Observatoire Marocain Du Tourisme

secteur de pêche et de la transformation des produits de la mer Absence de filières agricoles et de diversification des activités d’élevage Des leviers en cours d’exploration : les mines et les hydrocarbures Absence de complémentarité entre le tourisme et l’artisanat Accompagnement insuffisant du développement des énergies renouvelables Inadéquation du commerce et des services avec les besoins Faible exploitation du potentiel structurant de l’économie sociale et solidaire 44 46 47 48 49 49

Propositions de la CGEM Loi de finances 2012 Entreprise Marocaine, Oser et Innover 12 septembre 2011 1 Sommaire Préambule ............................................................................................................................................... 5 I. Une approche globale et pluriannuelle ........................................................................................... 9 A. Méthodologie, une démarche rénovée ................................................

TR4/07 TR1/08 TR2/08 TR3/08 TR4/08 TR1/09 TR2/09 TR3/09 TR4/09 TR1/10 TR2/10 TR3/10 Figure N° 1.1.3 : Evolution de l’indice de confiance des ménages en %(HCP) Source : Haut-commissariat au Plan 2010 En général l’appréciation des ménages marocains est plutôt positive sur l’évolution du niveau de vie. En effet, les déclarations des ménages font ressortir, au deuxième trimestre de 2010 par rapport au même trimestre de 2009, une opinion plus favorable concernant l’évolution future du niveau de

décennie, il est probable que la transition des effectifs lycéens se fasse d’abord et en priorité vers l’enseignement supérieur. La croissance des effectifs étudiants dans le supérieur, de l’ordre de 10 % par an selon les estimations du ministère marocain de l’Enseignement supérieur, pose la question d’une possible croissance équivalente du corps professoral, un premier défi à relever. Il s’agira d’abord de former davantage de docteurs pour alimenter le corps professoral de demain. Un second défi

Majid, président de la CGEM, région du Souss Massa-Drâa. – KACIMI Moulay El Hassan, directeur régional, Direction régionale de l’Habitat, région du Souss MassaDrâa. – LE TIXERANT Patrice, architecte, Agadir. – MOUDOUD Brahim, délégué régional du Tourisme, Agadir. – MOUISSAT Abderrazzak, parlementaire. – N’GHIRA Abdessadek, Agence du bassin hydraulique du Souss Massa-Drâa. – OUABB Brahim, ingénieur à la Délégation du Commerce et de l’Industrie, Agadir. – OUAHER Mohamed, délégué du Commerce et de l’Industrie

professionnelle parait assez vaste et nécessite pour une meilleure compréhension de ses enjeux, des analyses complémentaires rendant compte de ses articulations avec les politiques économiques, d’emploi et d’éducation. Le processus d’édification du système marocain de la formation professionnelle s’inscrit-il dans cet ensemble de finalités ? Dès les premières années de l’indépendance, la question de la formation et de la qualification professionnelles s’est posée comme une nécessité pour la mise en valeur du

THEME : « L’ADMINISTRATION MAROCAINE ET LES DEFIS DE 2010 » Rabat, 7 - 8 Mai 2002 Sous le haut patronage de SM le Roi Mohamed VI, que Dieu le glorifie et l’assiste, le Ministère de la Fonction Publique et de la Réforme Administrative a organisé les 7 et 8 Mai 2002 au Centre de Recherches Administratives et de perfectionnement de l’Ecole Nationale d’Administration, le Premier Colloque National de la Réforme Administrative sous le thème « L’Administration marocaine et les défis de l’an 2010 »

rapport adressé à l’Assemblée Générale des Nations Unies, le rapporteur conclu que les facteurs induisant ces phénomènes existent au Maroc, notamment les enfants en situation de rue, le tourisme sexuel… Mais elle estime que le phénomène en lui-même n’est pas très dangereux, mais elle attire l’attention du Gouvernement marocain sur la nécessité de prendre des mesures préventives. A l’époque, le Maroc était le seul pays arabo-musulman à avoir accepté la visite du rapporteur spécial. - Le 2nd rapporteur

chercheurs. Mais ce mouvement de regroupement conjoncturel quasi spontané a montré ses limites dans la mesure où il demeurait fragile et n'a pas pu générer une véritable cohérence interne du système de recherche. Au même titre que les autres universités marocaines, une opération de structuration des entités de recherche de base a été décidée. Les objectifs affichés de cette opération délicate avaient été de regrouper les chercheurs selon leur domaine de recherche dans des entités fonctionnelles et reconnues

également pour 15% dans les recettes de l'Etat. Le développement de l'économie marocaine est tributaire du développement du secteur des transports. Qu'il s'agisse du transport de voyageurs ou de marchandises, un grand effort reste encore à faire pour satisfaire les besoins du pays. Le parc automobile national utilisant le réseau routier s'élève à environ 1.500.000 véhicules dont 73% sont des véhicules de tourisme et 27% sont des véhicules utilitaires. En ce qui concerne l'offre de transport