Oisiveté

fortune, etc. ; toutefois, une nature patricienne (2) ne craint pas ces choses, mais bien de s'ennuyer. Les dieux de l'Olympe ne s'ennuyaient pas, ils vivaient heureux en une oisiveté heureuse. Une beauté féminine qui ne coud pas, ne file pas, ne repasse pas, ne lit pas et ne fait pas de musique est heureuse dans son oisiveté ; car elle ne s'ennuie pas. L'oisiveté donc, loin d'être la mère du mal, est plutôt le vrai bien. L'ennui est la mère de tous les vices, c'est lui qui doit être tenu à l'écart

pédérastes d’honneur car ils présentaient bien. […] Ils avaient embrassé la carrière de pédérastes par nécessité et par goût, mais, comme on les payait bien pour être pédérastes d’honneur, ils ne travaillaient presque plus, et malheureusement, cette oisiveté funeste les poussait au vice de temps à autre. C’est ainsi que, la veille, Coriolan s’était mal conduit avec une fille. […] Ils avaient des culottes spéciales, à braguettes e, arrière, difficile à fermer tout seul. » Lors du mariage de Colin

satisfaction éphémère (On ne voit pas l’objet réel (Manque de clairvoyance Illustration : Texte de Lucrèce (De natura Rerum) Thèse : il faut se préserver des pièges de la passion ( On dépense sans compter ( Jalousie toujours possible ( Remords/oisiveté ( L’attribution de fausses qualités à l’être aimé -Conséquence : ne pas laisser le désir prendre le contrôle Pour qu’il nuise plus, autant le supprimer -APATHIE ou ATARAXIE Absence de troubler ou absence de désir (Tranquillité de l’âme

 um + ­pte = son propre, leur propre  tintino, as, are, ­, ­ < tinnio, is, ire, ivi/ii, itum = tinter, crier aux oreilles  geminus, a, um = double, qui fait le couple, qui fait la paire  tego, is, ere, texi, tectum = couvrir, recouvrir  otium, ii, n. = inaction, oisiveté  Catullus, i, m. = Catulle  molestus, a, um = dangereux  exsulto, as, are, avi, atum = être dans des transports de joie  gestio, is, ire, ivi/ii, ­ = faire des gestes sous l’empire de la joie, se démener sous l’empire de la joie, avoir  des transports de joie

roman Les Liaisons dangereuses. Les personnages du roman de Laclos appartiennent à une société aristocratique. En effet, ils en font partie par leurs titres qui démontrent une hiérarchie aménagée avec soins, par leur façon d’être, ainsi que par leur oisiveté. Les personnages appartenant à cette société ne pensent qu’à très peu de choses en dehors de leur vie, leurs amours et leurs relations. Ainsi, Valmont et Mme de Merteuil deviennent des maitres dans l’art de la séduction et ne vivent que pour leur

nommé ds poèmes MS ennui oui (synonyme). B utilise svt ce mot au pluriel pr surenchérir cette impress° de vide : vide de la conscience MS @ de la vacuité du md q l’entoure. MS qd singulier et 1 majuscule : il ne faut ø comprendre le sens raciner -> oisiveté MS état d’abattmt prfd et haine de soi. Le mot vient d’ailleurs d’ «odium » (= latin haine). Le spleen = mlge d’angoisse, désespoir, mélancolie. Hô est dc irémédiablmt condamné à la mélancolie ø réel espoir de guérison. Les poèmes 75-78 intitulés

Saint-Pierre: le “bonheur naturel”. 0. Séquence de transition: “Quel était donc ce bonheur et en quoi consistait sa jouissance?” 1. Séquence discursive: pose le thème du “précieux farniente”, motif essentiel qui définit sa vie à Saint-Pierre (jusqu`à “l´oisiveté”). 2. Séquence narrative: Situation à l´île de Saint-Pierre: arrivée, installation, isolement, et projets botaniques. (jusqu`à “ne fut amplement décrit”). 3. Séquence narrative: La vie à l´ île de Saint-Pierre (Narration itérative). (jusqu´à “durant

long mariage, il décide de vivre sa retraite dans le calme, profitant ici et là des plaisirs de la vie quotidienne: la découverte d'un voisinage vivant et diversifié, les flirts innocents avec une serveuse de restaurant. Il décide de tromper son oisiveté avec la rédaction du Livre de la folie humaine, recueil des différentes gaffes et erreurs, comiques ou tragiques, qu'il a commises ou que d'autres ont vécues. Sa retraite prend un autre tournant lorsque réapparaît son neveu Tom Wood, disparu du

n’est alors pas la cause du malheur de l’homme mais c’est l’exploitation qui en est faite par les patrons des employés qui est a condamner . Le travail permet donc a l’homme d’accéder a l’humanité si bien que l’etre s’enfonçant dans la plus grande oisiveté serait comparable a un animal de par sa passivité face a la nature , son incapacité ou son manque de volonté d’intégrer une société culturelle . L’homme est un etre de culture qui se realise , se transforme , marque le monde grâce et par le travail

pas ainsi vers le détachement attendu mais vers une condamnation mélancolique de Dieu et de la vie, qui le mena au bord du suicide. Il se résolut alors à suivre les conseils de Desgenais et à se livrer à la débauche jusqu'au «vertige» (chapitre 1). Oisiveté, fêtes et séduction de courtisanes devinrent son quotidien. Il y perdit la pureté de son âme et toute foi (chapitres 2, 3). Mais ces plaisirs ne parvinrent pas à estomper son mal-être. Il se lassa vite de cette vie artificielle, dont le vide glacial