. Le battement de cœur d’Emma, les pleurs de Charles et les oraisons de l’ecclésiastique s’accentuent et s’accélèrent, créant un effet angoissant de la scène. Emma se tourne vers la religion au moment de sa mort, alors que toute sa vie n’a été que péchés et tromperies. La religion est en quelque sorte la cause de

HISTOIRE Questions 1. Périclès a vécu au Ve siècle avant Jésus-Christ. Athènes est à l’apogée de sa puissance. Il est connu pour être le plus célèbre orateur de son époque, et avoir décrit et célébré la démocratie dans son oraison funèbre des morts de la guerre du Péloponnèse, retranscrit par Thucydide. 2. Prise de la Bastille (14 juillet 1789). Abolition des privilèges (nuit du 4 août 1789). Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (26 août 1789). Proclamation de la République (21 septembre

merveilleux immédiatement : position du croyant (foi). Représentant de l’ordre établi qui cherche à convaincre DJ (« rendez-vous à tant de preuves ») et qui ne fait que le conforter dans sa révolte (si DJ se repent, il se met au niveau de son valet !). Oraison funèbre finale qui fait office de réquisitoire : énumération qui résume les fautes et les victimes. Mais discours qui forme un contraste comique avec ce qui précède (mélange des registres) : « Ah ! mes gages ! »  répété au début et à la fin du discours

pulsation lancinante de l'anaphore, apportant une impression de fluidité et de mobilité. La volonté d'apaisement, conférée par le rythme litanique accompagné d'une impression de léger mouvement, traduit l'idée de repos éternel et de vie. 3. Une oraison funèbre Le poème de Charles Péguy renvoie en effet à l'oraison funèbre – prière pour le repos des morts et commémoration de leur vie passée. À la différence du sermon des « Béatitudes », le poète n'énumère pas tous ceux qui seront dignes d'une récompense

(Christophe = en grec « celui qui porte le Christ ») Filles absentes (enterrement) et omniprésentes (socialement : voiture armoriées ; photo qui créé l’illusion d’une famille retrouvée), médaillon = passé : jeunes, vierges et pures Emotion d’E Oraison funèbre de C conventionnelle et écho du bn sens pop, sorte de vérité du bn sens La fin de l’initiation de Rastignac Narrateur souligne la solitude E auprès de l’agonisant, son dévouement, sa fidélité envers G qu’il soigne et veille av constance

Notre défunt était en carrosse porté, Bien et dûment empaqueté, Et vêtu d'une robe, hélas ! qu'on nomme bière, Robe d'hiver, robe d'été, Que les morts ne dépouillent guère. Le Pasteur était à côté, Et récitait à l'ordinaire Maintes dévotes oraisons, Et des psaumes et des leçons, Et des versets et des répons : Monsieur le Mort, laissez-nous faire, On vous en donnera de toutes les façons ; Il ne s'agit que du salaire. Messire Jean Chouart couvait des yeux son mort, Comme si l'on eût dû

désignation d'une victime se fait par un non respect de ce qu'il plaît au Roi, par exemple, le cerf ne pleura point (v.28), et il est suspect d'avoir rit (v. 29), donc logiquement, le cerf sera donc la victime. II. Un récit édifiant 1. Une bonne oraison Le cerf a une qualité politiquement requises c'est être un bon orateur, en effet, on voit qu'il procède méthodiquement, il commence par une formule de politesse « Sire » puis sous une forme métaphorique, il dit que « le temps des pleurs est passé