Oraison

Puis le lendemain, son corps, mis dans un coche, fust mené à S.-Denis-en-France et là enterré sans autre solennité [26]". Lors de la cérémonie religieuse en l’église Notre-Dame de Paris [27], le Prédicateur du Roy, Arnaud Sorbin, prononça une Oraison funebre de treshaute et vertueuse princesse Marie Isabeau de France fille de Treshaut et Treschrestien Roy Charles IX [28]. L’ouverture du corps eut donc lieu au plus tôt le 3 avril, en respectant le délai obligatoire de 24 heures observé dans tous

donc pour but de décider des décisions à prendre et on y discute de leur côté utile ou nuisible. C’est un discours orienté vers l’action. Le genre épidictique, qui est celui de l’éloge et du blâme. Il s’agit souvent de discours d’apparat, comme les oraisons funèbres. Le genre démonstratif s'adresse à un auditoire réuni à l'occasion d'un événement particulier tel qu'un mariage, un décès, une réception officielle. C'est là qu'on loue ou blâme; c'est là qu'au travers de la louange ou du blâme, on instruit

musique par Léo Ferré en 1959 sous le titre L'Affiche rouge. D’après moi dans cette œuvre de commande, Aragon arrive à émouvoir car par exemple on se met à la place de la femme de Manoukian dans l’extrait de lettre. Louis Aragon dans cette oraison funèbre rend d’abord hommage aux partisans qui possèdent un courage exceptionnel dicté par un amour illimité pour la France et les valeurs qu’elle incarne : liberté, égalité, fraternité, en s’adressant directement à eux, puis il leur donne la parole

Jacques-Bénigne Bossuet, prêtre, prédicateur, également précepteur du Dauphin, fils de Louis XIV et surtout grand orateur de la cour, Il prononce le sermon « Madame se meurt ! Madame est morte ! » De ses Oraison Funèbre, le jour du 21 juin 1670, à st-Denis. Ce discours à lieu suite au tragique décès d’Henriette d’Angleterre, épouse du duc d’Orléans, frère du roi. Le décès de cette jeune demoiselle de 26 ans, alors en pleine santé le matin de son décès, est mise en forme par Bossuet. L’orateur

sensations auditives (voix, soupir, haleter, souffle furieux, râle) partant d'un bruit initiale dont le martèlement régulier figure le caractère inéluctable du Temps. Quand aux thèmes funèbres (morte, l'âme, crucifix, prière, ruine qui tombent, oraison, glas de cloche, existaient plus) témoigne d'une imagination morbide qui multipliée les signaux de la mort. Pour conclure, nous voyons qu'à travers ce extrait démontre une mort violente et tragique. Le poète propose une réflexion sur le comportement

quelque chose de bon, pas nécessairement mauvais. B) Confiance en la culture - Volonté d’un savoir encyclopédique (énumération longue à propos de connaissances : montre l’appétit de savoir) « lire, écrire, chanter … tant en carme que en oraison solue ». Rabelais fait d’ailleurs écrire à son personnage Gargantua une lettre avec un programme éducatif dans lequel il dit vouloir faire de son élève un «  Abîme de sciences » - Il veut également une éducation générale et complète (esprit & corps) :

aéronautique » renvoie au vol... Ici il y a une mise en scène très claire de la mort avec le chien, et un effet de contraste entre la mer blanche et le rouge du sang. D’ailleurs, la répétition du mot « paix » fonctionne un peu comme une prière, une oraison funèbre (prière que l’on fait pour célébrer la mort de quelqu’un). « Langlois s’avance […] mort subite » : Ici, on assiste à la deuxième scène dans laquelle Langlois tue rappelant son face à face avec M.V. On peut considérer que la mort du loup

enrichissement personnel : *le plus riche de son époque (comment, pourquoi, impôts, trésor du roi etc) * son gout pour les arts ( dépenses inconséquentes, bal, université etc) *impopularité ( ses origines, la population, les caricatures + ses oraisons funèbre) B/ Le développement d’une clientèle : Il est étranger et donc il doit assoir son pouvoir en se constituant une clientèle *Il devient prêteur, « banquier » *Il a les faveurs de la reine = président du conseil c’est lui qui a le pouvoir

judiciaire Ce discours est prononcé devant des juges dans le but de convaincre. Il est appuyé essentiellement sur des faits passés. épidictique Dans la rhétorique grecque, se dit d'un discours d’apparat qui, par exemple dans un panégyrique ou une oraison funèbre, consiste à montrer les vertus d'un personnage vivant ou défunt et à distribuer le blâme à ses détracteurs.

fais des reproches et tu m’écoutes, tu sembles m’écouter sans m’interrompre” et le tutoie. Au contraire du monologue dans lequel le personnage, seul sur scène, se parle à lui-même. 2) On pourrait croire que la tirade que Suzanne prononce est une oraison funèbre pour plusieurs raisons. Tout d’abord, elle parle longuement à Louis en lui faisant tout un tas de reproches tels que “ce n’est pas bien que tu sois parti” ou encore “lorsque tu nous as faussé compagnie”. De plus, elle parle au nom de tout