O Souvenir Printemps Aurore

fuite d'un tête-à-tête avec soi-même. L'exotisme, c'est le rêve de pays lointains, on peut considérer la vie comme un long voyage. Les poètes du voyage s'inspirent de leurs propres voyages, de ce qu'ils ont vécu, que ce soit un bon ou un mauvais souvenir ces poètes s’inspirent aussi de leur vies ainsi que de la nature .Le poète par sa fonction est déjà un voyageur il cherche la profondeur intime des mots le terme poésie vient de poesis qui signifie la création le poète est donc un créateur d'univers

parle20 Préface :Les « Contemplations » de Victor Hugo, est un recueil de poésie, publié en 1856. Ce recueil regroupe 158 poèmes, eux mêmes rassemblés en 6 livres. Chacun de ses livres à un thème qui lui est propre : I. Aurore : Ce livre évoque la jeunesse de V. Hugo, ses souvenirs, ses premiers amours, ou le début de ses luttes littéraires. L'âme en fleur : Ce livre parle particulièrement d'amour. Les luttes et les rêves : Dans ce livre , il commence a évoqué la misère qu'il observe dans

−B. ET L. B..................................................................................................42 XXIX. LA PENTE DE LA RÊVERIE..................................................................................................43 XXX. SOUVENIR D'ENFANCE..........................................................................................................47 XXXI. À MADAME MARIE M........................................................................................................

hautbois, verts comme les prairies, - Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l'expansion des choses infinies, Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens, Qui chantent les transports de l'esprit et des sens. 9 V J'aime le souvenir de ces époques nues, Dont Phoebus se plaisait à dorer les statues. Alors l'homme et la femme en leur agilité Jouissaient sans mensonge et sans anxiété, Et, le ciel amoureux leur caressant l'échine, Exerçaient la santé de leur noble machine. Cybèle

verts comme les prairies, – Et d’autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l’expansion des choses infinies, Comme l’ambre, le musc, le benjoin et l’encens, Qui chantent les transports de l’esprit et des sens. 13V J’aime le souvenir de ces époques nues J’aime le souvenir de ces époques nues, Dont Phœbus se plaisait à dorer les statues. Alors l’homme et la femme en leur agilité Jouissaient sans mensonge et sans anxiété, Et, le ciel amoureux leur caressant l’échine, Exerçaient la santé de leur noble

chaque émotion est inspiration. La poésie nous accompagne dans notre vie de tous les jours, sans s’en rendre de compte, il y a de la poésie tout autour de nous. Lorsque nous marchons dans la rue, et que nous voyons un arbre fleurissant aux aguets du printemps, il y a là poésie. Lorsqu’une pluie battante, s’abat brusquement sur le sol, que nous regardons à travers notre fenêtre, il y a là poésie... Selon-nous, la poésie est également un phénomène de cristallisation. Ce qui constitue une part de sa conception

– Et d‘autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l‘expansion des choses infinies, Comme l‘ambre, le musc, le benjoin et l‘encens, Qui chantent les transports de l‘esprit et des sens.  [Den entschwundenen, nackten Zeiten] J‘aime le souvenir de ces époques nues, Dont Phoebus se plaisait à dorer les statues. Alors l‘homme et la femme en leur agilité Jouissaient sans mensonge et sans anxiété, Et, le ciel amoureux leur caressant l‘échine, Exerçaient la santé de leur noble machine. Cybèle

les hautbois, verts comme les prairies, __ Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l'expansion des choses infinies, Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens, Qui chantent les transports de l'esprit et des sens. V J'aime le souvenir de ces époques nues, Dont Phoebus se plaisait à dorer les statues. Alors l'homme et la femme en leur agilité Jouissaient sans mensonge et sans anxiété, Et, le ciel amoureux leur caressant l'échine, Exerçaient la santé de leur noble machine. Cybèle

plis de sa robe pourprée, Et son teint au vôtre pareil. Las ! voyez comme en peu d’espace, Mignonne, elle a dessus la place, Las ! las ! ses beautés laissé choir ! Ô vraiment marâtre Nature, Puisqu’une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que votre âge fleuronne En sa plus

plis de sa robe pourprée, Et son teint au vôtre pareil. Las ! voyez comme en peu d’espace, Mignonne, elle a dessus la place, Las ! las ! ses beautés laissé choir ! Ô vraiment marâtre Nature, Puisqu’une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que votre âge fleuronne En sa plus