Oraison

le respect des conventions sociales : bienséances et vraisemblances. Il faut exclure tout ce qui peut choquer les conceptions morales du public raffiné, de la cour en particulier (propos indécents, spectacles sanglants…) ex : Bossuet (1627-1704) : Oraisons funèbres Molière ( 1622-1673) : Le Misanthrope La Fontaine ( 1621-1699) : les Fables La Rochefoucault (1613-1680) : Maximes Pascal (1623-1662): Pensées Boileau (1636-1711) : l’Art poétique Racine (1639-1699) : Phèdre, Andromaque La Bruyère

entité agissante et destructrice. Elle possède une figure monstrueuse.La guerre est donc dès le début condamner par l’auteur de manière polémique en surprenant le lecteur. · 2ième phrase  : éloge funèbre (oraison funèbre) de SOYECOUR : On peut déjà relever le nom « SOYECOUR ». Il s’agit du nom d’une famille aristocrate.Le mot « frères » présent à la fin de la première phrase permet d’introduire la seconde « Jeune SOYECOUR ! » : · On a ici une apostrophe

répétition de « encore » insiste sur le fait que la vie est inutile et limité sans dieu : (l.22-27) De plus, il utilise également comme argument les réactions qui sont les mêmes pour tous et qu’il peut observer au quotidien puisqu’il prononce des oraisons funèbres : « Chacun rappelle en son souvenir depuis quel temps il lui a parlé, et de quoi le défunt l’a entretenu ; et tout d’un coup il est mort. Voilà, dit-on, ce que c’est que l’homme ! Et celui qui le dit, c’est un homme ; et cet homme ne s’applique

Hume et le problème de l'identité personnelle Hume a écrit le texte de sa propre oraison funèbre. Or, comment le contempteur du moi peut-il écrire son propre portrait? Dans ce court discours, Hume n'affirme pas sa personne , son sujet mais expose plutôt la manière dont celui-ci est perçu par autrui. Pour lui cette manière est la seule réalité qui nous est donné à connaître : aucune substance n'est à chercher derrière. _ Comment n'être que la somme de ses affections et affirmer en même temps

salue Marie + Gloire au Père + « Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous ».               4ème jour : Marie écrase la tête du serpent Le 27 novembre 1830, à cinq heures et demie du soir, alors que Sainte Catherine est en oraison dans la chapelle, la Sainte Vierge lui apparaît pour la deuxième fois, debout, à la hauteur du tableau de Saint Joseph qui se trouve à droite du maître-autel, « la figure si belle qu’il me serait impossible de dire sa beauté, elle avait une robe de

programme humaniste est mis en évidence par une énumération, qui montre cette envie de connaitre (l.10-11): « qui ne sut lire, écrire, chanter, jouer d’instruments harmonieux, parler cinq ou six langages, et en iceux composer tant en carme qu’en oraison solue ». Les termes superlatifs comme jamais et tant mettent en valeur cela. Le texte est extrait de Gargantua. Cette figure du géant ayant un appétit dit Gargantuesque est une métaphore de cette envie de connaitre. Comme le dit Rabelais dans

scène. Ce dernier se sent coupable d'avoir échappé à la mort (antithèse ressuscitait/mourir l.7), il éprouve du chagrin "de la voir blessée à mort" l.12 3) Un adieu ému Par certains aspects, le discours intérieur de Lantier s’apparente à une oraison funèbre. Rappel nostalgique splendeur passée et déchéance : l.16 « souillée » « elle toujours si luisante », l.28 « tout un monde qui avait vécu ». Pardon de la déchéance de la Lison : il lui accorde son pardon d'avoir été "moins alerte" l.9 « pas

« balises » pages 91-94 Travailler sur les deux lectures analytiques, linéaire et composée LECTURE ANALYTIQUE LINEAIRE INTRODUCTION Après un passage où le roi ne parle plus, où il est considéré comme un objet, où les autres personnages font son oraison funèbre, comme s’il était déjà mort, intervient un passage où Bérenger manifeste un retour à la vie. À partir de là, il va reprendre la parole mais sur un autre registre. Il tente désespérément de se raccrocher aux personnages qui disparaissent tour

-L'artisan de l'ouverture de la démocratie Lors d'une oraison funèbre prononcée en l'honneur des citoyens morts au combat dans la guerre du Péliponèse, Périclès fait l'éloge de la démocratie. "Comme les choses ne dépendent non pas du petit nombre mais de la majorité, c'est une démocratie. La loi, elle, fait à tous, pour leurs différends privés, la part égale, tandis que pour les titres, si l'on se distingue en quelque domaine, ce n'est pas l'appartenance à une catégorie, mais le mérite, qui vous

classicisme cherche a créer des modèles, en fondant chaque genre littéraire sur des règles de constructions claires et rigoureuses. Il revendique l'usage d'un style simple et naturel. AUTEURS: corneille --> Le Cid Bossuet --> Oraisons funébres Racine --> Andromaque Molière --> L'avare La Fontaine --> fables Mme de Lafayette --> La princesse de clèves La Bryuère --> Les caractères