Obligation D Information Du Vendeur Professionnel

 Droit des Affaires Introduction : notions juridiques de bases I) Les personnes et les biens A) Les personnes Elles sont aptes à être titulaires des droits et obligations = sujet de droit Cette aptitude à pour nom la Capacité de Jouissance, qui permet de participer à la vie juridique (passer des contrats…). Les droits d’une personne sont appelés droits subjectifs 2 catégories de personnes : Les personnes physiques = tout être humain (aucune condition de nationalité, d’âge…) a) La

2 2 Définition de la vente et distinction avec certains contrats voisins 3 2.1 Définition du contrat de vente 3 2.2 Rapprochement et distinction 4 3 La formation du contrat de vente 4 3.1 Les partis au contrat 5 3.1.1 Le vendeur 5 3.1.1.1 La capacité et le pouvoir de vendre 5 3.1.1.2 Les restrictions à la liberté de vendre 6 3.1.2 L’acheteur 7 3.2 Le consentement au contrat 7 3.2.1 Les modalités susceptibles d’affecter la vente 8 3.2.1.1

exécution : obligation pour le PSI de prendre toutes les mesures raisonnables pour obtenir le meilleur résultat possible pour son client. Plusieurs critères sont pris en compte sur le marché européen pour juger le meilleur résultat possible atteint (le prix, le coût, la rapidité, la nature de l’ordre, les caractéristiques de l’exécution). Aux Etat-Unis seul le prix est pris en compte pour juger le meilleur résultat possible atteint. Atteindre le meilleur résultat possible correspond à une obligation de moyen

THEME 2 - Loi HOGUET THEME 3 - L’obtention de la carte professionnelle THEME 4 - Le statut THEME 5 - Le mandat THEME 6 - Les droits et les biens immobilier THEME 7 - Cadre juridique de la vente immobilière Partie 1 : Réglementation professionnelle en droit immobilier Chapitre 1 : Les sources spécifiques à l’accès aux professions immobilières I - La reconnaissance du statut professionnels de l’immobilier Le professionnel de l’immobilier est un intermédiaire. En matière de transaction

d’information à la charge du vendeur Avant la conclusion du contrat le vendeur doit apporter au client des infos sur : * prestations proposés * prix/modalités paiements (% acompte/échéancier) * conditions d’annulations * risques couverts + montants des garanties souscrites * souscriptions facultatives d’un contrat d’assurance Toutes ces infos ne peuvent être faites que pas écrit. b. L’offre de voyage, source d’obligation pour le vendeur Les infos préalables données

ou plusieurs personnes sʼobligent envers une ou plusieurs autres, à donner, à faire ou à ne pas faire quelque chose”. > Classification des contrats. Contrat unilatéral: une partie assume lʼessentiel des obligations. 1103 CCv. Contrat synallagmatique: celui qui prévoit des obligations réciproques. 1102 CCv. Contrat de bienfaisance (à titre gratuit) (1105 CCv): il est animé par le souhait de rendre un service gratuitement à lʼautre partie. “le contrat de bienfaisance est celui dans lequel

caractère dolosif du silence des vendeurs A) Nécessité d'une tromperie volontaire Définition du dol Art. 1116 cciv. L’élément intentionnel : volonté de l’auteur du dol d’induire en erreur. La manœuvre ou le silence doit être une démarche dans l’objectif spécifique de tromper.C’est surtout sur ce 2ème point que les vendeurs défendent leur position. Il affirment que la CA ne fait pas apparaître cet élément se contentant d’appuyer sa décision sur la connaissance des vendeurs des inondations (la dernière

Qu'est-ce qu'un contrat ?  Le contrat est un ACTE JURIDIQUE L’acte juridique est « une manifestation de volonté dont les conséquences juridiques sont recherchées » L'auteur de l'acte juridique s'engage juridiquement  Il s'engage à exécuter une obligation contractuelle... Pas forcément écrit, par la parole (achat tous les jours, facture pas obligatoire quand le montant est inférieur à 15,2€) Quand il y a contrat, la personne veut prendre des effets de droit Ex : contrat de vente → transfert de

disait Loysel. Il souligne la valeur de la parole qui permet l’échange des consentements en vue de conclure un contrat à la condition d’être le reflet d’un consentement libre et éclairé. Le contrat est un accord de volonté destiné à créer des obligations. Le contrat, pris dans sa conception individualiste remontant au 18ème, voit les hommes comme étant libre et égaux, par conséquent le contrat ne peut être qu’un élément d’émancipation de l’individu, car l’individu ne s’engage que pour son

réfère pas aux seuls langages scientifiques et techniques[4] – ce qui ne me semble pas (ou : plus ?) correspondre au contenu des modules d’enseignement concernés. En effet, sont réputés être des langages spéciaux tant les « jargons professionnels » (dont procèdent les langages scientifiques et techniques, directement concernés par ce programme d’enseignement), que les argots (ou : parlers de communautés restreintes utilisés à des fins cryptiques) et les « jargots » [5]  (au sens de Marc