Obus

d’un film qui traite de sujets tabous à l’époque. Dans certaines scènes elle devient même mélancolique ! L’arrêt sur image : Marguerite Marguerite est une infermière envoyé sur les champs pour soigner les blessés mais lors d’une opération un obus éclate près de sa tente et elle devient défiguré et sourde.

d artillerie. Les pertes ont été considérables pour un gain en territoire conquis nul . Après 10 mois d atroces souffrances pour les deux camps , la bataille aura coûté la vie a 378 000 hommes aux français et 337 000 aux Allemands. 60 millions d obus furent tirés pendant cette bataille . 1. Quelles sont les causes de la bataille de Verdun ? Au début de l'année 1916, l'Allemagne a besoin d'une victoire militaire marquante.  Falkenhayn songe à frapper

interminable. Malgré la censure, le courrier revêt dans ce contexte une grande importante car le lien avec l’arrière permet de garder courage. Le combattant cherche sa place dans une guerre où la mort frappe de manière anonyme et systématique : des obus pilonnent le champ de bataille, mais il faut traverser tout de même cet horrible no man’s land lorsqu’on reçoit l’ordre de partir à l’assaut. C’était un moment redouté des combattants, qui dès lors qu’ils franchissent le parapet sont vulnérables et

tirent dessus, la haine des supérieurs qui ne viennent pas nous sauver, la haine de la guerre, mais dorénavant la haine de la vie car avant de donner mon dernier souffle, la dernière chose que j’entendrais sera surement le bruit de l’explosion des obus sur cette terre qui était en paix précédemment.

nourriture qu’un misérable bout de pain sec et l’eau est rare. Aujourdhui nous somme le 9 novembre 1916, cela fait huit mois que je survis dans les tranchées boueuses dont le sol est jonché de corps en décomposition.Je ne supporte plus le bruit des obus sifflant , et de cette peur, cette angoisse constante d'etre envoyer a l'assaut . Ceux qui y sont envoyer savent qu'il ne reviendront peut etre pas . La mort est omnipresente, nous avons deja perdu la moitier du régiment. Pour m'évader de cette enfer

officier engagé dans la première guerre mondiale de 1914 à la tête d’une mission de détachement sur la Meuse chargé de détecter les sites favorables à la mise en place de ponts mobile avant l’arrivée des Allemands. Un grand bruit de détonation d’un obus, puis les graves stigmates au visage qui résument le début et la fin d’une mission débutée et interrompue en un quart de secondes. Défiguré du visage le val-de-Grâce, accueille Adrien pour cinq bonnes années le temps d’une reconstruction à l’abri de

il a été mobilisé en 1916. Il raconte l’histoire d’un jeune allemand, Paul, qui a subit un bourrage de crâne patriotique. Celui-ci va découvrir l’horreur de la guerre. La vie quotidienne dans les tranchées, envahies par les rats et détruites par les obus, est décrite minutieusement ainsi que la souffrance des soldats-martyrs. A l’Ouest rien de nouveau sera brulé lors des autodafés. Remarque sera condamné à l’exil et la nationalité allemande lui sera retirée. Vue des français : Barbusse écrit Le

durant ces heures terribles […] nous portons dans notre cœur le deuil de tous nos camarades tombés à Verdun du 5 au 12 mars Tu as raison de prier pour moi, nous avons tous besoin que quelqu’un prie pour nous, et moi-même , bien souvent, lorsque les obus tombaient autour de moi, je murmurais les prières que j’avais apprises quand j’étais tout petit, et tu peux croire que jamais prières ne furent dites avec plus de ferveur. […] Ton fils (1) qui te chérit et qui t’embrasse un million de fois. Lettre

au début de la dernière strophe. Ce là-bas, qu’on pourrait considérer comme un terme péjoratif, paraît indiquer que la mort n’a aucune importance. Même l’horreur de la guerre ne semble plus faire un grand effet à Apollinaire, lorsqu’il écrit : « un obus éclatant sur le front de l’armée » ; ceci est un fait banal, en un tel endroit. Cependant, l’obus, auquel l’auteur ajoute un adjectif appréciatif, « bel », a tout de même pour fonction de tuer et reste un objet horrible et austère (sic), qui est embelli

yeux bleus, des épaules tombantes et un flair merveilleux pour découvrir le danger, la bonne nourriture et de beaux endroit où s'embusquer. Il meurt d’une balle dans la hanche et d’un obus dans la tête. Westhus Haie : Il meurt au début de l’histoire à la suite d’une amputation infectée. Il a 19 ans. Il prend un obus dans le dos. Himmelstoss Caporal : Général, qui a été le tuteur de ces soldats. Surnommé : " la terreur du Klosterberg ". C’était un ancien postier appeler au service. Kantorek