Onomastique Romanesque

autres ». Hurlevent : Unique roman de Brontë (par ailleurs, elle a écrit des poèmes). C’est donc un texte isolé contrastant avec les productions de Balzac et de Tolstoï. Roman intime : enracinement autobiographique. Le nom des personnages (onomastique) renvoie aux noms familiaux de Balzac. De plus, Brontë parle d’une région marginale : la Lande. La question de l’identité est toujours liée à la question de la terre, de l’enracinement (statut de fille de pasteur). Le lecteur pénètre dans l’intimité

autres. L’objectif du voyage serait l’île de la « Dive Bouteille », parodie de la cherche du Graal. Le critique contre l’Église continue. 21/11/2011 Personnages principaux de cette espèce de saga - Gargantua : C’est un géant. Il y a une onomastique symbolique. Gargantua signifie quelqu’un qui mange beaucoup. 26 Introduction à la Littérature Française Beatriz Baquedano Montañés - Pantagruel : C’est le fils de Gargantua. Gruel signifie assoiffé en arabe, signifie qui boit beaucoup

owner. Further reproduction prohibited without permission. INTRODUCTION La modernité romanesque confère de nouvelles significations aux textes littéraires de facture traditionnelle alors qu'un renouveau les imprègne tant sur le plan du contenu qu'à celui de la forme. Cette remise en cause des modèles littéraires atteint son apogée grâce au Nouveau Roman qui rompt avec certains présupposés romanesques et, plus radicalement, avec la notion de représentation. Le roman privilégie des formes

chez Sony Labou Tansi. Nous essayerons, dans notre première partie intitulée l’univers de la violence, de montrer la prégnance de la violence dans les institutions, sociales, politiques, religieuses et le traitement appliqué aux deux composantes romanesques que sont l’espace et le temps. Dans notre deuxième et dernière partie, nous parlerons de l’écriture de la violence à travers la symbolique de la violence. 5 PREMIERE PARTIE : UN UNIVERS DE VIOLENCE 6 Suivant l’opinion générale et nos

linguistique (le niveau d'analyse sémique) par l'alibi d'une interprétation avant-gardiste venue d'une autre science humaine. C'est d'ailleurs à ce même ouvrage que se réfère R. Debray-Genette pour étudier la genèse d’un motif, depuis les "embryons romanesques dans Les Plaisirs et les Jours" jusqu'à la fragmentation contextuelle de ce motif dans Combray. Elle y observe, après les travaux de Ph. Hamon, que leur description procède par "un épuisement de sèmes" (1976, p. 137). Elle reproche toutefois

comme une référence). Par contre, dans l'autofiction, la véracité des faits racontés n'est pas respectée (faits dits fictifs). Ainsi, les critères de l’autofiction sont déterminés par S. Dobrovsky à trois Points définitoires : 1- L’identité onomastique auteur, narrateur, personnage principal. 2- L’emploi de la première personne. 3- La littérarité (la fictionnalisation des faits relates, l’incarnation d’un monde Imaginaire, l’écriture en réel afin de servir le projet littéraire du roman). En

Paris Langue d'écriture Français Mouvement réaliste philosophique fantastique romantique Distinctions Chevalier de la Légion d'honneur Fondateur et président de la Société des gens de lettres Œuvres principales La Comédie humaine (cycle romanesque), (1831-1850) Les Chouans, 1829 La Peau de chagrin, 1831 Eugénie Grandet, 1833 Le Père Goriot, 1835 Le Colonel Chabert, 1835 Le Lys dans la vallée, 1836 Illusions perdues (1837 - 1843) Splendeurs et misères des courtisanes, 1838-1846 Compléments

fond : background NB academic background = formation universitaire “background” s’utilise aussi comme adjectif: a background image art antique : ancient art art baroque : baroque art art celtique celtic art : art rococo : rococo art art Roman : romanesque art article : (texte) article ; (unité de classement, dossier…) unit, item article critique : review artisan : artisan , craftsman, craftswoman NB : craft : le savoir-faire, le métier ; a craft : un métier artisanal to craft , (US) to handicraft

d'Halicarnasse à l'invention romanesque est alors presque irréfutable. Contrairement à Tite-Live, qui va pour cet épisode au moins le plus souvent à l'essentiel, Denys imagine quantité de très longs discours, et estime par exemple que « [s]on sujet demande qu['il] fasse une exacte description du combat », là où on suppose bien que nul n'a pris garde pendant la monarchie romaine à consigner chaque action de ce combat. Denys conclut d'ailleurs cette histoire par une formule presque romanesque « Telle fut la fin

juif et un patronyme arabe ou berbère. Divers travaux d'onomastique, comme ceux de Laredo ou Hamet au Maroc, ou ceux d'Eisenbeth en Algérie6, permettent certes de recenser un grand nombre de noms typiquement juifs, et leurs variantes. Mais, en onomastique, comme ailleurs, les apparences s'avèrent souvent trompeuses, d'autant que les écrivains qui nous intéressent n'hésitent pas à jouer à l'occasion de ces incertitudes : il existe indéniablement face au nom propre et sa mobilité - incertitude des